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Titre : L'hypothèse cinéma : Petit traité de transmission du cinéma à l'école et ailleurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2002 Collection : Essais Importance : 131 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-330-8 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement Mots-clés : Cinéma étude et enseignement Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Il s'agit d’un livre de parti pris, d’intervention, à chaud écrit sur le vif par un praticien dans le feu de son action sur le terrain. Comment enseigner le cinéma dans le cadre de l’école ? L’art pour rester tel doit rester un ferment d’anarchie dans le système, une rencontre avec l’altérité, des gens de métier venus de l’extérieur. Comment choisir les films à montrer aux élèves ? Partir de ceux qu’ils connaissent et aiment pour les amener à des oeuvres du patrimoine ou laisser la " nécessaire étrangeté " de l’oeuvre d’art faire son chemin d’elle-même. La question du passage à l’acte. L’éducation au cinéma passe-t-elle par la réalisation de petits films en classe ? Peut-on faire de l’éducation au cinéma sans passer par l’expérience de la salle de cinéma. Qu’apporte le DVD et avec quelles limites ? Quelles peurs, angoisses, aberrations suscite l’arrivée du cinéma à l’école ? Quels outils mettre à la disposition des enseignants pour redonner confiance et tracer des objectifs ? S’agit-il de reproduire une cinéphilie en voie de disparition ? Comment gérer l’espace de l’émotion et du plaisir suscité par l’oeuvre d’art dans le cadre de la classe ? Quel rapport établir entre la télévision que regardent beaucoup les élèves et le film que l’on regarde désormais en classe ? L’hypothèse cinéma d’Alain Bergala se résume en une hiérarchie de priorités pour définir le cadre de sa transmission à l’école : 1. Le cinéma est d’abord un art 2. Le cinéma est aussi une culture et même une culture populaire 3. le cinéma est un langage, et favorise à ce titre apprentissage et communication. Au moment où les classes cinéma font le bilan de leurs premières expériences, cet essai permet de situer les enjeux de leur développement à grande échelle dans l’ensemble du dispositif de l’éducation nationale de la maternelle à la terminale.
L'hypothèse cinéma : Petit traité de transmission du cinéma à l'école et ailleurs [texte imprimé] / Alain Bergala (1943-....), Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2002 . - 131 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-330-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement Mots-clés : Cinéma étude et enseignement Index. décimale : 22 Cinéma et enseignement Résumé : Il s'agit d’un livre de parti pris, d’intervention, à chaud écrit sur le vif par un praticien dans le feu de son action sur le terrain. Comment enseigner le cinéma dans le cadre de l’école ? L’art pour rester tel doit rester un ferment d’anarchie dans le système, une rencontre avec l’altérité, des gens de métier venus de l’extérieur. Comment choisir les films à montrer aux élèves ? Partir de ceux qu’ils connaissent et aiment pour les amener à des oeuvres du patrimoine ou laisser la " nécessaire étrangeté " de l’oeuvre d’art faire son chemin d’elle-même. La question du passage à l’acte. L’éducation au cinéma passe-t-elle par la réalisation de petits films en classe ? Peut-on faire de l’éducation au cinéma sans passer par l’expérience de la salle de cinéma. Qu’apporte le DVD et avec quelles limites ? Quelles peurs, angoisses, aberrations suscite l’arrivée du cinéma à l’école ? Quels outils mettre à la disposition des enseignants pour redonner confiance et tracer des objectifs ? S’agit-il de reproduire une cinéphilie en voie de disparition ? Comment gérer l’espace de l’émotion et du plaisir suscité par l’oeuvre d’art dans le cadre de la classe ? Quel rapport établir entre la télévision que regardent beaucoup les élèves et le film que l’on regarde désormais en classe ? L’hypothèse cinéma d’Alain Bergala se résume en une hiérarchie de priorités pour définir le cadre de sa transmission à l’école : 1. Le cinéma est d’abord un art 2. Le cinéma est aussi une culture et même une culture populaire 3. le cinéma est un langage, et favorise à ce titre apprentissage et communication. Au moment où les classes cinéma font le bilan de leurs premières expériences, cet essai permet de situer les enjeux de leur développement à grande échelle dans l’ensemble du dispositif de l’éducation nationale de la maternelle à la terminale.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300897 22 H.1.02213 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible 300901 22 H.1.02213 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt Documents numériques
300897URL Nul mieux que Godard / Alain Bergala
Titre : Nul mieux que Godard Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1999 Collection : Essais ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-251-6 Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nouvelle vague cinéma français À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parce qu'Alain Bergala entretient un dialogue permanent avec le cinéaste, il peut aujourd'hui réunir ses textes pour livrer une vision éclairante de la production récente de Jean-Luc Godard à partir de Sauve qui peut (la vie). Depuis les années quatre-vingt, les films de Godard se succèdent de manière de moins en moins autonome les uns par rapport aux autres, et dessinent plutôt un même projet global. C'est en suivant le cheminement de cette avancée créatrice que l'auteur peut montrer ce que ce travail a d'unique, de ne jamais rien sacrifier des exigences du cinéma dans sa totalité à la seule réussite de l'objet-film. Passion, Prénom Carmen, Je vous salue Marie, For ever Mozart, Hélas pour moi, les Histoire(s) du cinéma sont autant de vecteurs différents de la même recherche, du même geste de création. Suivre Godard " à la trace " : tel aurait pu être le mot d'ordre de ces textes. Mais à la trace encore fraîche, à peine frayée, lorsque l'œuvre vibre de cette belle " incertitude " dont parlait Georges Bataille, lorsqu'il cherchait à replacer chaque tableau de Manet " sous le jour de sa naissance, suspendu comme il fut entre l'incertitude que d'abord il était pour le peintre et la certitude qu'il est pour nous... " Nul mieux que Godard [texte imprimé] / Alain Bergala (1943-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1999. - (Essais) .
ISBN : 978-2-86642-251-6
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Nouvelle vague cinéma français À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Parce qu'Alain Bergala entretient un dialogue permanent avec le cinéaste, il peut aujourd'hui réunir ses textes pour livrer une vision éclairante de la production récente de Jean-Luc Godard à partir de Sauve qui peut (la vie). Depuis les années quatre-vingt, les films de Godard se succèdent de manière de moins en moins autonome les uns par rapport aux autres, et dessinent plutôt un même projet global. C'est en suivant le cheminement de cette avancée créatrice que l'auteur peut montrer ce que ce travail a d'unique, de ne jamais rien sacrifier des exigences du cinéma dans sa totalité à la seule réussite de l'objet-film. Passion, Prénom Carmen, Je vous salue Marie, For ever Mozart, Hélas pour moi, les Histoire(s) du cinéma sont autant de vecteurs différents de la même recherche, du même geste de création. Suivre Godard " à la trace " : tel aurait pu être le mot d'ordre de ces textes. Mais à la trace encore fraîche, à peine frayée, lorsque l'œuvre vibre de cette belle " incertitude " dont parlait Georges Bataille, lorsqu'il cherchait à replacer chaque tableau de Manet " sous le jour de sa naissance, suspendu comme il fut entre l'incertitude que d'abord il était pour le peintre et la certitude qu'il est pour nous... " Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 302085 18 H.1.02976 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible