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Des films pour le dire / Claudine Drame
Titre : Des films pour le dire : Reflets de la Shoah au cinéma 1945-1985 Type de document : texte imprimé Auteurs : Claudine Drame, Auteur Editeur : Métropolis Année de publication : 2007 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-88340-173-0 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Nuit et brouillard Alain Resnais Shoah juif Le champ de la mort Deuxième Guerre mondiale L'Enclos Le Temps du Ghetto Occupation Le Vieil Homme et l'Enfant Lacombe Lucien Les Guichets du Louvre Un Sac de billes Monsieur Klein Les Violons du bal La Passante du Sans Souci Claude Lanzmann mémoire sociale Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le champ de la relecture côtoie celui, mieux défini, de la réécriture. Nombre d'auteurs se relisent, sans se récrire ni se commenter. Tacitement par l'image ou la mise en scène. Tardivement par des moyens moins laconiques. Analyser l'ensemble de ces gestes du XVIIIe au XXe siècle, c'est s'intéresser au rapport de soi à l'autre qu'on fut, à la conversion masquée ou proclamée, au reniement tacite ou non, au deuil ou à son impossibilité. C'est aussi dégager des constantes : homme de dos, l'auteur relecteur est volontiers diariste ou autobiographe, tourné vers son passé et celui de son œuvre, il se relit de plus en plus à l'approche de la mort, construit rarement un seul tombeau, peaufine son testament, d'œuvres ultimes en préfaces préposthumes. Lorsqu'elle est véritablement tardive, la relecture est un legs, parfois une bouteille à la mer qui ne se confond plus avec les réactions à chaud, les réponses virulentes aux lecteurs et aux critiques, mais la blessure de la réception originale, le sentiment d'un malentendu primordial ne s'apaisent pas nécessairement. Rares sont les relecteurs heureux, à la fois satisfaits de leurs contemporains et confiants dans ce jugement de la postérité qu'ils ne cessent d'anticiper, tant relire, c'est élire et parfois défigurer l'œuvre, relue, revue et corrigée, quelque fois mise en pièces. Le tome 1 propose au fil du volume une définition de la relecture, le tome 2 en esquisse une histoire au XXe siècle. Quand les mots ne sont pas là pour le dire, quand ils ne sont pas entendus ou quand on n'a pas envie de les entendre, le cinéma peut-il prendre leur place ? De la fin de la Deuxième Guerre mondiale à 1985, quand, comment et pourquoi le cinéma s'est-il intéressé, en particulier en France, à la destruction des juifs d'Europe ? Les Actualités cinématographiques circonscrites à quelques mois de l'année 1945, avec leur brutalité, font figure de berceau de représentations. Après dix ans de silence, le cinéma français tente d'aborder directement la question en expérimentant la forme documentaire (Nuit et Brouillard), la fiction (L'Enclos) et le témoignage filmé (Le Temps du Ghetto). Les années 70 et 80 voient des formes plus allusives de représentation : les évocations de la Shoah se situent toujours en arrière-plan d'une narration concernant l'Occupation (Le Vieil Homme et l'Enfant, Lacombe Lucien, Les Guichets du Louvre, Un Sac de billes, Monsieur Klein, Les Violons du bal, La Passante du Sans Souci...) pour aboutir à une représentation et une " vérité " plus dépouillées : le témoignage filmé. Claudine Drame analyse ainsi quarante ans de cinéma jusqu'au moment où sort le film de Claude Lanzmann, Shoah, en 1985. Ainsi se dessine la trace de la construction d'une mémoire sociale par le cinéma.Des films pour le dire : Reflets de la Shoah au cinéma 1945-1985 [texte imprimé] / Claudine Drame, Auteur . - Métropolis, 2007.
ISBN : 978-2-88340-173-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Communication d'entreprise:Désinformation et mésinformation
Education par les médias:Sciences humaines:Histoire:Epoque contemporaine (1789 à nos jours):Guerre 40-45Mots-clés : Nuit et brouillard Alain Resnais Shoah juif Le champ de la mort Deuxième Guerre mondiale L'Enclos Le Temps du Ghetto Occupation Le Vieil Homme et l'Enfant Lacombe Lucien Les Guichets du Louvre Un Sac de billes Monsieur Klein Les Violons du bal La Passante du Sans Souci Claude Lanzmann mémoire sociale Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Le champ de la relecture côtoie celui, mieux défini, de la réécriture. Nombre d'auteurs se relisent, sans se récrire ni se commenter. Tacitement par l'image ou la mise en scène. Tardivement par des moyens moins laconiques. Analyser l'ensemble de ces gestes du XVIIIe au XXe siècle, c'est s'intéresser au rapport de soi à l'autre qu'on fut, à la conversion masquée ou proclamée, au reniement tacite ou non, au deuil ou à son impossibilité. C'est aussi dégager des constantes : homme de dos, l'auteur relecteur est volontiers diariste ou autobiographe, tourné vers son passé et celui de son œuvre, il se relit de plus en plus à l'approche de la mort, construit rarement un seul tombeau, peaufine son testament, d'œuvres ultimes en préfaces préposthumes. Lorsqu'elle est véritablement tardive, la relecture est un legs, parfois une bouteille à la mer qui ne se confond plus avec les réactions à chaud, les réponses virulentes aux lecteurs et aux critiques, mais la blessure de la réception originale, le sentiment d'un malentendu primordial ne s'apaisent pas nécessairement. Rares sont les relecteurs heureux, à la fois satisfaits de leurs contemporains et confiants dans ce jugement de la postérité qu'ils ne cessent d'anticiper, tant relire, c'est élire et parfois défigurer l'œuvre, relue, revue et corrigée, quelque fois mise en pièces. Le tome 1 propose au fil du volume une définition de la relecture, le tome 2 en esquisse une histoire au XXe siècle. Quand les mots ne sont pas là pour le dire, quand ils ne sont pas entendus ou quand on n'a pas envie de les entendre, le cinéma peut-il prendre leur place ? De la fin de la Deuxième Guerre mondiale à 1985, quand, comment et pourquoi le cinéma s'est-il intéressé, en particulier en France, à la destruction des juifs d'Europe ? Les Actualités cinématographiques circonscrites à quelques mois de l'année 1945, avec leur brutalité, font figure de berceau de représentations. Après dix ans de silence, le cinéma français tente d'aborder directement la question en expérimentant la forme documentaire (Nuit et Brouillard), la fiction (L'Enclos) et le témoignage filmé (Le Temps du Ghetto). Les années 70 et 80 voient des formes plus allusives de représentation : les évocations de la Shoah se situent toujours en arrière-plan d'une narration concernant l'Occupation (Le Vieil Homme et l'Enfant, Lacombe Lucien, Les Guichets du Louvre, Un Sac de billes, Monsieur Klein, Les Violons du bal, La Passante du Sans Souci...) pour aboutir à une représentation et une " vérité " plus dépouillées : le témoignage filmé. Claudine Drame analyse ainsi quarante ans de cinéma jusqu'au moment où sort le film de Claude Lanzmann, Shoah, en 1985. Ainsi se dessine la trace de la construction d'une mémoire sociale par le cinéma.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302422 17 H.1.02990 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible