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Auteur Charlotte Garson |
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Titre : Amoureux Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Arles : Actes Sud Junior Année de publication : 2007 Collection : Atelier cinéma Importance : 1 vol. (87 p. dont 6 dépl.) Présentation : ill. en noir et en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-7006-9 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Amoureux Au cinéma Ouvrages pour la jeunesse Relations amoureuses Cinéma Thèmes motifs Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : “Quel film n’a pas sa petite ou sa grande love affair, tragique ou burlesque, entre un homme et une femme, deux hommes, deux femmes, une martienne et un terrien, une belle et une bête… ? Comme elle fut racontée des siècles durant en littérature, la rencontre amoureuse est rejouée jusqu’à plus soif par le septième art.” Plus encore que la littérature, le cinéma est le cadre idéal de l’amour, avec ses grandes scènes de baisers, ses moments de retrouvailles et de séparations déchirantes, ses visages de stars filmées et éclairées pour chavirer les coeurs, des spectateurs comme de leurs partenaires. Ce livre explore les multiples situations amoureuses mises en scène dans les mélos comme dans les comédies : de la fièvre ardente de Sabrina au drôle d’état de Krimo dans l’Esquive, des premiers échanges de regards entre Lauren Bacall et Humphrey Bogart à la rencontre attendue mais sans cesse retardée des demoiselles de Rochefort, de la parade amoureuse endiablée de Grease aux étreintes passionnées de la Fièvre dans le sang. Sur le dépliant intérieur, l’analyse d’une séquence de Bonnie and Clyde (Arthur Penn, 1967). Amoureux [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Arles : Actes Sud Junior, 2007 . - 1 vol. (87 p. dont 6 dépl.) : ill. en noir et en coul. ; 21 cm. - (Atelier cinéma) .
ISBN : 978-2-7427-7006-9
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Amoureux Au cinéma Ouvrages pour la jeunesse Relations amoureuses Cinéma Thèmes motifs Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : “Quel film n’a pas sa petite ou sa grande love affair, tragique ou burlesque, entre un homme et une femme, deux hommes, deux femmes, une martienne et un terrien, une belle et une bête… ? Comme elle fut racontée des siècles durant en littérature, la rencontre amoureuse est rejouée jusqu’à plus soif par le septième art.” Plus encore que la littérature, le cinéma est le cadre idéal de l’amour, avec ses grandes scènes de baisers, ses moments de retrouvailles et de séparations déchirantes, ses visages de stars filmées et éclairées pour chavirer les coeurs, des spectateurs comme de leurs partenaires. Ce livre explore les multiples situations amoureuses mises en scène dans les mélos comme dans les comédies : de la fièvre ardente de Sabrina au drôle d’état de Krimo dans l’Esquive, des premiers échanges de regards entre Lauren Bacall et Humphrey Bogart à la rencontre attendue mais sans cesse retardée des demoiselles de Rochefort, de la parade amoureuse endiablée de Grease aux étreintes passionnées de la Fièvre dans le sang. Sur le dépliant intérieur, l’analyse d’une séquence de Bonnie and Clyde (Arthur Penn, 1967). Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300856 22 H.1.03071 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300856URL
Titre : Le cinéma hollywoodien Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-532-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : histoire du cinéma cinéma américain cinéma production et réalisation Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Lieu de la naissance de l’industrie cinématographique, Hollywood est aussi devenu un modèle esthétique, celui du cinéma classique, avec ses conventions narratives (le happy end, le flash back) et ses figures incontournables (le producteur, le directeur de studio, l’art director). C’est donc à la fois comme « usine à rêves » où règne une stricte division du travail et comme tradition cinématographique qui a influencé tout le cinéma mondial que cet ouvrage se propose d’aborder Hollywood.
Ce Petit Cahier constitue un complément à l’option « Cinéma et audiovisuel » des lycées, qui comprend La Mort aux trousses d’Alfred Hitchcock.
Comment la machine hollywoodienne se met-elle en branle dès le stade du développement des scénarios, comment tourne-t-on en studio ? Quels studios (MGM, Universal...) ont joué un rôle majeur dans l’histoire du cinéma ? Quel rôle avait le réalisateur dans cette hiérarchie ? Et surtout : comment une telle répartition des rôles a-t-elle pu donner naissance à la fois à de simples produits de série et à des chefs-d’œuvre ?Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Le cinéma hollywoodien [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-532-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : histoire du cinéma cinéma américain cinéma production et réalisation Index. décimale : 21 Langage cinématographique Résumé : Lieu de la naissance de l’industrie cinématographique, Hollywood est aussi devenu un modèle esthétique, celui du cinéma classique, avec ses conventions narratives (le happy end, le flash back) et ses figures incontournables (le producteur, le directeur de studio, l’art director). C’est donc à la fois comme « usine à rêves » où règne une stricte division du travail et comme tradition cinématographique qui a influencé tout le cinéma mondial que cet ouvrage se propose d’aborder Hollywood.
Ce Petit Cahier constitue un complément à l’option « Cinéma et audiovisuel » des lycées, qui comprend La Mort aux trousses d’Alfred Hitchcock.
Comment la machine hollywoodienne se met-elle en branle dès le stade du développement des scénarios, comment tourne-t-on en studio ? Quels studios (MGM, Universal...) ont joué un rôle majeur dans l’histoire du cinéma ? Quel rôle avait le réalisateur dans cette hiérarchie ? Et surtout : comment une telle répartition des rôles a-t-elle pu donner naissance à la fois à de simples produits de série et à des chefs-d’œuvre ?Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301269 21 H.1.04023 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
Cinéma_hollywoodienURL Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" / Charlotte Garson
Titre : Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Garson, Auteur Editeur : Paris : CNC Année de publication : 2008 Autre Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Importance : 22 pp. Note générale :
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Dossier pédagogique de "Certains l'aiment chaud" [texte imprimé] / Charlotte Garson, Auteur . - Paris : CNC : Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 22 pp.
Certains l'aiment chaud (Some Like it Hot) est un film américain de Billy Wilder sorti en 1959.
Il est classé premier par l'AFI dans la liste des films américains les plus drôles du XXe siècle, devant Tootsie et Dr Folamour.
Le film est considéré comme un remake du film allemand sorti en 1951 Fanfaren der Liebe réalisé par Kurt Hoffmann et écrit par Michael Logan qu'il a lui même ensuite réécrit en adaptation américaine en y ajoutant quelques changements.
L'hôtel utilisé comme décor pour évoquer la Floride est le Del Coronado Hotel de San Diego (Californie).
Une remarque, que Tony Curtis aurait faite en aparté lors du visionnement de rushes, a fait le tour du monde. Exaspéré par les retards incessants de Marilyn Monroe ainsi que son manque de sûreté dans le travail et les nombreuses prises à effectuer, Curtis aurait commenté qu' « embrasser Marilyn Monroe, c'était comme embrasser Hitler ». Il a à plusieurs reprises démenti cela, notamment dans un reportage sur le film tourné en 2001 pour les besoins de sa sortie DVD.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Monographies : filmsMots-clés : Some Like it Hot Certains l’aiment chaud Billy Wilder I. A. L. Diamond Robert Thoeren Michael Logan Adolph Deutsch Ted Haworth Edward G. Boyle Bert Henrikson Orry-Kelly Alice Monte Agnes Flanagan Emile LaVigne Charles Lang Jr. Milt Rice Fred Lau Arthur P. Schmidt Eve Newman Doane Harrison Ashton Productions Inc. Mirisch Company United Artists Corporation Marilyn Monroe Claire Guibert Alouette Tony Curtis Jean-Claude Michel Jack Lemmon Roger Carel George Raft Jean Martinelli Joe E. Brown Fred Pasquali Barbara Drew Raymonde Devarennes Cinéma américain comédie Index. décimale : 19 Monographies : films Résumé :
Un corbillard est poursuivi par un véhicule de police. Des tirs s'échangent. Il arrive à s'échapper afin d'aller livrer son précieux chargement d'alcool de contrebande. C'est le Chicago de 1929, en pleine prohibition. La police fait une descente dans le tripot clandestin, dont deux musiciens, Joe le saxophoniste et Jerry le contrebassiste, arrivent à s'enfuir. Le lendemain, ils courent le cachet. Alors qu'ils vont chercher une voiture pour se rendre à leur nouvel engagement, ils sont témoins d'une tuerie entre bandes rivales de la Mafia. Afin d'échapper aux représailles, ils se font enrôler dans un orchestre composé uniquement de femmes et doivent donc se travestir en conséquence. Elles, puisque désormais ils se nomment Joséphine et Daphné, partent en train pour la Floride. Elles font la connaissance de Sugar Kane, la chanteuse de la troupe Sweet Sue and her society syncopators.
Pendant le trajet, une petite sauterie improvisée autour de quelques verres rend sympathiques les deux nouvelles arrivées. Joe - alias Joséphine - est très attiré par Sugar, qui lui raconte ses déboires amoureux avec les saxophonistes : en Floride, elle souhaite se trouver un millionnaire pour l'épouser.
La Floride, un hôtel de luxe où elles vont se produire et de nombreux millionnaires les accueillent chaleureusement. Daphné éblouit l'un d'entre eux, Osgood Fielding, et se fait inviter à dîner sur son yacht le soir même. Joséphine ourdit d'autres plans et, dans ce but, a subtilisé la valise du directeur et seul homme de la troupe. Ainsi Joséphine peut se transformer en jeune millionnaire pendant que toutes les musiciennes vont à la plage. Sugar y fait la connaissance de Junior, jeune héritier à millions, qui n'est autre que Joe.
Junior lui demande : "Does that mean you play that very fast music... jazz ? "
Sugar dans une moue troublante : "Yeah. Real hot ! "
Junior : "I guess some like it hot..."
(– Ça signifie que vous jouez cette musique très rapide... du jazz ? – Ouais. Et c'est très chaud ! – J'imagine que certains l'aiment chaud...)
Junior lui fixe un rendez-vous... sur le bateau de Osgood.
Le soir, l'orchestre joue et Sugar chante. À la fin du spectacle, elle se dépêche de se rendre au port de plaisance pendant que Joséphine doit se métamorphoser en Junior. Alors que Daphné passe une soirée dansante et chaude avec Osgood, un Junior stratège fait croire à Sugar qu'il est insensible à toute démarche féminine. Elle se fait donc un devoir de lui démontrer le contraire : "Let's throw another log on the fire" lui dit-elle même (– On va mettre le feu à une autre bûche ! ). Tout ce petit monde rentre chez soi. Une Daphné euphorique annonce à Joséphine qu'elle est fiancée. "Why would a guy wanna marry a guy ? " demande celle-ci. "Security ! " répond la future mariée (– Pourquoi est-ce qu'un homme épouserait un autre homme ? – Pour la sécurité ! ).
Le lendemain, les meurtriers mafieux de Chicago débarquent à l'hôtel sous couvert d'une conférence des Amis de l'opéra italien. Un commissaire veille (incognito, il lit la Gazette de la police ! ). Tous discutent de et recherchent les deux témoins échappés. Passant par la réception, Joséphine et Daphné aperçoivent les bandits et prennent peur et leurs jambes à leur cou. Comme il pense avant tout à sauver sa peau, Junior alias Joséphine lance un dernier coup de fil à Sugar pour rompre. Une course-poursuite s'engage entre la pègre et les deux travestis qui ont été reconnus. Cela se termine dans un bain de sang, en l'occurrence un règlement de compte entre italiens de différentes factions.
Joséphine retransformée en Joe, Sugar et Daphné ont le temps de rejoindre Osgood qui attend sa fiancée pour se rendre sur le yacht. Joe avoue tout à Sugar et celle-ci lui pardonne : l'amour est plus fort que tout. Un dernier dialogue entre Daphné et Osgood clôt de manière mémorable le film :
Daphné : "We can't get married at all"
Osgood : "Why not ? "
Daphné : "Well, in the first place, I'm not a natural blonde ! ".
Osgood : "Doesn't matter..."
Daphné : "I smoke. I smoke all the time. ".
Osgood : "I don't care. "
Daphné : "I have a terrible past. For three years now, I've been living with a saxophone player. ".
Osgood : "I forgive you. "
Daphné : "I can never have children".
Osgood : "We can adopt some"
Daphné en ôtant sa perruque : "You don't understand, Osgood, I'm a man ! ".
Osgood : "Well.. nobody's perfect ! "
(– Nous ne pouvons pas nous marier. – Pourquoi pas ? – Ben, premièrement parce que je ne suis pas une vraie blonde. – M'est égal... – Je fume. Je fume tout le temps. – Je m'en fiche. – Je traîne un horrible passé. Je viens de vivre trois ans avec un joueur de saxophone. – Je te pardonne. – Je ne peux pas avoir d'enfants. – On peut en adopter. – Tu ne comprends pas, Osgood, je suis un homme ! – Eh bien... personne n'est parfait ! )
Note de contenu :
* Pour le rôle finalement tenu par Jack Lemmon, Billy Wilder avait initialement choisi Frank Sinatra; mais ce dernier ne souhaitait pas être « Daphné », un homme travesti en femme. Quant au rôle de Marilyn Monroe, le premier choix était celui de Mitzi Gaynor : la distribution finale ne correspond donc guère aux choix originaux du réalisateur.
* L'adaptation française des dialogues est due à Raymond Queneau.
* 1re au générique de son 27e film, Marilyn Monroe interprète le rôle d'une chanteuse et musicienne dans un orchestre de femmes, Sugar Cane, de son vrai nom - polonais - Kowalczyk. Ses séquences sont très nombreuses :
o Chez l'impresario Poliakoff, on peut subrepticement apercevoir Marilyn sur une photo de l'orchestre accrochée au mur (14e minute).
o Sur le quai de la gare, une Marilyn fabuleusement belle apparaît à la 24e minute, arrivant évidemment la dernière pour prendre le train.
o Dans le train : Marilyn se fait surprendre par Tony Curtis et Jack Lemmon dans les WC en train de boire de l'alcool. Puis l'orchestre répète et Marilyn joue du ukulélé et chante. La bouteille de Marilyn tombe et Lemmon ment en prétendant que c'est la sienne. Puis Marilyn se couche, dévoilant un beau décolleté à Lemmon. Quelques instants plus tard, Marilyn rejoint Lemmon pour "la" remercier. Elles ne vont pas rester seules longtemps... Marilyn et Curtis peuvent discuter un moment entre elles.
o En Floride, à l'hôtel : arrivant à l'hôtel avec Curtis et Lemmon, à la réception et dans la chambre de ces derniers. À la plage en maillot de bain. Quelques instants plus tard, elle fait connaissance et tombe sous le charme d'un Tony Curtis grimé en millionnaire. Retour rapide à l'hôtel avec Lemmon qui désire confondre Curtis.
o La soirée : Marilyn interprète une chanson. Puis elle se rend à son rendez-vous en robe moulante et quelque peu transparente. Sur le bateau, une longue scène de séduction entre Marilyn et Curtis, agrémentée de nombreux baisers. Avant d'aller se coucher, elle rend visite à Curtis et Lemmon.
o Le lendemain matin, une Marilyn triste reçoit un appel de Curtis. Pour noyer son chagrin, elle va chercher de l'alcool chez ses deux copines.
o Marilyn chante une dernière fois sur scène avant de se faire embrasser par... Joséphine ! Elle prend la fuite et rejoint Tony Curtis en Joe sur la vedette du millionnaire.
* Marilyn interprète les chansons suivantes : Running Wild, I'm Through With Love et I Wanna Be Loved By You.
* Les références aux films de gangsters des années trente sont nombreuses, par exemple à propos du massacre de la Saint Valentin dans un garage, ou de George Raft qui fait sauter une piécette comme en 1932, mais l’effet choisi est plutôt burlesque et caricatural. On relève aussi « Les amis de l'opéra italien » qui s'offrent un monumental gâteau d'anniversaire, contenant un tueur et une mitraillette Thompson.
* Ce film fait partie de la Liste du BFI des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.
Niveau : Secondaire supérieur Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302677 19 H.1.04339/8 Dossier pédagogique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : Au Sud du cinéma : films d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Frodon (1953-....), Éditeur scientifique ; Véronique Foz, Traducteur ; Charlotte Garson, Traducteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2004 Importance : 1 vol. (255 p.) Présentation : nombreuses ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-395-7 Prix : 40 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : Cinéma Histoire et critique Afrique Asie Cinéma latino-américain Pays en voie de développement Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Le monde est différent. Le cinéma est différent. Depuis 20 ans, la planète cinématographique a changé de forme, de taille, de couleur, de rythme et d'intensité. Elle s'est agrandie aux dimensions de nouveaux continents entiers. C'est cet enrichissement que nous appelons ici le Sud du cinéma. Ces apports viennent de ce qu'on nomme " les pays du Sud ", la formule est contestable, pas la formidable ouverture qui s'est produite depuis deux décennies. D'Iran, de Chine, d'Argentine, d'Afrique noire, d'Asie centrale, du Moyen-Orient... sont venus de nouveaux artistes, de nouvelles histoires et de nouvelles manières de les raconter, de nouvelles images et de nouvelles manières de les montrer. Neuf régions où les héritages traditionnels originaux nourrissent des regards
au présent, en phase avec une actualité méconnue, passionnante, souvent tragique, parfois joyeuse. Pour en rendre compte, cet ouvrage propose neuf essais écrits par les meilleurs connaisseurs des cinématographies de ces régions. Ils composent ensemble le portrait contrasté d'un monde tel que le cinéma contemporain le donne à voir, à comprendre. Notre monde. Ces cinématographies ont trouvé depuis 20 ans des relais, des appuis, des interlocuteurs dans les pays du " Nord ", et singulièrement en France. Parmi ces alliés figure en bonne
place le Fonds Sud Cinéma, organe de soutien mis en place conjointement par les ministères des Affaires étrangères et de la Culture (Centre national de la cinématographie). C'est à l'occasion des 20 ans du Fonds Sud Cinéma que le présent livre a été composé sous la direction de Jean-Michel Frodon.Au Sud du cinéma : films d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine [texte imprimé] / Jean-Michel Frodon (1953-....), Éditeur scientifique ; Véronique Foz, Traducteur ; Charlotte Garson, Traducteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2004 . - 1 vol. (255 p.) : nombreuses ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 27 cm.
ISBN : 978-2-86642-395-7 : 40 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Langues:EspagnolMots-clés : Cinéma Histoire et critique Afrique Asie Cinéma latino-américain Pays en voie de développement Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu :
Le monde est différent. Le cinéma est différent. Depuis 20 ans, la planète cinématographique a changé de forme, de taille, de couleur, de rythme et d'intensité. Elle s'est agrandie aux dimensions de nouveaux continents entiers. C'est cet enrichissement que nous appelons ici le Sud du cinéma. Ces apports viennent de ce qu'on nomme " les pays du Sud ", la formule est contestable, pas la formidable ouverture qui s'est produite depuis deux décennies. D'Iran, de Chine, d'Argentine, d'Afrique noire, d'Asie centrale, du Moyen-Orient... sont venus de nouveaux artistes, de nouvelles histoires et de nouvelles manières de les raconter, de nouvelles images et de nouvelles manières de les montrer. Neuf régions où les héritages traditionnels originaux nourrissent des regards
au présent, en phase avec une actualité méconnue, passionnante, souvent tragique, parfois joyeuse. Pour en rendre compte, cet ouvrage propose neuf essais écrits par les meilleurs connaisseurs des cinématographies de ces régions. Ils composent ensemble le portrait contrasté d'un monde tel que le cinéma contemporain le donne à voir, à comprendre. Notre monde. Ces cinématographies ont trouvé depuis 20 ans des relais, des appuis, des interlocuteurs dans les pays du " Nord ", et singulièrement en France. Parmi ces alliés figure en bonne
place le Fonds Sud Cinéma, organe de soutien mis en place conjointement par les ministères des Affaires étrangères et de la Culture (Centre national de la cinématographie). C'est à l'occasion des 20 ans du Fonds Sud Cinéma que le présent livre a été composé sous la direction de Jean-Michel Frodon.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300397 17 H.1.03884 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300397URL