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60 recherche sur le mot-clé 'cinéma américain'
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178/179 - Juillet-août 1973 - Cinéma 178/179 - Le cinéma américain des années soixante (Bulletin de Cinéma) / Gaston Haustrate
[n° ou bulletin]
Titre : 178/179 - Juillet-août 1973 - Cinéma 178/179 - Le cinéma américain des années soixante Type de document : texte imprimé Auteurs : Gaston Haustrate, Directeur de publication Année de publication : 1973 Importance : 1 vol. (320 p.) Présentation : ill. Note générale : Numéro double. Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Résumé :
Éphémérides (mai 1973) (autre)
Cinéma et télévision
De mon fauteuil (cinéma & société)
Auteur : DUFOUR Fernand
Colloque
Après Nancy : quelques lettres (compte rendu de colloque)
Oberhausen 1973
(festival)
Auteur : VERNHES Monique
Oberhausen 1973
à propos de : Libération du personnage principal
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Droga
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Umno selo
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Juda
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Amour (L')
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Druge
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Predgradje
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Alom a hazrol
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : End of one (The)
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Metadata
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Street music
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Ti-pri, la maison de boue
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : On ne sait pas, et moi non plus
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Au bout des fusils
(festival)
Cannes 1973
(festival)
Court métrage
Le court métrage à Cannes (cinémas nationaux ou genre)
Court métrage
Sélection Argos films (autre)
Auteur : LANGLOIS Gérard
Court métrage
à propos de : Vive la baleine
(autre)
Court métrage
à propos de : Conte inanimé
(autre)
Court métrage
à propos de : Pays beau (Le)
(autre)
Court métrage
à propos de : Collection particulière (Une)
(autre)
Court métrage
à propos de : Farcette
(autre)
Court métrage
à propos de : Tête dans le métro (La)
(autre)
Court métrage
à propos de : Manif (La)
(autre)
Court métrage
à propos de : Colères de l'hidalgo (Les)
(autre)
Court métrage
à propos de : Histoire très émouvante
(autre)
Court métrage
à propos de : Atchoum
(autre)
Court métrage
à propos de : Femme qui se poudre (La)
(autre)
Bahrein
Le cinéma de Bahrein (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Québec
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : PAULY Bernard
Québec
à propos de : Bonhomme (Le)
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Québec
à propos de : Chez nous, c'est chez nous
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Québec
à propos de : Soleil pas comme ailleurs (Un)
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Québec
à propos de : Richesse des autres
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Taureau
(critique, article sur un film)
Auteur : VÉRONNEAU Pierre
Tu brûles, tu brûles
(critique, article sur un film)
Auteur : VÉRONNEAU Pierre
Digne 1973
(festival)
Auteur : QUEYREL Pierre
Digne 1973
à propos de : Femme du Gange (La)
(festival)
Cinéma fantastique
À propos de cinéma fantastique (cinémas nationaux ou genre)
Censure
Il n'y a pas de petite victoire (cinéma & société)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Dossier
Cinéma américain (article d'ensemble)
USA
Images city U.S.A. (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CIEUTAT Michel
ALDRICH Robert
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
BENEDEK Laszlo
(filmographie)
BIBERMAN Herbert J.
(filmographie)
BOETTICHER Budd
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
BROOKS Richard
(filmographie)
Auteur : VERNHES Monique
CASTLE William
(filmographie)
CUKOR George
(filmographie)
DASSIN Jules
(filmographie)
DMYTRYK Edward
(filmographie)
DONEN Stanley
(filmographie)
DOUGLAS Gordon
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
EDWARDS Blake
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
FLEISCHER Richard
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
FULLER Samuel
(filmographie)
GORDON Michael
(filmographie)
HATHAWAY Henry
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
HAWKS Howard
(filmographie)
HITCHCOCK Alfred
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
HUSTON John
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
KARLSON Phil
(filmographie)
KAZAN Elia
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
KELLY Gene
(filmographie)
KRAMER Stanley
(filmographie)
LOGAN Joshua
(filmographie)
LUMET Sidney
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
MANKIEWICZ Joseph L.
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
MANN Daniel
(filmographie)
MANN Delbert
(filmographie)
MARSHALL George
(filmographie)
MINNELLI Vincente
(filmographie)
PARRISH Robert
(filmographie)
POLONSKY Abraham
(filmographie)
Auteur : VERNHES Monique
PREMINGER Otto
(filmographie)
QUINE Richard
(filmographie)
ROBSON Mark
(filmographie)
SEATON George
(filmographie)
SHERMAN George
(filmographie)
SIEGEL Don
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
STEVENS George
(filmographie)
STURGES John
(filmographie)
WILDER Billy
(filmographie)
WISE Robert
(filmographie)
WYLER William
(filmographie)
ZINNEMANN Fred
(filmographie)
USA
Les acteurs-réalisateurs (autre)
Auteur : GRISOLIA Michel
ALLEN Woody
(filmographie)
ARKIN Alan
(filmographie)
CASSAVETES John
(filmographie)
CULP Robert
(filmographie)
DOUGLAS Kirk
(filmographie)
EASTWOOD Clint
(filmographie)
FONDA Peter
(filmographie)
HESTON Charlton
(filmographie)
HOPPER Dennis
(filmographie)
LANCASTER Burt
(filmographie)
LEWIS Jerry
(filmographie)
LEMMON Jack
(filmographie)
NEWMAN Paul
(filmographie)
NICHOLSON Jack
(filmographie)
POITIER Sidney
(filmographie)
SCOTT George C.
(filmographie)
WILDE Cornel
(filmographie)
USA
L'axe Londres - New York (autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
BOORMAN John
(filmographie)
FURIE Sidney J.
(filmographie)
JARROTT Charles
(filmographie)
LEE THOMPSON Jack
(filmographie)
ROSS Herbert
(filmographie)
SCHLESINGER John
(filmographie)
WINNER Michael
(filmographie)
YATES Peter
(filmographie)
FRANKENHEIMER John
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
GRIES Tom
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
HILLER Arthur
(filmographie)
JEWISON Norman
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
KERSHNER Irvin
(filmographie)
KUBRICK Stanley
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
MULLIGAN Robert
(filmographie)
Auteur : VERNHES Monique
PECKINPAH Sam
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
PENN Arthur
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
POLLACK Sydney
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
RITT Martin
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
ROSENBERG Stuart
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
SCHAFFNER Franklin J.
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
SILVERSTEIN Elliot
(filmographie)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
SMIGHT Jack
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
ANDERSON Michael
(filmographie)
AVAKIAN Aram
(filmographie)
CLARKE Shirley
(filmographie)
CLAVELL James
(filmographie)
CORMAN Roger
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
CORNFIELD Hubert
(filmographie)
DAVIS Ossie
(filmographie)
FRAKER William A.
(filmographie)
HARRIS James B.
(filmographie)
HILL George Roy
(filmographie)
HOLDEN William
(filmographie)
HUTTON Brian G.
(filmographie)
KASTLE Léonard
(filmographie)
KATZIN Lee H.
(filmographie)
KENNEDY Burt
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
KULIK Buzz
(filmographie)
McLAGLEN Andrew
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
MILLAR Stuart
(filmographie)
NELSON Ralph
(filmographie)
NICHOLS Mike
(filmographie)
PEERCE Larry
(filmographie)
PERRY Frank
(filmographie)
SAKS Gene
(filmographie)
SHEAR Barry
(filmographie)
STRICK Joseph
(filmographie)
TAYLOR Don
(filmographie)
YORKIN Bud
(filmographie)
ALTMAN Robert
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
ASHBY Hal
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
AVILDSEN John G.
(filmographie)
BOGDANOVICH Peter
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
BROOKS Mel
(filmographie)
COPPOLA Francis Ford
(filmographie)
FOSSE Bob
(filmographie)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
FRANK T. C.
(filmographie)
FRIEDKIN William
(filmographie)
HAGMANN Stuart
(filmographie)
HARRINGTON Curtis
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
HARVEY Anthony
(filmographie)
HARVEY Laurence
(filmographie)
HELLMAN Monte
(filmographie)
IVORY James
(filmographie)
KAUFMAN Philip
(filmographie)
MAZURSKY Paul
(filmographie)
MEDFORD Don
(filmographie)
MORRISSEY Paul
(filmographie)
PAKULA Alan J.
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
PARKS Gordon
(filmographie)
RAFELSON Bob
(filmographie)
RICHARDS Dick
(filmographie)
RITCHIE Michael
(filmographie)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
RYDELL Mark
(filmographie)
SARAFIAN Richard C.
(filmographie)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
SCHATZBERG Jerry
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
SHERIN Edwin
(filmographie)
TRUMBO Dalton
(filmographie)
VAN PEEBLES Melvin
(filmographie)
WARHOL Andy
(filmographie)
WEXLER Haskell
(filmographie)
USA
Le second souffle d'Hollywood (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIARD Gaston
USA
90 scénaristes à suivre dans les années 70 (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ALBERT Marvin H.
(autre)
ANHALT Edward
(autre)
AURTHUR RObert Allan
(autre)
AXELROD George
(autre)
BAKER Elliott
(autre)
BARRETT James Lee
(autre)
BENTON Robert
(autre)
NEWMAN David
(autre)
BERCOVICI Eric
(autre)
BERNSTEIN Walter
(autre)
BLATTY William Peter
(autre)
BOWERS William
(autre)
BRACKETT Leigh
(autre)
BRIDGES James
(autre)
CAIN Guillermo
(autre)
CANNON Doran William
(autre)
CARLINO Lewis John
(autre)
CHAYEFSKY Paddy
(autre)
DE WITT Jack
(autre)
DIAMOND I.A.L.
(autre)
DILLON Robert
(autre)
EASTMAN Charles
(autre)
FEIFFER Jules
(autre)
FINE Morton
(autre)
FRIEDKIN David
(autre)
FINK Harry Julian
(autre)
FOOTE Horton
(autre)
GARDNER Herb
(autre)
GAY John
(autre)
GELLER Stephen
(autre)
GIDDING Nelson
(autre)
GOLDMAN William
(autre)
GOODMAN David Z.
(autre)
GUNN Bill
(autre)
HANLEY William
(autre)
HEIMS Jo
(autre)
HELLER Lukas
(autre)
HENRY Buck
(autre)
HILL Walter
(autre)
HOROVITZ Israel
(autre)
HUFFAKER Clair
(autre)
JACOBS Alexander
(autre)
JOYCE Adrien
(autre)
KAUFMAN Robert
(autre)
KIBBEE Roland
(autre)
KILLENS John Oliver
(autre)
LARDNER Jr. Ring
(autre)
LARNER Jeremy
(autre)
LEHMAN Ernest
(autre)
LEONARD Elmore
(autre)
MADDOW Ben
(autre)
MALTZ Albert
(autre)
MANN Abby
(autre)
MARCUS Lawrence B.
(autre)
MATHESON Richard
(autre)
McKAY Brian
(autre)
MILIUS John
(autre)
MOSEL Tad
(autre)
NORTH Edmund H.
(autre)
NORTON William
(autre)
PERRY Eleanor
(autre)
PETERS Don
(autre)
JOHNSTON Clint
(autre)
PIERSON Frank
(autre)
POE James
(autre)
POGOSTIN Lee
(autre)
RAUCHER Herman
(autre)
RAVETCH Irving
(autre)
FRANK Harriet Jr.
(autre)
RAYFIEL David
(autre)
RIESNER Dean
(autre)
ROBERTS Marguerite
(autre)
RODMAN Howard
(autre)
ROSE William
(autre)
SALT Waldo
(autre)
SALTER James
(autre)
SARGENT Alvin
(autre)
SCHULMAN Arnold
(autre)
SEGAL Erich
(autre)
SHARP Alan
(autre)
SILLIPHANT Stirling
(autre)
SIMON Neil
(autre)
SOUTHERN Terry
(autre)
STERN Stewart
(autre)
THOM Robert
(autre)
THOMPSON Robert E.
(autre)
TIDYMAN Ernest
(autre)
TRUMBO Dalton
(autre)
WASSERMAN Dale
(autre)
WEBB James R.
(autre)
USA
Impasses et fausses routes d'un certain cinéma post-hollywoodien (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : PRÉDAL René
USA
Cinq grands opérateurs américains (autre)
Auteur : PRÉDAL René
Métiers du cinéma
Cinq grands opérateurs américains (autre)
Auteur : PRÉDAL René
CLARKE Charles G.
(filmographie)
CLOTHIER William
(filmographie)
FOLSEY George J.
(filmographie)
IVANO Paul
(filmographie)
KAUFMAN Boris
(filmographie)
USA
Un cinéma en perpétuel devenir (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ÉLIA Maurice
USA
Errance et auto-destruction (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Violence, racisme, police : la peur (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GRANT Jacques
USA
Moto ou voiture : fuite vers la liberté ? (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
USA
Accusation ou constat : la drogue (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : VERNHES Monique
USA
Eros + dollars (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GRISOLIA Michel
USA
Le Vietnam, c'est aussi l'Amérique (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
USA
Les étranges couleurs du cinéma "noir" (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
USA
Chassez le western, il revient au galop (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
USA
Cinéma et crise de conscience aux U.S.A. (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ASTRE Georges-Albert
Cannes 1973
(festival)
Auteur : PASSEK Jean-Loup
Cannes 1973
à propos de : Ana et les loups
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Introduction à la 'Musique d'accompagnement pour une scène de film' d'Arnold Schoenberg
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Leçons d'histoire
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Monologue (Un)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Autre image (L')
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Film d'amore e d'anarchia
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Swastika
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Hamlet de moins (Un)
(festival)
Auteur : PASSEK Jean-Loup
Cannes 1973
à propos de : Soleil se lève une fois par jour (Le)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Villeggiatura (La)
(festival)
Auteur : AMIEL Mireille
Cannes 1973
à propos de : Aguirre, la colère de Dieu
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Triple echo
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Coup d'état
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Visions of eight
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Pas de violence entre nous
(festival)
Auteur : GRANT Jacques
Cannes 1973
à propos de : Kamouraska
(festival)
Auteur : AMIEL Mireille
SCHATZBERG Jerry
à propos de : Épouvantail (L')
(entretien)
Auteur : GRISOLIA Michel
Méprise (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Nuit américaine (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Appât (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Girlboy
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Décembre
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Profession : aventuriers
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Sourire
(critique, article sur un film)
Auteur : VERNHES Monique
Question ordinaire (La)
(critique, article sur un film)
Mon nom, Superman
(critique, article sur un film)
Miss Paris et le majordome
(critique, article sur un film)
Ça va pas, pépé
(critique, article sur un film)
Poule (La)
(critique, article sur un film)
Granges brûlées (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Savages
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Oiseau blanc marqué de noir (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chiennes (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Griffes du lion (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Elvis on tour
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Mais toi tu es Pierre
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Dix derniers jours d'Hitler (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Quand c'est parti...c'est parti
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Sambizanga
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Affamées (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Ludwig : requiem pour un roi vierge
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Poil de Carotte
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Na !
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Dupes (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
SALEH Tewfik
à propos de : Dupes (Les)
(entretien)
Auteurs : BLANCARD Anne , ARNHOLD Barbara
Junior Bonner, le dernier bagarreur
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Impossible objet (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL MireilleGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur [n° ou bulletin] 178/179 - Juillet-août 1973 - Cinéma 178/179 - Le cinéma américain des années soixante [texte imprimé] / Gaston Haustrate, Directeur de publication . - 1973 . - 1 vol. (320 p.) : ill.
Numéro double.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma Mots-clés : Cinéma américain Résumé :
Éphémérides (mai 1973) (autre)
Cinéma et télévision
De mon fauteuil (cinéma & société)
Auteur : DUFOUR Fernand
Colloque
Après Nancy : quelques lettres (compte rendu de colloque)
Oberhausen 1973
(festival)
Auteur : VERNHES Monique
Oberhausen 1973
à propos de : Libération du personnage principal
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Droga
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Umno selo
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Juda
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Amour (L')
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Druge
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Predgradje
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Alom a hazrol
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : End of one (The)
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Metadata
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Street music
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Ti-pri, la maison de boue
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : On ne sait pas, et moi non plus
(festival)
Oberhausen 1973
à propos de : Au bout des fusils
(festival)
Cannes 1973
(festival)
Court métrage
Le court métrage à Cannes (cinémas nationaux ou genre)
Court métrage
Sélection Argos films (autre)
Auteur : LANGLOIS Gérard
Court métrage
à propos de : Vive la baleine
(autre)
Court métrage
à propos de : Conte inanimé
(autre)
Court métrage
à propos de : Pays beau (Le)
(autre)
Court métrage
à propos de : Collection particulière (Une)
(autre)
Court métrage
à propos de : Farcette
(autre)
Court métrage
à propos de : Tête dans le métro (La)
(autre)
Court métrage
à propos de : Manif (La)
(autre)
Court métrage
à propos de : Colères de l'hidalgo (Les)
(autre)
Court métrage
à propos de : Histoire très émouvante
(autre)
Court métrage
à propos de : Atchoum
(autre)
Court métrage
à propos de : Femme qui se poudre (La)
(autre)
Bahrein
Le cinéma de Bahrein (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Québec
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : PAULY Bernard
Québec
à propos de : Bonhomme (Le)
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Québec
à propos de : Chez nous, c'est chez nous
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Québec
à propos de : Soleil pas comme ailleurs (Un)
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Québec
à propos de : Richesse des autres
Québec - Qu'est-ce que le cinéma d'intervention sociale ? (cinémas nationaux ou genre)
Taureau
(critique, article sur un film)
Auteur : VÉRONNEAU Pierre
Tu brûles, tu brûles
(critique, article sur un film)
Auteur : VÉRONNEAU Pierre
Digne 1973
(festival)
Auteur : QUEYREL Pierre
Digne 1973
à propos de : Femme du Gange (La)
(festival)
Cinéma fantastique
À propos de cinéma fantastique (cinémas nationaux ou genre)
Censure
Il n'y a pas de petite victoire (cinéma & société)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Dossier
Cinéma américain (article d'ensemble)
USA
Images city U.S.A. (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CIEUTAT Michel
ALDRICH Robert
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
BENEDEK Laszlo
(filmographie)
BIBERMAN Herbert J.
(filmographie)
BOETTICHER Budd
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
BROOKS Richard
(filmographie)
Auteur : VERNHES Monique
CASTLE William
(filmographie)
CUKOR George
(filmographie)
DASSIN Jules
(filmographie)
DMYTRYK Edward
(filmographie)
DONEN Stanley
(filmographie)
DOUGLAS Gordon
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
EDWARDS Blake
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
FLEISCHER Richard
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
FULLER Samuel
(filmographie)
GORDON Michael
(filmographie)
HATHAWAY Henry
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
HAWKS Howard
(filmographie)
HITCHCOCK Alfred
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
HUSTON John
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
KARLSON Phil
(filmographie)
KAZAN Elia
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
KELLY Gene
(filmographie)
KRAMER Stanley
(filmographie)
LOGAN Joshua
(filmographie)
LUMET Sidney
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
MANKIEWICZ Joseph L.
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
MANN Daniel
(filmographie)
MANN Delbert
(filmographie)
MARSHALL George
(filmographie)
MINNELLI Vincente
(filmographie)
PARRISH Robert
(filmographie)
POLONSKY Abraham
(filmographie)
Auteur : VERNHES Monique
PREMINGER Otto
(filmographie)
QUINE Richard
(filmographie)
ROBSON Mark
(filmographie)
SEATON George
(filmographie)
SHERMAN George
(filmographie)
SIEGEL Don
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
STEVENS George
(filmographie)
STURGES John
(filmographie)
WILDER Billy
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WISE Robert
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WYLER William
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ZINNEMANN Fred
(filmographie)
USA
Les acteurs-réalisateurs (autre)
Auteur : GRISOLIA Michel
ALLEN Woody
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ARKIN Alan
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CASSAVETES John
(filmographie)
CULP Robert
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DOUGLAS Kirk
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EASTWOOD Clint
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FONDA Peter
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HESTON Charlton
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HOPPER Dennis
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LANCASTER Burt
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LEWIS Jerry
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LEMMON Jack
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NEWMAN Paul
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NICHOLSON Jack
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POITIER Sidney
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SCOTT George C.
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WILDE Cornel
(filmographie)
USA
L'axe Londres - New York (autre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
BOORMAN John
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FURIE Sidney J.
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JARROTT Charles
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LEE THOMPSON Jack
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ROSS Herbert
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SCHLESINGER John
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WINNER Michael
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YATES Peter
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FRANKENHEIMER John
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Auteur : RENAUD Tristan
GRIES Tom
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Auteur : GRISOLIA Michel
HILLER Arthur
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JEWISON Norman
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Auteur : RENAUD Tristan
KERSHNER Irvin
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KUBRICK Stanley
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Auteur : CLUNY Claude-Michel
MULLIGAN Robert
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Auteur : VERNHES Monique
PECKINPAH Sam
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
PENN Arthur
(filmographie)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
POLLACK Sydney
(filmographie)
Auteur : RENAUD Tristan
RITT Martin
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
ROSENBERG Stuart
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
SCHAFFNER Franklin J.
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
SILVERSTEIN Elliot
(filmographie)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
SMIGHT Jack
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
ANDERSON Michael
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AVAKIAN Aram
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CLARKE Shirley
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CLAVELL James
(filmographie)
CORMAN Roger
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Auteur : GRISOLIA Michel
CORNFIELD Hubert
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DAVIS Ossie
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FRAKER William A.
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HARRIS James B.
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HILL George Roy
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HOLDEN William
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HUTTON Brian G.
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KASTLE Léonard
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KATZIN Lee H.
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KENNEDY Burt
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Auteur : GRISOLIA Michel
KULIK Buzz
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McLAGLEN Andrew
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Auteur : GRISOLIA Michel
MILLAR Stuart
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NELSON Ralph
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NICHOLS Mike
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PEERCE Larry
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PERRY Frank
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SAKS Gene
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SHEAR Barry
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STRICK Joseph
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TAYLOR Don
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YORKIN Bud
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ALTMAN Robert
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Auteur : GRISOLIA Michel
ASHBY Hal
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Auteur : CLUNY Claude-Michel
AVILDSEN John G.
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BOGDANOVICH Peter
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Auteur : RENAUD Tristan
BROOKS Mel
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COPPOLA Francis Ford
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FOSSE Bob
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Auteur : LEFÈVRE Raymond
FRANK T. C.
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FRIEDKIN William
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HAGMANN Stuart
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HARRINGTON Curtis
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Auteur : GRISOLIA Michel
HARVEY Anthony
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HELLMAN Monte
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IVORY James
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KAUFMAN Philip
(filmographie)
MAZURSKY Paul
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MEDFORD Don
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MORRISSEY Paul
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PAKULA Alan J.
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
PARKS Gordon
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RAFELSON Bob
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RICHARDS Dick
(filmographie)
RITCHIE Michael
(filmographie)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
RYDELL Mark
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SARAFIAN Richard C.
(filmographie)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
SCHATZBERG Jerry
(filmographie)
Auteur : GRISOLIA Michel
SHERIN Edwin
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TRUMBO Dalton
(filmographie)
VAN PEEBLES Melvin
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WARHOL Andy
(filmographie)
WEXLER Haskell
(filmographie)
USA
Le second souffle d'Hollywood (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIARD Gaston
USA
90 scénaristes à suivre dans les années 70 (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
ALBERT Marvin H.
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ANHALT Edward
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AURTHUR RObert Allan
(autre)
AXELROD George
(autre)
BAKER Elliott
(autre)
BARRETT James Lee
(autre)
BENTON Robert
(autre)
NEWMAN David
(autre)
BERCOVICI Eric
(autre)
BERNSTEIN Walter
(autre)
BLATTY William Peter
(autre)
BOWERS William
(autre)
BRACKETT Leigh
(autre)
BRIDGES James
(autre)
CAIN Guillermo
(autre)
CANNON Doran William
(autre)
CARLINO Lewis John
(autre)
CHAYEFSKY Paddy
(autre)
DE WITT Jack
(autre)
DIAMOND I.A.L.
(autre)
DILLON Robert
(autre)
EASTMAN Charles
(autre)
FEIFFER Jules
(autre)
FINE Morton
(autre)
FRIEDKIN David
(autre)
FINK Harry Julian
(autre)
FOOTE Horton
(autre)
GARDNER Herb
(autre)
GAY John
(autre)
GELLER Stephen
(autre)
GIDDING Nelson
(autre)
GOLDMAN William
(autre)
GOODMAN David Z.
(autre)
GUNN Bill
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HANLEY William
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HELLER Lukas
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HENRY Buck
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HILL Walter
(autre)
HOROVITZ Israel
(autre)
HUFFAKER Clair
(autre)
JACOBS Alexander
(autre)
JOYCE Adrien
(autre)
KAUFMAN Robert
(autre)
KIBBEE Roland
(autre)
KILLENS John Oliver
(autre)
LARDNER Jr. Ring
(autre)
LARNER Jeremy
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LEHMAN Ernest
(autre)
LEONARD Elmore
(autre)
MADDOW Ben
(autre)
MALTZ Albert
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MANN Abby
(autre)
MARCUS Lawrence B.
(autre)
MATHESON Richard
(autre)
McKAY Brian
(autre)
MILIUS John
(autre)
MOSEL Tad
(autre)
NORTH Edmund H.
(autre)
NORTON William
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PERRY Eleanor
(autre)
PETERS Don
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JOHNSTON Clint
(autre)
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POE James
(autre)
POGOSTIN Lee
(autre)
RAUCHER Herman
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RAVETCH Irving
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FRANK Harriet Jr.
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RAYFIEL David
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ROBERTS Marguerite
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RODMAN Howard
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SALT Waldo
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SARGENT Alvin
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SCHULMAN Arnold
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SEGAL Erich
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SILLIPHANT Stirling
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SIMON Neil
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SOUTHERN Terry
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STERN Stewart
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THOM Robert
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THOMPSON Robert E.
(autre)
TIDYMAN Ernest
(autre)
TRUMBO Dalton
(autre)
WASSERMAN Dale
(autre)
WEBB James R.
(autre)
USA
Impasses et fausses routes d'un certain cinéma post-hollywoodien (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : PRÉDAL René
USA
Cinq grands opérateurs américains (autre)
Auteur : PRÉDAL René
Métiers du cinéma
Cinq grands opérateurs américains (autre)
Auteur : PRÉDAL René
CLARKE Charles G.
(filmographie)
CLOTHIER William
(filmographie)
FOLSEY George J.
(filmographie)
IVANO Paul
(filmographie)
KAUFMAN Boris
(filmographie)
USA
Un cinéma en perpétuel devenir (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ÉLIA Maurice
USA
Errance et auto-destruction (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BIDAUD Anne-Marie
USA
Violence, racisme, police : la peur (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GRANT Jacques
USA
Moto ou voiture : fuite vers la liberté ? (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : BENOÎT Claude
USA
Accusation ou constat : la drogue (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : VERNHES Monique
USA
Eros + dollars (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GRISOLIA Michel
USA
Le Vietnam, c'est aussi l'Amérique (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
USA
Les étranges couleurs du cinéma "noir" (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
USA
Chassez le western, il revient au galop (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
USA
Cinéma et crise de conscience aux U.S.A. (cinémas nationaux ou genre)
Auteur : ASTRE Georges-Albert
Cannes 1973
(festival)
Auteur : PASSEK Jean-Loup
Cannes 1973
à propos de : Ana et les loups
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Introduction à la 'Musique d'accompagnement pour une scène de film' d'Arnold Schoenberg
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Leçons d'histoire
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Monologue (Un)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Autre image (L')
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Film d'amore e d'anarchia
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Swastika
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Hamlet de moins (Un)
(festival)
Auteur : PASSEK Jean-Loup
Cannes 1973
à propos de : Soleil se lève une fois par jour (Le)
(festival)
Auteur : HAUSTRATE Gaston
Cannes 1973
à propos de : Villeggiatura (La)
(festival)
Auteur : AMIEL Mireille
Cannes 1973
à propos de : Aguirre, la colère de Dieu
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Triple echo
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Coup d'état
(festival)
Auteur : GRISOLIA Michel
Cannes 1973
à propos de : Visions of eight
(festival)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Cannes 1973
à propos de : Pas de violence entre nous
(festival)
Auteur : GRANT Jacques
Cannes 1973
à propos de : Kamouraska
(festival)
Auteur : AMIEL Mireille
SCHATZBERG Jerry
à propos de : Épouvantail (L')
(entretien)
Auteur : GRISOLIA Michel
Méprise (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL Mireille
Nuit américaine (La)
(critique, article sur un film)
Auteur : GÉVAUDAN Frantz
Appât (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Girlboy
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Décembre
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Profession : aventuriers
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Sourire
(critique, article sur un film)
Auteur : VERNHES Monique
Question ordinaire (La)
(critique, article sur un film)
Mon nom, Superman
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Miss Paris et le majordome
(critique, article sur un film)
Ça va pas, pépé
(critique, article sur un film)
Poule (La)
(critique, article sur un film)
Granges brûlées (Les)
(critique, article sur un film)
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Savages
(critique, article sur un film)
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Oiseau blanc marqué de noir (Un)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Chiennes (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Griffes du lion (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Elvis on tour
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Mais toi tu es Pierre
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Dix derniers jours d'Hitler (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Quand c'est parti...c'est parti
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Sambizanga
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Affamées (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : LEFÈVRE Raymond
Ludwig : requiem pour un roi vierge
(critique, article sur un film)
Auteur : RENAUD Tristan
Poil de Carotte
(critique, article sur un film)
Auteur : GRANT Jacques
Na !
(critique, article sur un film)
Auteur : GRISOLIA Michel
Dupes (Les)
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
SALEH Tewfik
à propos de : Dupes (Les)
(entretien)
Auteurs : BLANCARD Anne , ARNHOLD Barbara
Junior Bonner, le dernier bagarreur
(critique, article sur un film)
Auteur : CLUNY Claude-Michel
Impossible objet (L')
(critique, article sur un film)
Auteur : AMIEL MireilleGenre : Revue Pays : France Niveau : Etudes secondaires inférieur et supérieur, études supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400889 178/179 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible 483 - Septembre 1994 - L'ejeu cinéma américain: Roger Avary, Spike Lee, James Cameron, Charles Burnett... Rencontre avec MC Solaar. Enquête sur la distribution. Du fond du coeur, le dernier Doillon. (Bulletin de Cahiers du Cinéma) / Collectif
[n° ou bulletin]
Titre : 483 - Septembre 1994 - L'ejeu cinéma américain: Roger Avary, Spike Lee, James Cameron, Charles Burnett... Rencontre avec MC Solaar. Enquête sur la distribution. Du fond du coeur, le dernier Doillon. Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 82 p. Note générale : Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/ Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues
Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : cinéma américain Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ [n° ou bulletin] 483 - Septembre 1994 - L'ejeu cinéma américain: Roger Avary, Spike Lee, James Cameron, Charles Burnett... Rencontre avec MC Solaar. Enquête sur la distribution. Du fond du coeur, le dernier Doillon. [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2011 . - 82 p.
Le sommaire est disponible sur http://www.archives-cahiersducinema.com/
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Education aux médias:Revues:Cahiers du CinémaMots-clés : cinéma américain Index. décimale : 70 Cahiers du cinéma Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire En ligne : http://www.cahiersducinema.com/ Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400521 70 Archives n°5 Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Le palimpseste noir : notes sur l'impétigo, la terreur et le cinéma américain contemporain / Dick Tomasovic
Titre : Le palimpseste noir : notes sur l'impétigo, la terreur et le cinéma américain contemporain Type de document : texte imprimé Auteurs : Dick Tomasovic (1974-....), Auteur Editeur : Crisnée [Belgique] : Yellow Now Année de publication : 2002 Importance : 1 vol. (301 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 17 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87340-161-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : histoire du cinéma cinéma américain Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De Piège de cristal à Matrix, de Lost Highway à Fight Club, et de Gremlins 2 à Small Soldiers, c’est une large et abondante décennie du cinéma américain contemporain, souvent qualifiée de néo-noir, qui est étudiée dans ce Palimpseste noir. Cet essai déchiffre le cinéma “ néo-noir ” américain contemporain et ses plus ou moins lointains avatars, souvent négligés par la théorie pour manque de consistance et par l’histoire par manque de recul. Instituant un surprenant dialogue entre de précédentes formes « noires » - celles du film noir hollywoodien (Le Faucon Maltais, Gilda, la Soif du mal, etc.) mais aussi, plus lointaines, du roman noir (Sade, le maudit marquis) - l’ouvrage interroge les intrigues tortueuses et les images inquiétantes de ce corpus sidérant comme autant de figures liées aux résurgences de la terreur. Entre Brian de Palma, Quentin Tarantino, et Humphrey Bogart, Face/Off, Scream, Laura ou encore les œuvres de Sade, se tisse une toile complexe. On croit entrer dans un moulin de fantaisie (car l’humour ouvre des portes rassurantes), et c’est d’une inquiétante broyeuse que l’on peine à s’extirper, étourdi. En pointant les thèmes récurrents et les composantes - sadiennes essentiellement - communes à cet ahurissant corpus filmographique, ce Palimpseste labyrinthique malmène l’histoire des formes littéraires et cinématographiques pour opérer, à l’instar de son objet, à vif et par contamination. Au fil de son écriture déroutante et de ses raccords cut, de sa structure, il fait surgir de nouveaux rapports plastiques ou thématiques et rend à une large frange du cinéma, la plus dominante et proliférante, la part d’ombre qu’elle doit au maudit marquis - dont le texte inquiétant ne cesse de planer. Sans avoir l’air d’y toucher, voilà un livre qui, enfin, rentre pour de bon dans la chair du cinéma américain contemporain, et ose avec lui un corps-à-corps paradoxal, au propre et au figuré : aussi apparemment détaché et ludique que réellement périlleux et virulent. Aspirant du FNRS attaché à l’université de Liège, Dick Tomasovic est un jeune (27 ans) et assez grand (1m98) chercheur en théorie et esthétique de l’audiovisuel. Il tâte de la vidéo numérique, publie des nouvelles et de la fiction, écrit un peu pour le théâtre, beaucoup sur le cinéma. Il termine actuellement une thèse de doctorat sur l’esthétique de la mort dans le film d’animation. Le palimpseste noir : notes sur l'impétigo, la terreur et le cinéma américain contemporain [texte imprimé] / Dick Tomasovic (1974-....), Auteur . - Crisnée [Belgique] : Yellow Now, 2002 . - 1 vol. (301 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 17 cm.
ISBN : 978-2-87340-161-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique Mots-clés : histoire du cinéma cinéma américain Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : De Piège de cristal à Matrix, de Lost Highway à Fight Club, et de Gremlins 2 à Small Soldiers, c’est une large et abondante décennie du cinéma américain contemporain, souvent qualifiée de néo-noir, qui est étudiée dans ce Palimpseste noir. Cet essai déchiffre le cinéma “ néo-noir ” américain contemporain et ses plus ou moins lointains avatars, souvent négligés par la théorie pour manque de consistance et par l’histoire par manque de recul. Instituant un surprenant dialogue entre de précédentes formes « noires » - celles du film noir hollywoodien (Le Faucon Maltais, Gilda, la Soif du mal, etc.) mais aussi, plus lointaines, du roman noir (Sade, le maudit marquis) - l’ouvrage interroge les intrigues tortueuses et les images inquiétantes de ce corpus sidérant comme autant de figures liées aux résurgences de la terreur. Entre Brian de Palma, Quentin Tarantino, et Humphrey Bogart, Face/Off, Scream, Laura ou encore les œuvres de Sade, se tisse une toile complexe. On croit entrer dans un moulin de fantaisie (car l’humour ouvre des portes rassurantes), et c’est d’une inquiétante broyeuse que l’on peine à s’extirper, étourdi. En pointant les thèmes récurrents et les composantes - sadiennes essentiellement - communes à cet ahurissant corpus filmographique, ce Palimpseste labyrinthique malmène l’histoire des formes littéraires et cinématographiques pour opérer, à l’instar de son objet, à vif et par contamination. Au fil de son écriture déroutante et de ses raccords cut, de sa structure, il fait surgir de nouveaux rapports plastiques ou thématiques et rend à une large frange du cinéma, la plus dominante et proliférante, la part d’ombre qu’elle doit au maudit marquis - dont le texte inquiétant ne cesse de planer. Sans avoir l’air d’y toucher, voilà un livre qui, enfin, rentre pour de bon dans la chair du cinéma américain contemporain, et ose avec lui un corps-à-corps paradoxal, au propre et au figuré : aussi apparemment détaché et ludique que réellement périlleux et virulent. Aspirant du FNRS attaché à l’université de Liège, Dick Tomasovic est un jeune (27 ans) et assez grand (1m98) chercheur en théorie et esthétique de l’audiovisuel. Il tâte de la vidéo numérique, publie des nouvelles et de la fiction, écrit un peu pour le théâtre, beaucoup sur le cinéma. Il termine actuellement une thèse de doctorat sur l’esthétique de la mort dans le film d’animation. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300427 21 H.1.03153 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300427URL L'Amérique de John Ford / Luc Vancheri
Accompagne
Titre : L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée Editeur : Editions du Céfal Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87130-236-0 Note générale : La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
L'Amérique de John Ford : Autour de "La prisonnière du désert" [texte imprimé] / Luc Vancheri, Auteur ; John Ford (1894-1973), Personne honorée . - Editions du Céfal, 2007.
Accompagne
ISBN : 978-2-87130-236-0
La Prisonnière du désert (The Searchers) est un film américain de John Ford, sorti en 1956. Il est généralement considéré comme son chef d'oeuvre et l'American Film Institute l'a désigné en 2008 comme le plus grand western de tous les temps.
Texas, 1868. Des Comanches attaquent le ranch d'Aaron Edwards, qui est tué ainsi que sa femme et son plus jeune fils. Ethan, le frère d'Aaron, apprenant le drame, part à la recherche de Lucy et Debbie, ses deux nièces disparues au cours de l'attaque. Bientôt, il n'est plus accompagné dans sa quête que de Martin Pawley (fils adoptif d'Aaron Edwards et donc neveu d'Ethan) et de Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : The Searchers La prisonnière du désert John Ford Frank S. Nugent Alan Le May Warner Bros Pictures Max Steiner Victor Gangelin Frank Beetson Winton C. Hoch Alfred Gilks Merian C. Cooper Patrick Ford C. W. Whitney John Wayne Jeffrey Hunter Vera Miles Ward Bond Natalie Wood John Qualen Olive Carey Olive Golden Harry Carey Jr. Henry Brandon Ken Curtis Antonio Moreno Hank Worden Lana Wood Patrick Wayne Dorothy Jordan Walter Coy Pippa Scott Robert Lyden Peter Mamakos Western Cinéma américain Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Il y a trois ans que la guerre de Sécession a pris fin. Ethan Edwards, ancien soldat confédéré ne rentre que maintenant au pays, c'est-à-dire au ranch de son frère Aaron. Celui-ci y vit avec sa femme et leurs quatre enfants : deux filles : Lucy et Debbie et deux fils dont un adoptif : Martin Pawley un gaillard de 18-20 ans (avec un huitième de sang Cherokee dans les veines). Au souper, les propos d'Ethan trahissent son animosité vis à vis des indiens. Le lendemain, les voisins, menés par le révérend et capitaine Samuel Clayton, viennent chercher du renfort pour rechercher du bétail volé par les Comanches. Ethan et Martin se joignent à la petite troupe menée par Clayton. Mais ce vol de bétail n'est qu'une manoeuvre de diversion des Comanches pour éloigner les hommes de leurs fermes. Pendant qu'ils le sont, le ranch Edwards est attaqué, les parents et leur jeune fils tués, et les deux filles enlevées. Ethan Edwards part à la recherche de ses nièces ; Martin Pawley, leur frère d'adoption, et Brad Jorgensen, le fiancé de Lucy, l'accompagnent.
Ils retrouvent assez rapidement le cadavre de Lucy. Fou de douleur, Brad attaque seul le campement des rebelles comanches et meurt.
Pour récupérer la jeune Debbie (12 ans au moment de son enlèvement), Ethan et Martin Pawley se lancent dans une longue quête à travers l'Ouest, qui durera plusieurs années et durant laquelle ils ne reviendront qu'une fois à la ferme Jorgensen. Au cours de ce bref séjour, l'amour qui existait depuis toujours entre Laurie, la fille Jorgensen, et Martin Pawley se renforce. Mais Ethan et Martin sont très vite obligés de repartir, toujours en quête de Debbie, leur nièce et soeur respective. Après quelques péripéties, les deux pisteurs (Searchers) parviennent enfin jusque Debbie qu'ils reconnaissent dans la tente même du chef Comanche "le Balafré" (Scar dans la VO) : elle est devenue une de ses squaws. Il est impossible de la libérer sur le champ. Ethan et Martin repartent et campent non loin de là. Debbie les rejoint en catimini et dit à Martin de partir car elle est devenue une indienne. Ethan arrive sur ces entrefaites et lève son pistolet pour tuer l'indienne qu'elle semble être devenue, mais Martin s'interpose. Le "Balafré" intervient aussi et blesse Ethan au bras, puis ses hommes mettent Ethan et Martin en fuite, sans parvenir à les tuer. Fin du premier contact direct entre Debbie devenue jeune femme et ses oncle et frère.
Revenant chez les Jorgensen, Ethan et Martin arrivent en pleine célébration du mariage de Laurie - qui avait fini par renoncer à Martin, n'ayant reçu de lui en cinq ans qu'une seule lettre écrite en termes réservés - avec le brave Charlie McCorry, mariage sur le point d'être scellé par le révérend Clayton. Martin et Charlie mettent les choses au point entre eux en se battant dans la cour et finalement, la cérémonie de mariage est annulée.
Edwards, Martin et Clayton repartent peu après attaquer le campement indien du chef Comanche "le Balafré" repéré non loin de là par un régiment de cavalerie. Martin va sauver Debbie juste avant l'attaque et tue "le Balafré". Finalement, chez Ethan l'instinct familial est plus fort que son animosité pour les indiens : il ne voit plus en Debbie la Comanche qu'elle a été contrainte de devenir mais sa nièce, la prend dans ses bras et la ramène chez les Jorgensen (où Laurie retrouve enfin Martin et cette fois pour de bon), puis repart seul vers le désert et son destin.
Note de contenu : * Le film a été tourné en août 1955 en extérieur à Monument Valley, Edmonton, Gunnison et Aspen (Colorado) et dans l'Utah.
* Les plans qui ouvrent et ferment le film (la caméra se trouve à l'intérieur de la maison et par un subtil plan séquence Ford sort de celle-ci et embrasse avec sa caméra Ethan Edwards et l'impressionnant paysage de Monument Valley), sont considérés parmi les meilleurs du cinéma de Ford.
* Ford aborde de nouveau le problème des guerres indiennes et des prisonnières dans Les Deux Cavaliers (Two rode together) en 1961.
* Le film rompt avec les westerns manichéens : le personnage d'Ethan s'acharne sur des causes perdues, il n'hésite pas non plus à abattre des bisons pour accélérer le déclin du peuple indien. Celui-ci est abordé avec beaucoup de dignité. Dans le John Ford de Peter Bogdanovich, Ford déclare : « C'est un peuple très digne — même lorsqu'il a été battu. Naturellement, ce n'est pas très populaire aux États-Unis. Le public aime voir les Indiens être tués. Il ne les considère pas comme des êtres humains, possédant une culture profonde, différente de la nôtre. Si vous regardez les choses en détail, vous découvrez pourtant que leur religion ressemble en beaucoup de points à la nôtre. »
* Ford a demandé à Wayne de s'inspirer de l'acteur Harry Carey qui était un ami de Ford.
* John Wayne a appelé l'un de ses fils Ethan en souvenir du film.
* L'histoire s'inspire d'un fait réel : une petite fille est kidnappée en 1836 au Texas. Plus tard elle deviendra la femme d'un chef Comanche, elle sera retrouvée plusieurs années plus tard, et ramenée de force dans la communauté blanche malgré ses protestations. Cet événement a inspiré le livre d'Alan Le May, duquel s'inspire John Ford.
* Le groupe britannique The Searchers doit son nom au film.
* C'est le prototype de l'homme du Far West qui ne vit que pour l'aventure (il a fait la guerre de sécession, c'est lui qui a trouvé Martin Pawley après le massacre de ses parents), les chevaux, les Indiens (il reconnaît leurs lances). Il est aguerri et sait conserver son sang-froid dans l'action : pour conserver son efficacité il ménage son cheval et refuse de se précipiter au secours de sa famille comme Martin Pawley qui, lui, finira l'équipée à pied et en portant sa selle.
* Toutes les scènes le présentent comme un marginal. Il a perdu sa guerre aux côtés des confédérés, sa « famille » est en fait celle de son frère, il refuse de prêter serment aux rangers. Qu'a-t-il fait durant les trois années qui séparent le début du film de la fin de la guerre de sécession ? Son neveu lui pose la question mais il n'y répond pas. Quelques instants plus tard, il sort des pièces d'or qui n'ont jamais servi (elles ne présentent pas la moindre usure) : de l'aveu même de Ford cela signifie qu'il a été un soldat perdu, qu'il a participé aux aventures mexicaines des rebelles sudistes. Autrement dit, c'est un hors-la-loi. Il n'hésite pas à tuer les bandits qui veulent l'assassiner et il le fait de façon impitoyable puisqu'il en tue trois alors même qu'ils sont en fuite, si bien qu'il finit par être recherché par les rangers afin qu'il s'explique sur les circonstances de leur mort.
* Tout au long du film, il s'oppose aux hommes qui l'entourent, il n'est jamais d'accord avec la stratégie à adopter, il exige de donner les ordres, il refuse toute familiarité avec Pawley. Il déshérite sa nièce au profit de Martin Pawley, parce qu'aux liens du sang, il privilégie le mérite (Martin vient de lui sauver la vie ou quasiment). C'est un homme qui ne renonce jamais et ne pardonne pas à ses ennemis.
* Ethan est animé d'un esprit de vengeance à l'égard des Indiens, en tout cas des Comanches (qu'il connaît bien puisqu'il parle leur langue). S'il tue les bisons, c'est qu'ils représentent un moyen de subsistance pour ces Comanches. S'il tire sur le cadavre d'un Comanche pour lui crever les yeux, c'est qu'il sait que ce guerrier sera ainsi, selon les croyances de son peuple, incapable de retrouver le chemin du paradis de ses ancêtres. Plus loin dans le film, quand Ethan réalise que sa nièce prisonnière est devenue une squaw du "Balafré", son affection pour elle disparaît, en tout cas momentanément : il est tout près de la tuer comme si elle n'était plus qu'un objet souillé et de honte pour lui. Enfin, pour vaincre les Comanches, il ne craint pas d'adopter leurs pratiques guerrières les plus sauvages : il finit par scalper le cadavre du "Balafré" (qui était lui-même fier d'avoir scalpé de nombreux blancs des deux sexes).
* Mais le film se conclut par toute une séquence de rédemption : en prenant la jeune femme dans ses bras et en la transportant jusqu'à la ferme des Jorgensen, il la reconnaît comme sa nièce, lui sauve la vie et la rend à la civilisation des pionniers blancs américains.
* On peut néanmoins noter qu'à la toute fin du film, il n'entre pas, lui, dans la maison des Jorgensen (parallélisme avec la première scène où il entrait chez son frère Aaron Edwards). Il ne se reconnaît plus vraiment de famille. Il repart, tel un justicier solitaire, vers le désert, sa patrie.
Comme souvent chez Ford ils sont nombreux. Ils permettent d'humaniser le film, de présenter la vie des pionniers, d'introduire une touche d'humour en contrepoint de la quête d'Ethan et Martin.
Le pasteur est aussi le chef des rangers : il résume toute la vision sociale de Ford : une loi sévère mais conforme à la morale biblique (Ford est d'origine irlandaise). Cette morale est aussi celle des fiancés qui s'aiment platoniquement et se restent fidèles malgré cinq ans de séparation - réminiscence certaine de l'Odyssée et de Pénélope. La maladresse de la lettre de Pawley témoigne de son innocence des choses de l'amour.
Les pionniers sont pauvres mais ils se soutiennent face à l'adversité : ils ont leur propre milice de rangers ; ils font une grande fête pour le mariage ; leur solidarité et sens de l'hospitalité n'ont pas de limites : Martin Pawley a été adopté tout gamin par Aaron Edwards (après que ses parents aient été tués par les Comanches) ; il se met pendant cinq ans aux ordres de son oncle adoptif Ethan (sans être rebuté par la dureté première de celui-ci à son égard) pour retrouver Debbie sa soeur adoptive ; celle-ci est accueillie à bras ouverts par les Jorgensen malgré sa longue captivité chez les Comanches et son "indiennisation" de fait ; le vieil aventurier Moïse finit par avoir son rocking-chair près de l'âtre chez les Jorgensen, etc ...
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302226 18 H.1.03109 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible L'aurore / Joël Magny
Titre : L'aurore : Dossier pédagogique Type de document : texte imprimé Auteurs : Joël Magny, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2005 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-435-0 Note générale :
L'Aurore (Sunrise) est un film américain réalisé par F. W. Murnau en 1927.
* Avant-Première : 29 novembre 1927 au Carthay Circle Theater, avec une musique de Carli Elinor
* Première : 23 décembre 1927
* Sortie parisienne : 9 mars 1928 au cinéma Max Linder
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Aurore Sunrise A song of two humans Friedrich Wilhelm Murnau Carl Mayer A trip to Tilsitt Hermann Sudermann Charles Rosher Karl Struss Hermann Bing Rochus Gliese Hugo Riesenfeld William Fox Twentieth Century Fox Cinéma américain George O'Brien Janet Gaynor Bodil Rosing Margaret Livingston J. Farrell MacDonald Sally Eilers Ralph Sipperly Jane Winton Eddie Boland Arthur Houseman Gina Corrado Clarence Wilson Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un pêcheur et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il ne peut l'accomplir et sa femme s'enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s'en vont insensiblement vers la ville. C'est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l'atmosphère urbaine, avant de s'en retourner chez eux. Mais une tempête les attend. Le paysan, croyant son épouse morte, tente de tuer la séductrice de la ville. Heureusement, sa femme a pu être sauvée et, au moment où l'aurore se lève, les deux époux se retrouvent dans leur amour, alors que la femme de la ville s'enfuit.
Note de contenu :
En 1958, s'opposant à leurs aînés, des jeunes critiques consacrent L'Aurore comme " le plus beau film du monde ". Près d'un demi-siècle plus tard le film n'a rien perdu de son éclat ni de son aura. Dès la première vision, John Ford considérait L'Aurore comme "" le plus grand film jamais produit ". De nos jours, Martin Scorsese ne cache pas son admiration pour ce film qui " offrait des visions, un paysage mental " et " avait pour ambition dépeindre les désirs des personnages avec de la lumière et des ombres ". Quelles sont les raisons d'un destin aussi exceptionnel pour un film ? Jamais dans l'histoire du cinéma hollywoodien un réalisateur n'a bénéficié d'une telle liberté et de tels moyens. Frappé par Le Dernier des hommes (1924), William Fox fait venir le réalisateur à Hollywood et lui donne une " carte blanche " totale, dont Murnau n'hésitera pas à se servir pleinement. Le sous-titre de L'Aurore est significatif: " A Song of Two Humans ". Une histoire d'amour universelle, dont les protagonistes sont à la fois des individus faits de chair, de sexe et de sentiments, élevés au rang de mythes universels. L'Aurore est moins un récit qu'un chant : un cinéma de poésie, aurait dit Pier Paolo Pasolini. Chaque séquence, chaque plan est marqué du sceau d'un véritable auteur, par un style fait de mouvements, de contrastes et de subtilités. Un style qui n'est en rien plaqué de l'extérieur, mais émane des personnages, du décor, de l'univers même.
"Le génie cinématographique de Murnau fit des prodiges. L'histoire, d'insipide, devint sublime grâce à une prodigieuse science de l'image". (Ado Kyrou)
Véritable enchanteur de la lumière, Murnau prouve que le cinéma peut se hisser au niveau de la littérature, et que l'image muette laisse jaillir autant de poésie et de lyrisme qu'une symphonie de Beethoven. Certainement l'un des plus grands films de tous les temps.
Ce film a été tourné après l'invitation adressée à F. W. Murnau par le producteur William Fox qui avait vu Le Dernier des hommes. C'est le premier film américain de Murnau. Déjà très connu par ses films européens, en particulier Nosferatu, il a bénéficié d'un budget illimité pour ce film.
Comme l'indique un carton affiché au début du film ainsi que la dénomination très générique des protagonistes (« l'homme », « la femme »), Murnau n'a pas voulu raconter l'histoire particulière de deux personnages mais dépeindre une situation-type et des sentiments universels. Il a travaillé particulièrement la photographie dans les scènes nocturnes qui constituent l'essentiel du film. François Truffaut dit de L'Aurore qu'il est « le plus beau film du monde ».
L'Aurore a obtenu trois prix lors de la première cérémonie des Oscars en 1929 : meilleure valeur artistique (prix décerné une seule fois), meilleure actrice (Janet Gaynor, pour trois films à la fois) et meilleure photographie (Charles Rosher et Karl Struss).
Les caractéristiques esthétiques majeures de l'expressionnisme en peinture sont la déformation de la ligne et des couleurs au profit d'une affirmation exacerbée mais aussi visible et assumée du sentiment du peintre. Il va de soi que l'on ne recherchera qu'exceptionnellement de telles caractéristiques dans les films regroupés sous ce terme. Les décors en studio abstraits, bizarres et sombres ne valent que pour les tous débuts de l'expressionnisme et Le cabinet du docteur Caligari, malgré son importance historique, n'est pas un chef-d'œuvre.
Des rapprochements fondés sur la ressemblance peinture-photogramme peuvent ici être facilement trouvés. Il y a bien une ressemblance entre le tableau de Munch et la situation juste avant le crime projeté. C'est tout autant l'homme que la femme qui crieront d'effroi.
Comme caractéristiques formelles majeures de l'expressionnisme au cinéma nous retiendrons le jeu typé des acteurs et surtout, l'opposition de l'ombre et de la lumière lorsqu'elle provient du sentiment de l'esprit perdu dans les ténèbres qui s'oppose à l'envahissement d'une vie marécageuse qui ignore la sagesse. L'expressionnisme met ainsi en jeu une dialectique du bien et du mal, une confrontation qui se joue au sein du plan.
L'aurore est ainsi beaucoup plus allemand qu'américain car l'expressionnisme y est encore très présent, dramatiquement dans les trois jeux d'oppositions qu'il met en scène et dans son utilisation du cadre et de la profondeur de champ.
Le film raconte l'histoire d'un homme déchiré entre l'amour et le sexe. D'un côté l'objet aimé, l'éternelle jeune fille pure et parfaite ; de l'autre l'objet sexuel, l'amante, irrésistible magicienne, envoûtante et possessive.
A ce déchirement entre la noblesse de l'amour et la violence des plus obscures pulsions s'ajoute l'opposition entre, d'une part, la pureté et la vertu de la campagne et, d'autre part, la corruption pernicieuse de la ville tentaculaire.
Troisième opposition qui englobe les deux autres, le face à face occulte du jour et de la nuit. Au visage naturel, clair de la femme s'opposent les artifices de la lumière nocturne ; complice de la mort, la lune ne réfléchit que l'astre diurne. C'est la dimension fantastique du film. La ville et la nuit envoient leur messagère voler ce qu'il y a de plus précieux dans le monde du jour. La ville et la nuit s'emparent de l'âme et de l'esprit de l'homme, lui proposent agitation, désordre, perpétuelle excitation.
Le crime ou la mort ne peuvent avoir lieu de jour. Malgré les semelles de plomb pour évoquer le côté Frankenstein, le jour réveille la conscience et empêche le crime dans le bateau lors de la première partie.
Pour que l'amour renaisse, il faut que la nuit et la ville soient vaincus sur leur territoire propre. Le tram, anti-naturel au possible, vient chercher le couple pour effacer le traumatisme d'une terreur violente et de la culpabilité, pour permettre cette réconciliation. Après le passage du lac, no man's land qui sépare les domaines du jour et de la nuit, le parcours sinueux du train évoque un parcourt tourmenté comme l'âme du couple. Par une série de victoires, la ville et la nuit vont intensifier l'amour du couple.
Arrivée dans une ville à la circulation terrible, l'homme évite de justesse à la femme d'être renversée par les voitures. Ils s'installent dans un immense salon de thé où ils ne sont pas à leur place dans cette mégalopole transparente. Le geste lent et pénible du simple pain offert, mouvement de crainte et de tendresse pour effacer les frayeurs, atténuer la honte, implorer le pardon épuiser la culpabilité est le premier espoir du retour d'un bonheur que l'on croyait perdu à jamais.
La séquence suivante dans l'église avec les lumières divines, peintes à la main sur le fond du décor, renvoie au mythe de l'union sacrée de l'homme et de la femme avec un remariage par procuration.
Les plaisirs de la ville sont manifestes dès la sortie de l'église. Ce sont eux les nouveaux mariés. La ville n'est plus dangereuse. Les transparences ostentatoires indiquent une traversée des apparences. Par un fondu, ils se retrouvent dans une campagne fleurie, nimbée par la lumière solaire. Ce droit chemin est récompensé par un baiser de happy-end.
La ville présente ensuite sa réalité comique, son univers frivole. Le montage alterné avec les plans de la femme fatale indique de nouvelles épreuves. Le soleil artificiel et le travelling suspendu engloutissent le couple. Avec la danse de la moisson, le couple affirme sa noblesse face aux moqueries des bourgeois. Le couple se croit au paradis mais de noires créatures annoncent l'épreuve ultime du retour.
La tempête est l'ultime instrument de la puissance maléfique de la nuit. La dernière violence à résoudre. La dernière image indique que l'aurore a dissipé les angoisses et fantômes de la nuit mais qu'elle en a aussi reçu les bienfaits. Indre, les cheveux défaits est redevenue la femme de Ansass.
L'expressionnisme allemand se résout en drame organique à l'américaine. C'est en effet à une véritable opération de dessillement que s'est livré le film : la brune vient de la ville où, comme nous le montrent les premières séquences, règne la publicité. Elle veut vendre à l'homme l'image d'une ville faite de bruits, de lumières et de plaisirs entêtants. Or la ville est faite de plaisirs et de dangers beaucoup plus terrestres : un photographe farceur, un cochon de foire d'un côté et des automobiles ou des hommes un peu trop empressés de l'autre. Pour renouer avec sa femme, l'homme devra d'abord voir l'image d'un vrai mariage pour comprendre le sien, accepter de ne pas poser de manière figée et profiter du baiser impulsif que lui demande sa compagne et enfin et surtout accepter la danse paysanne.
L'expressionnisme de Caligari ou celui de Fritz Lang développent des diagonales et des contre-diagonales. Les portes, les fenêtres, les guichets, les lucarnes, les vitres de voiture, les miroirs sont autant de cadres dans le cadre. A cette conception géométrique du cadre, Murnau va, selon Gille Deleuze, opposer une conception physique qui induit des ensembles flous qui ne se divisent plus qu'en zones ou plages.
Le cadre n'est plus l'objet de divisions géométriques, mais de graduations physiques. C'est l'heure où l'on ne peut plus distinguer l'aurore et le crépuscule, ni l'air ni l'eau, l'eau et la terre, dans le grand mélange d'un marais ou d'une tempête. C'est par les degrés du mélange que les parties se distinguent et se confondent dans une transformation continue des valeurs.
C'est probablement ce à quoi avait pensé Gaston Bachelard dans L'eau et les rêves, lorsque dans son quatrième chapitre consacré aux eaux composées il écrivait :
"L'imagination matérielle, l'imagination des quatre éléments, même si elle favorise un élément aime à jouer avec les images et leurs combinaisons. Elle veut que son élément favori imprègne tout, elle veut qu'il soit la substance de tout un monde. (...). Comme l'eau est la substance qui s'offre le mieux aux mélanges, la nuit va pénétrer les eaux, elle va tenir le lac dans ses profondeurs, elle va imprégner l'étang. (...) L'union de l'eau et la terre donne la pâte, pâte non formée sans les divers reposoirs des ébauches successives."
Autre manifestation de l'expressionnisme au sein du plan, l'utilisation virtuose du plan séquence avec profondeur de champ :
* avec vision déformante du grand angle : première sortie de la vamp qui demande à ce qu'on lui cire ses chaussures.
* avec mouvement d'appareil : l'homme franchissant la barrière, la caméra file alors à travers les arbres pour saisir la vamp se maquillant au bord de l'eau et regarder l'homme venir à sa rencontre par le côté gauche du cadre
* avec gros plan sur la nuque des vieillards lorsqu'elle sort.
* avec utilisation symbolique, l'opposition bien/mal : au premier plan, l'homme sur son lit au réveil, décidé à tuer sa femme alors que celle-ci, dehors dans la profondeur de champ, est l'image d'un ange au milieu des oiseaux. A l'inverse, à la fin du film, la vamp sur la branche, regardant au loin les paysans revenir sans la femme, figure une panthère prédatrice.
L'aurore : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Joël Magny, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2005. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-435-0
L'Aurore (Sunrise) est un film américain réalisé par F. W. Murnau en 1927.
* Avant-Première : 29 novembre 1927 au Carthay Circle Theater, avec une musique de Carli Elinor
* Première : 23 décembre 1927
* Sortie parisienne : 9 mars 1928 au cinéma Max Linder
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : films Mots-clés : L'Aurore Sunrise A song of two humans Friedrich Wilhelm Murnau Carl Mayer A trip to Tilsitt Hermann Sudermann Charles Rosher Karl Struss Hermann Bing Rochus Gliese Hugo Riesenfeld William Fox Twentieth Century Fox Cinéma américain George O'Brien Janet Gaynor Bodil Rosing Margaret Livingston J. Farrell MacDonald Sally Eilers Ralph Sipperly Jane Winton Eddie Boland Arthur Houseman Gina Corrado Clarence Wilson Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un pêcheur et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il ne peut l'accomplir et sa femme s'enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s'en vont insensiblement vers la ville. C'est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l'atmosphère urbaine, avant de s'en retourner chez eux. Mais une tempête les attend. Le paysan, croyant son épouse morte, tente de tuer la séductrice de la ville. Heureusement, sa femme a pu être sauvée et, au moment où l'aurore se lève, les deux époux se retrouvent dans leur amour, alors que la femme de la ville s'enfuit.
Note de contenu :
En 1958, s'opposant à leurs aînés, des jeunes critiques consacrent L'Aurore comme " le plus beau film du monde ". Près d'un demi-siècle plus tard le film n'a rien perdu de son éclat ni de son aura. Dès la première vision, John Ford considérait L'Aurore comme "" le plus grand film jamais produit ". De nos jours, Martin Scorsese ne cache pas son admiration pour ce film qui " offrait des visions, un paysage mental " et " avait pour ambition dépeindre les désirs des personnages avec de la lumière et des ombres ". Quelles sont les raisons d'un destin aussi exceptionnel pour un film ? Jamais dans l'histoire du cinéma hollywoodien un réalisateur n'a bénéficié d'une telle liberté et de tels moyens. Frappé par Le Dernier des hommes (1924), William Fox fait venir le réalisateur à Hollywood et lui donne une " carte blanche " totale, dont Murnau n'hésitera pas à se servir pleinement. Le sous-titre de L'Aurore est significatif: " A Song of Two Humans ". Une histoire d'amour universelle, dont les protagonistes sont à la fois des individus faits de chair, de sexe et de sentiments, élevés au rang de mythes universels. L'Aurore est moins un récit qu'un chant : un cinéma de poésie, aurait dit Pier Paolo Pasolini. Chaque séquence, chaque plan est marqué du sceau d'un véritable auteur, par un style fait de mouvements, de contrastes et de subtilités. Un style qui n'est en rien plaqué de l'extérieur, mais émane des personnages, du décor, de l'univers même.
"Le génie cinématographique de Murnau fit des prodiges. L'histoire, d'insipide, devint sublime grâce à une prodigieuse science de l'image". (Ado Kyrou)
Véritable enchanteur de la lumière, Murnau prouve que le cinéma peut se hisser au niveau de la littérature, et que l'image muette laisse jaillir autant de poésie et de lyrisme qu'une symphonie de Beethoven. Certainement l'un des plus grands films de tous les temps.
Ce film a été tourné après l'invitation adressée à F. W. Murnau par le producteur William Fox qui avait vu Le Dernier des hommes. C'est le premier film américain de Murnau. Déjà très connu par ses films européens, en particulier Nosferatu, il a bénéficié d'un budget illimité pour ce film.
Comme l'indique un carton affiché au début du film ainsi que la dénomination très générique des protagonistes (« l'homme », « la femme »), Murnau n'a pas voulu raconter l'histoire particulière de deux personnages mais dépeindre une situation-type et des sentiments universels. Il a travaillé particulièrement la photographie dans les scènes nocturnes qui constituent l'essentiel du film. François Truffaut dit de L'Aurore qu'il est « le plus beau film du monde ».
L'Aurore a obtenu trois prix lors de la première cérémonie des Oscars en 1929 : meilleure valeur artistique (prix décerné une seule fois), meilleure actrice (Janet Gaynor, pour trois films à la fois) et meilleure photographie (Charles Rosher et Karl Struss).
Les caractéristiques esthétiques majeures de l'expressionnisme en peinture sont la déformation de la ligne et des couleurs au profit d'une affirmation exacerbée mais aussi visible et assumée du sentiment du peintre. Il va de soi que l'on ne recherchera qu'exceptionnellement de telles caractéristiques dans les films regroupés sous ce terme. Les décors en studio abstraits, bizarres et sombres ne valent que pour les tous débuts de l'expressionnisme et Le cabinet du docteur Caligari, malgré son importance historique, n'est pas un chef-d'œuvre.
Des rapprochements fondés sur la ressemblance peinture-photogramme peuvent ici être facilement trouvés. Il y a bien une ressemblance entre le tableau de Munch et la situation juste avant le crime projeté. C'est tout autant l'homme que la femme qui crieront d'effroi.
Comme caractéristiques formelles majeures de l'expressionnisme au cinéma nous retiendrons le jeu typé des acteurs et surtout, l'opposition de l'ombre et de la lumière lorsqu'elle provient du sentiment de l'esprit perdu dans les ténèbres qui s'oppose à l'envahissement d'une vie marécageuse qui ignore la sagesse. L'expressionnisme met ainsi en jeu une dialectique du bien et du mal, une confrontation qui se joue au sein du plan.
L'aurore est ainsi beaucoup plus allemand qu'américain car l'expressionnisme y est encore très présent, dramatiquement dans les trois jeux d'oppositions qu'il met en scène et dans son utilisation du cadre et de la profondeur de champ.
Le film raconte l'histoire d'un homme déchiré entre l'amour et le sexe. D'un côté l'objet aimé, l'éternelle jeune fille pure et parfaite ; de l'autre l'objet sexuel, l'amante, irrésistible magicienne, envoûtante et possessive.
A ce déchirement entre la noblesse de l'amour et la violence des plus obscures pulsions s'ajoute l'opposition entre, d'une part, la pureté et la vertu de la campagne et, d'autre part, la corruption pernicieuse de la ville tentaculaire.
Troisième opposition qui englobe les deux autres, le face à face occulte du jour et de la nuit. Au visage naturel, clair de la femme s'opposent les artifices de la lumière nocturne ; complice de la mort, la lune ne réfléchit que l'astre diurne. C'est la dimension fantastique du film. La ville et la nuit envoient leur messagère voler ce qu'il y a de plus précieux dans le monde du jour. La ville et la nuit s'emparent de l'âme et de l'esprit de l'homme, lui proposent agitation, désordre, perpétuelle excitation.
Le crime ou la mort ne peuvent avoir lieu de jour. Malgré les semelles de plomb pour évoquer le côté Frankenstein, le jour réveille la conscience et empêche le crime dans le bateau lors de la première partie.
Pour que l'amour renaisse, il faut que la nuit et la ville soient vaincus sur leur territoire propre. Le tram, anti-naturel au possible, vient chercher le couple pour effacer le traumatisme d'une terreur violente et de la culpabilité, pour permettre cette réconciliation. Après le passage du lac, no man's land qui sépare les domaines du jour et de la nuit, le parcours sinueux du train évoque un parcourt tourmenté comme l'âme du couple. Par une série de victoires, la ville et la nuit vont intensifier l'amour du couple.
Arrivée dans une ville à la circulation terrible, l'homme évite de justesse à la femme d'être renversée par les voitures. Ils s'installent dans un immense salon de thé où ils ne sont pas à leur place dans cette mégalopole transparente. Le geste lent et pénible du simple pain offert, mouvement de crainte et de tendresse pour effacer les frayeurs, atténuer la honte, implorer le pardon épuiser la culpabilité est le premier espoir du retour d'un bonheur que l'on croyait perdu à jamais.
La séquence suivante dans l'église avec les lumières divines, peintes à la main sur le fond du décor, renvoie au mythe de l'union sacrée de l'homme et de la femme avec un remariage par procuration.
Les plaisirs de la ville sont manifestes dès la sortie de l'église. Ce sont eux les nouveaux mariés. La ville n'est plus dangereuse. Les transparences ostentatoires indiquent une traversée des apparences. Par un fondu, ils se retrouvent dans une campagne fleurie, nimbée par la lumière solaire. Ce droit chemin est récompensé par un baiser de happy-end.
La ville présente ensuite sa réalité comique, son univers frivole. Le montage alterné avec les plans de la femme fatale indique de nouvelles épreuves. Le soleil artificiel et le travelling suspendu engloutissent le couple. Avec la danse de la moisson, le couple affirme sa noblesse face aux moqueries des bourgeois. Le couple se croit au paradis mais de noires créatures annoncent l'épreuve ultime du retour.
La tempête est l'ultime instrument de la puissance maléfique de la nuit. La dernière violence à résoudre. La dernière image indique que l'aurore a dissipé les angoisses et fantômes de la nuit mais qu'elle en a aussi reçu les bienfaits. Indre, les cheveux défaits est redevenue la femme de Ansass.
L'expressionnisme allemand se résout en drame organique à l'américaine. C'est en effet à une véritable opération de dessillement que s'est livré le film : la brune vient de la ville où, comme nous le montrent les premières séquences, règne la publicité. Elle veut vendre à l'homme l'image d'une ville faite de bruits, de lumières et de plaisirs entêtants. Or la ville est faite de plaisirs et de dangers beaucoup plus terrestres : un photographe farceur, un cochon de foire d'un côté et des automobiles ou des hommes un peu trop empressés de l'autre. Pour renouer avec sa femme, l'homme devra d'abord voir l'image d'un vrai mariage pour comprendre le sien, accepter de ne pas poser de manière figée et profiter du baiser impulsif que lui demande sa compagne et enfin et surtout accepter la danse paysanne.
L'expressionnisme de Caligari ou celui de Fritz Lang développent des diagonales et des contre-diagonales. Les portes, les fenêtres, les guichets, les lucarnes, les vitres de voiture, les miroirs sont autant de cadres dans le cadre. A cette conception géométrique du cadre, Murnau va, selon Gille Deleuze, opposer une conception physique qui induit des ensembles flous qui ne se divisent plus qu'en zones ou plages.
Le cadre n'est plus l'objet de divisions géométriques, mais de graduations physiques. C'est l'heure où l'on ne peut plus distinguer l'aurore et le crépuscule, ni l'air ni l'eau, l'eau et la terre, dans le grand mélange d'un marais ou d'une tempête. C'est par les degrés du mélange que les parties se distinguent et se confondent dans une transformation continue des valeurs.
C'est probablement ce à quoi avait pensé Gaston Bachelard dans L'eau et les rêves, lorsque dans son quatrième chapitre consacré aux eaux composées il écrivait :
"L'imagination matérielle, l'imagination des quatre éléments, même si elle favorise un élément aime à jouer avec les images et leurs combinaisons. Elle veut que son élément favori imprègne tout, elle veut qu'il soit la substance de tout un monde. (...). Comme l'eau est la substance qui s'offre le mieux aux mélanges, la nuit va pénétrer les eaux, elle va tenir le lac dans ses profondeurs, elle va imprégner l'étang. (...) L'union de l'eau et la terre donne la pâte, pâte non formée sans les divers reposoirs des ébauches successives."
Autre manifestation de l'expressionnisme au sein du plan, l'utilisation virtuose du plan séquence avec profondeur de champ :
* avec vision déformante du grand angle : première sortie de la vamp qui demande à ce qu'on lui cire ses chaussures.
* avec mouvement d'appareil : l'homme franchissant la barrière, la caméra file alors à travers les arbres pour saisir la vamp se maquillant au bord de l'eau et regarder l'homme venir à sa rencontre par le côté gauche du cadre
* avec gros plan sur la nuque des vieillards lorsqu'elle sort.
* avec utilisation symbolique, l'opposition bien/mal : au premier plan, l'homme sur son lit au réveil, décidé à tuer sa femme alors que celle-ci, dehors dans la profondeur de champ, est l'image d'un ange au milieu des oiseaux. A l'inverse, à la fin du film, la vamp sur la branche, regardant au loin les paysans revenir sans la femme, figure une panthère prédatrice.
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