Titre : |
Le cinéma d'Amos Gitai : Exils et territoires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Serge Toubiana (1949-....), Auteur ; Amos Gitaï, Personne honorée |
Editeur : |
Paris : Cahiers du Cinéma |
Année de publication : |
2003 |
Autre Editeur : |
Arte éditions |
Collection : |
Auteurs |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86642-225-7 |
Note générale : |
Amos Gitai est le cinéaste israélien le plus célèbre au monde, avec des rétrospectives majeures de son travail notamment au Centre Pompidou Paris, au Museum of Modern Art (MoMA) New-York, au Lincoln Center New-York, au British Film Institute Londres. Son œuvre comprend à ce jour plus de 40 films, fictions et documentaires. Entre 1999 and 2011, sept de ses films ont été présentés en compétition officielle au Festival de Cannes et à la Mostra de Venise. Gitai a travaillé avec notamment Juliette Binoche, Jeanne Moreau, Natalie Portman, Yael Abecassis, Samuel Fuller, Hanna Schygulla, Annoe Lennox ou encore Barbara Hendricks, Lea Seydoux, Valeria Bruni Tedeschi, Simon et Markus Stockhausen, Henri Alekan, Renato Berta, Nurith Aviv, Eric Gautier, entre autres.
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Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
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Mots-clés : |
cinéma israélien films tournés à Tel-Aviv Jerusalem et Haifa Israël Palestine Kippour Iithzak Rabin contre la mondialisation Kadosh Kedma |
Index. décimale : |
18 Monographies : réalisateurs |
Résumé : |
Le succès de Kadosh en 1999 a permis au public français de découvrir Amos Gitai. Depuis ses débuts en 1980, la critique a toujours été attentive à l'œuvre de ce cinéaste, et les médias ont largement contribué à sa reconnaissance, tant il incarne à lui seul le cinéma israélien. Depuis Kadosh, Gitai enchaîne film sur film à un rythme soutenu : Kippour en 2000 (film autobiographique évoquant sa propre expérience de soldat), Eden en 2001 (adaptation d'une nouvelle d'Arthur Miller), puis Kedma en 2002 (sur les émigrants européens rescapés de la Shoah en 1948), et Alila en 2003 (sur la vie quotidienne à Tel-Aviv aujourd'hui). Le parcours d'Amos Gitai n'a rien d'une trajectoire rectiligne ou prévisible. Dès ses premiers documentaires (House en 1980, et Journal de campagne en 1982), de sérieux démêlés avec la censure le contraignent à quitter Israël. Ses années d'exil, d'abord à Paris, lui offrent la possibilité d'expérimenter, de voyager, de poser son regard sur le monde : l'Amérique, l'Asie, l'Europe. Mais le cinéaste ressent profondément que c'est en Israël qu'il doit avant tout filmer. Au milieu des années 90, il entame sa Trilogie des villes : Devarim tourné à Tel-Aviv (1995), YomYom à Haifa (1998) et Kadosh à Jérusalem (1999). Ce livre est pour moitié constitué d'entretiens avec Amos Gitai. On y découvre la trajectoire biographique et artistique d'un cinéaste qui alterne fictions et documentaires. L'autre partie est un essai de Serge Toubiana, aidé de Baptiste Piégay, qui fournit au lecteur quelques pistes pour l'analyse d'une œuvre déjà riche d'une cinquantaine de films. Chacun des films d'Amos Gitai pose la question de l'identité juive, du territoire, de l'imaginaire mythologique à partir des Textes fondamentaux, la bible en premier lieu, mais aussi de la réalité politique et géographique du Moyen-Orient. Ces questions, d'une actualité brûlante, Amos Gitai les aborde avec une liberté d'esprit et un courage qui ne se dément pas. L'ouvrage est complété d'une filmographie détaillée.
« Moins |
Le cinéma d'Amos Gitai : Exils et territoires [texte imprimé] / Serge Toubiana (1949-....), Auteur ; Amos Gitaï, Personne honorée . - Paris : Cahiers du Cinéma : Arte éditions, 2003. - ( Auteurs) . ISBN : 978-2-86642-225-7 Amos Gitai est le cinéaste israélien le plus célèbre au monde, avec des rétrospectives majeures de son travail notamment au Centre Pompidou Paris, au Museum of Modern Art (MoMA) New-York, au Lincoln Center New-York, au British Film Institute Londres. Son œuvre comprend à ce jour plus de 40 films, fictions et documentaires. Entre 1999 and 2011, sept de ses films ont été présentés en compétition officielle au Festival de Cannes et à la Mostra de Venise. Gitai a travaillé avec notamment Juliette Binoche, Jeanne Moreau, Natalie Portman, Yael Abecassis, Samuel Fuller, Hanna Schygulla, Annoe Lennox ou encore Barbara Hendricks, Lea Seydoux, Valeria Bruni Tedeschi, Simon et Markus Stockhausen, Henri Alekan, Renato Berta, Nurith Aviv, Eric Gautier, entre autres.
Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
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Mots-clés : |
cinéma israélien films tournés à Tel-Aviv Jerusalem et Haifa Israël Palestine Kippour Iithzak Rabin contre la mondialisation Kadosh Kedma |
Index. décimale : |
18 Monographies : réalisateurs |
Résumé : |
Le succès de Kadosh en 1999 a permis au public français de découvrir Amos Gitai. Depuis ses débuts en 1980, la critique a toujours été attentive à l'œuvre de ce cinéaste, et les médias ont largement contribué à sa reconnaissance, tant il incarne à lui seul le cinéma israélien. Depuis Kadosh, Gitai enchaîne film sur film à un rythme soutenu : Kippour en 2000 (film autobiographique évoquant sa propre expérience de soldat), Eden en 2001 (adaptation d'une nouvelle d'Arthur Miller), puis Kedma en 2002 (sur les émigrants européens rescapés de la Shoah en 1948), et Alila en 2003 (sur la vie quotidienne à Tel-Aviv aujourd'hui). Le parcours d'Amos Gitai n'a rien d'une trajectoire rectiligne ou prévisible. Dès ses premiers documentaires (House en 1980, et Journal de campagne en 1982), de sérieux démêlés avec la censure le contraignent à quitter Israël. Ses années d'exil, d'abord à Paris, lui offrent la possibilité d'expérimenter, de voyager, de poser son regard sur le monde : l'Amérique, l'Asie, l'Europe. Mais le cinéaste ressent profondément que c'est en Israël qu'il doit avant tout filmer. Au milieu des années 90, il entame sa Trilogie des villes : Devarim tourné à Tel-Aviv (1995), YomYom à Haifa (1998) et Kadosh à Jérusalem (1999). Ce livre est pour moitié constitué d'entretiens avec Amos Gitai. On y découvre la trajectoire biographique et artistique d'un cinéaste qui alterne fictions et documentaires. L'autre partie est un essai de Serge Toubiana, aidé de Baptiste Piégay, qui fournit au lecteur quelques pistes pour l'analyse d'une œuvre déjà riche d'une cinquantaine de films. Chacun des films d'Amos Gitai pose la question de l'identité juive, du territoire, de l'imaginaire mythologique à partir des Textes fondamentaux, la bible en premier lieu, mais aussi de la réalité politique et géographique du Moyen-Orient. Ces questions, d'une actualité brûlante, Amos Gitai les aborde avec une liberté d'esprit et un courage qui ne se dément pas. L'ouvrage est complété d'une filmographie détaillée.
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