Titre : |
Les amants crucifiés |
Titre original : |
Chikamatsu monogatari |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Christophe Ferrari, Metteur en scène, réalisateur ; Kenji Mizoguchi, Personne honorée |
Editeur : |
Edition FSF |
Année de publication : |
2005 |
Importance : |
1 vol. (80 p.) |
Note générale : |
J.-Ch. Ferrari est membre du comité de rédaction de la revue Positif et assure la direction de la présente collection. Sa dernière monographie porte sur Remorques de Jean Grémillon. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
|
Index. décimale : |
18 Monographies : réalisateurs |
Résumé : |
Mizoguchi est le plus cruel et le plus moral des cinéastes. Qu'est-ce à dire ? Le plus moral, car le plus réservé à l'endroit des passions humaines ; le plus favorable à mettre en évidence la vanité de la volupté ; le plus enclin, malgré tout, à en respecter les souffrances et les joies. Le plus cruel, car le plus doué pour en tracer, sans jamais l'espoir d'aucune rédemption, la trajectoire tendue ; le plus résigné - il y a toujours quelque délectation dans la résignation - à la misère des êtres ; le plus disposé, enfin, à irriter les désirs érotiques et raffiner à l'infini les émotions, somme toute toujours simples, du " pauvre cœur des hommes ".
D’après Jean Douchet « Kenzi Mizoguchi est au cinéma ce que Jean-Sébastien Bach est à la musique. (…) le plus grand. » Les Amants crucifiés (1954) est un film très apprécié du public européen (il a obtenu
le Lion d’argent au festival de Venise 1955) et à l’occasion de la sortie en DVD de 2 coffrets, une étude s’imposait. Les cinéphiles apprécieront la minutieuse analyse par J.-Ch. Ferrari d’un film qui traite, de façon universelle (et qui ne se limite pas du tout à l’étude des moeurs japonaises), de la cruauté des sentiments amoureux. |
Les amants crucifiés = Chikamatsu monogatari [texte imprimé] / Jean-Christophe Ferrari, Metteur en scène, réalisateur ; Kenji Mizoguchi, Personne honorée . - Edition FSF, 2005 . - 1 vol. (80 p.). J.-Ch. Ferrari est membre du comité de rédaction de la revue Positif et assure la direction de la présente collection. Sa dernière monographie porte sur Remorques de Jean Grémillon. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Education par les médias:Arts et médias:Cinéma
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Index. décimale : |
18 Monographies : réalisateurs |
Résumé : |
Mizoguchi est le plus cruel et le plus moral des cinéastes. Qu'est-ce à dire ? Le plus moral, car le plus réservé à l'endroit des passions humaines ; le plus favorable à mettre en évidence la vanité de la volupté ; le plus enclin, malgré tout, à en respecter les souffrances et les joies. Le plus cruel, car le plus doué pour en tracer, sans jamais l'espoir d'aucune rédemption, la trajectoire tendue ; le plus résigné - il y a toujours quelque délectation dans la résignation - à la misère des êtres ; le plus disposé, enfin, à irriter les désirs érotiques et raffiner à l'infini les émotions, somme toute toujours simples, du " pauvre cœur des hommes ".
D’après Jean Douchet « Kenzi Mizoguchi est au cinéma ce que Jean-Sébastien Bach est à la musique. (…) le plus grand. » Les Amants crucifiés (1954) est un film très apprécié du public européen (il a obtenu
le Lion d’argent au festival de Venise 1955) et à l’occasion de la sortie en DVD de 2 coffrets, une étude s’imposait. Les cinéphiles apprécieront la minutieuse analyse par J.-Ch. Ferrari d’un film qui traite, de façon universelle (et qui ne se limite pas du tout à l’étude des moeurs japonaises), de la cruauté des sentiments amoureux. |
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