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[n° ou bulletin]
Titre : 11 - Eté 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 128 Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 11 - Eté 2018 [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - 2018 . - 128 : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Nouvelles technologies de l'information et de la communication:Internet
Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Société:Ages de la vie:AdolescenceMots-clés : Belgique escalade viol alcool enlèvements trafic d'enfants congo littérature marche-en-famenne église Duferco viande forêts obésité métaphore internement Etienne Gailly protection de données Emir Kir Résumé : Au moment de remettre son article, le journaliste d’investigation n’a plus besoin de réveil. Le doute l’arrache du sommeil. Suis-je prêt à sortir cet article ? Devrais-je revérifier cette info, contacter une énième source, suivre une dernière piste ? La responsabilité est lourde. Si une plume — même au vitriol — ne tue pas, elle peut ruiner des réputations et laisser des traces indélébiles. Chez Médor, le parcours mental de l’enquêteur est connu : débordement d’énergie, enthousiasme, épuisement, doute et, finalement, requête pour un délai supplémentaire. Dans ce contexte, le travail d’équipe s’avère fondamental. Sans le soutien ferme et engagé d’une rédaction, le journaliste n’aura en effet qu’une seule tentation : brûler son travail et retourner au lit.
Le journalisme d’investigation, définit Mark Lee Hunter dans son manuel L’Enquête par hypothèses, a pour mission d’exposer au public des informations et des histoires cachées (délibérément ou non). À l’inverse, « le reportage conventionnel dépend en grande partie, et parfois entièrement, des informations fournies par d’autres acteurs (tels que la police, les gouvernements, les entreprises, etc.) ; le caractère du travail est fondamentalement réactif, sinon passif ». Les objectifs poursuivis par ces deux formes de journalisme — qui dans les faits peuvent se rejoindre — se distinguent : le reporter tente de donner une image du monde, tandis que l’enquêteur « se sert de faits objectivement vrais — c’est-à-dire des faits que n’importe quel observateur raisonnable reconnaîtrait comme véridiques — dans le but subjectif de réformer le monde ».
Du souffle !
À cette lectrice qui se demande « À quoi bon investiguer si c’est seulement pour dénoncer ? », nous répondons encore par les mots de Mark Lee Hunter que notre mission est de « diffuser la vérité de sorte que le monde puisse changer ». Dénoncer n’est pas casser, détruire ou pleurer les pots cassés. C’est révéler une réalité, bonne ou mauvaise, dans l’espoir que ce qui fonctionne bien continue à rouler et que ce qui ne marche pas en ait les pieds coupés.
Malgré les problèmes d’insomnie et de rentabilité, le journalisme d’investigation reprend quelques couleurs dans un marché de la presse de plus en plus gris. À son petit niveau, Médor a voulu, dans son projet, repenser la manière de produire, de financer et de diffuser de l’info afin de donner un nouveau souffle à l’enquête journalistique. C’est dans cet esprit que nous lançons notre première « enquête ouverte », qui explore le lien particulier des Belges à l’alcool (voir p.10) : www.medor.coop/alcool.
Cette nouvelle technique d’investigation, que nous testons jusqu’à la fin du mois de juin, consiste à renverser la logique habituelle du travail masqué. Ici, tant nos lecteurs que nos sources potentielles sont avertis, dès le départ, de nos hypothèses de travail. De premières informations nous permettent, par exemple, de penser que les lobbies brassicoles fréquentent nos décideurs politiques afin d’influencer le cours de notre législation. Pouvez-vous nous aider à affiner notre vision, à la corriger, la documenter, trouver des faits, des témoignages ? Au final, ce seront toujours des journalistes insomniaques qui prendront la responsabilité de publier et, peut-être, de dénoncer. Mais nous le faisons, cette fois, avec votre aide et dans la transparence la plus totale.
À Malte
En octobre 2017, la journaliste maltaise Daphne Caruana Galizia a été assassinée. Elle enquêtait sur la corruption endémique dans cette île pelée. Dans un rare mouvement de solidarité, 18 médias, réunis dans le partenariat international « Forbidden Stories », ont décidé de reprendre ses sujets et de tenter, en unissant leurs forces, de faire aboutir ses enquêtes. Non par vengeance ou mus par une simple envie de « dénoncer ». Mais avec, comme espoir final, de rendre un jour la vie un plus juste, plus belle et plus paisible, sur l’île de Malte.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 401257 Rayon revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
401257.pngPortable Network Graphics
[n° ou bulletin]
Titre : 12 - Automne 2018 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 127 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : Politique Charleroi alcool police chasse Ardennes féminisme prison hôpital Résumé : Ce nouveau numéro, en librairie dès le 5 septembre, s’attaque à quelques tabous de notre société : l’alcool au travail (chez les médecins et les policiers), la puissance d’un lobby ardennais, la concertation dans le secteur culturel, le salafisme ou la parentalité chez les handicapés. L’édito quant à lui dévoile un autre sujet houleux, touchant le secteur médiatique cette fois-ci : la diversité au sein des rédactions.
Médor fait partie, comme tant d’autres, des médias aux rédactions trop homogènes. Le reconnaître explicitement est un premier pas. Nous avons déjà progressé sur la question de la parité de genre (lire l’édito du numéro 7). Le défi à relever est important. La diversité ne doit pas consister à faire écrire des Maghrébins sur Molenbeek ou des handicapés sur le handicap, mais bien à collaborer avec des journalistes de tous horizons, origines, âges, background social,... sur tous les sujets. Et veiller à la façon dont on aborde la diversité dans notre traitement de l’info.
Médor œuvre à devenir une rédaction « trait d’union », qui raconte, mais aussi incarne, les versants et détours de notre société et permet aux lecteurs de (re)connaître l’autre, dans sa différence, de couleur, de revenu, d’éducation, de culture, de sexe mais aussi de pensée. Autant le dire : tout ou presque reste à faire.
Ce que raconte ce Médor #12
Ce numéro automnal traque les luttes de pouvoir à l’œuvre dans les forêts ardennaises, affronte la tempête créée par un projet culturel bulldozer, fait connaissance avec une directrice de prison, des salafistes et un couple de rifains, interroge la BD féministe comme phénomène de mode, souligne les conséquences du changement sur la loi « caméras » et scrute la place de l’alcool dans deux professions clés : médecin et policier, premier grand volet de notre enquête ouverte illustrée par Lucie Castel.
Il
est trop tôt pour vous en révéler davantage. Mais il est encore tout juste temps pour vous de prendre un abonnement afin de profiter du plaisir de voir arriver ce numéro et les suivants directement chez vous et d’être certain·e de ne rater aucun épisode de notre grande enquête ouverte.
Observer la société au départ de votre boîte aux lettres
Seul média belge financé à 95 % par son lectorat (abonnements et ventes en librairie), Médor peut investiguer en tout indépendance pour jouer son rôle de quatrième pouvoir et vous offrir une information utile à l’exercice de la démocratie. S’abonner à Médor n’est pas un geste anodin, c’est un engagement porteur de sens.
Le 3 septembre, nous clôturons notre liste d’abonné·e·s pour ce numéro 12. Vous avez encore le temps de vous lancer mais ne tardez plus, votre commande et votre paiement doivent nous parvenir avant le 3 septembre.Note de contenu :
Éditorial
Tous les mêmes ?
« Pouvez-vous me mettre en contact avec un de vos journalistes d’origine maghrébine ? » En substance, c’est la question qu’a posée, en janvier 2015, le journaliste noir américain Ta-Nehisi Coates (The Atlantic) à la rédaction de Libération. Nous sommes quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo et le...
Lire la suite
L’enquêteke
N-VA et Proximus. Infiniment proches
Luis Van Ginneken
Le sexe de Médor
handicapées
et stérilisées
Françoise Raes
Aire libre
Vidéosurveillance.
La fascination des pixels
Quentin Noirfalisse
Trait belge
Immatriculation.
Les à-côtés de la plaque
Quentin Noirfalisse
Étude du milieu
Les nouvelles cordes du diable
Isabelle Masson-Loodts (collectif Huma)
enquête ouverte
La Belgique pompette
Illustrations du dossier alcool : Lucie Castel
enquête ouverte
Trop pleins
Anne-Laure Buisson Texte : Chloé Andries et Céline Gautier
enquête ouverte
Ces médecins qui trinquent
Par Anne-Cécile Huwart
enquête ouverte
Adieu, chère buvette
Anne-Cécile Huwart
Enquête
Poulets sans tête
Par Philippe Engels
Médor à jouer
Belgopoly
Enquête
Les seigneurs des Ardennes
Par Olivier Bailly
Photographies : Pierre Liebaert
BD
BD féministe
Photo
6 Mille
Par Sarah Lowie
médias
Mariages cathodiques
Par Grégoire Comhaire. Illustrations : Ludwick Hernandez
Moment flamand
Le dilemme de l’ourson Haribo
Par Chams Eddine Zaougui.
Illustrations : Pauline Rivière
Enquête
Tempête dans le Kanal
Par Cédric Vallet
Portrait
Jean-Michel Javaux. Toujours
du bon côté
Par Grégoire Comhaire.
Photographies : Kevin Faingnaert
Entretien
Lʼenvers des prisons
Par Quentin Noirfalisse et Chloé Andries. Photos : Colin Delfosse
Récit
Les larmes du Rif
Par Camille Crucifix. Photographies : Pauline BeugniesGenre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 12 - Automne 2018 [texte imprimé] . - 2018 . - 127 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Sciences humaines:Gender studies + féminisme
Education par les médias:Sciences humaines:Sociologie/AnthropologieMots-clés : Politique Charleroi alcool police chasse Ardennes féminisme prison hôpital Résumé : Ce nouveau numéro, en librairie dès le 5 septembre, s’attaque à quelques tabous de notre société : l’alcool au travail (chez les médecins et les policiers), la puissance d’un lobby ardennais, la concertation dans le secteur culturel, le salafisme ou la parentalité chez les handicapés. L’édito quant à lui dévoile un autre sujet houleux, touchant le secteur médiatique cette fois-ci : la diversité au sein des rédactions.
Médor fait partie, comme tant d’autres, des médias aux rédactions trop homogènes. Le reconnaître explicitement est un premier pas. Nous avons déjà progressé sur la question de la parité de genre (lire l’édito du numéro 7). Le défi à relever est important. La diversité ne doit pas consister à faire écrire des Maghrébins sur Molenbeek ou des handicapés sur le handicap, mais bien à collaborer avec des journalistes de tous horizons, origines, âges, background social,... sur tous les sujets. Et veiller à la façon dont on aborde la diversité dans notre traitement de l’info.
Médor œuvre à devenir une rédaction « trait d’union », qui raconte, mais aussi incarne, les versants et détours de notre société et permet aux lecteurs de (re)connaître l’autre, dans sa différence, de couleur, de revenu, d’éducation, de culture, de sexe mais aussi de pensée. Autant le dire : tout ou presque reste à faire.
Ce que raconte ce Médor #12
Ce numéro automnal traque les luttes de pouvoir à l’œuvre dans les forêts ardennaises, affronte la tempête créée par un projet culturel bulldozer, fait connaissance avec une directrice de prison, des salafistes et un couple de rifains, interroge la BD féministe comme phénomène de mode, souligne les conséquences du changement sur la loi « caméras » et scrute la place de l’alcool dans deux professions clés : médecin et policier, premier grand volet de notre enquête ouverte illustrée par Lucie Castel.
Il
est trop tôt pour vous en révéler davantage. Mais il est encore tout juste temps pour vous de prendre un abonnement afin de profiter du plaisir de voir arriver ce numéro et les suivants directement chez vous et d’être certain·e de ne rater aucun épisode de notre grande enquête ouverte.
Observer la société au départ de votre boîte aux lettres
Seul média belge financé à 95 % par son lectorat (abonnements et ventes en librairie), Médor peut investiguer en tout indépendance pour jouer son rôle de quatrième pouvoir et vous offrir une information utile à l’exercice de la démocratie. S’abonner à Médor n’est pas un geste anodin, c’est un engagement porteur de sens.
Le 3 septembre, nous clôturons notre liste d’abonné·e·s pour ce numéro 12. Vous avez encore le temps de vous lancer mais ne tardez plus, votre commande et votre paiement doivent nous parvenir avant le 3 septembre.Note de contenu :
Éditorial
Tous les mêmes ?
« Pouvez-vous me mettre en contact avec un de vos journalistes d’origine maghrébine ? » En substance, c’est la question qu’a posée, en janvier 2015, le journaliste noir américain Ta-Nehisi Coates (The Atlantic) à la rédaction de Libération. Nous sommes quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo et le...
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L’enquêteke
N-VA et Proximus. Infiniment proches
Luis Van Ginneken
Le sexe de Médor
handicapées
et stérilisées
Françoise Raes
Aire libre
Vidéosurveillance.
La fascination des pixels
Quentin Noirfalisse
Trait belge
Immatriculation.
Les à-côtés de la plaque
Quentin Noirfalisse
Étude du milieu
Les nouvelles cordes du diable
Isabelle Masson-Loodts (collectif Huma)
enquête ouverte
La Belgique pompette
Illustrations du dossier alcool : Lucie Castel
enquête ouverte
Trop pleins
Anne-Laure Buisson Texte : Chloé Andries et Céline Gautier
enquête ouverte
Ces médecins qui trinquent
Par Anne-Cécile Huwart
enquête ouverte
Adieu, chère buvette
Anne-Cécile Huwart
Enquête
Poulets sans tête
Par Philippe Engels
Médor à jouer
Belgopoly
Enquête
Les seigneurs des Ardennes
Par Olivier Bailly
Photographies : Pierre Liebaert
BD
BD féministe
Photo
6 Mille
Par Sarah Lowie
médias
Mariages cathodiques
Par Grégoire Comhaire. Illustrations : Ludwick Hernandez
Moment flamand
Le dilemme de l’ourson Haribo
Par Chams Eddine Zaougui.
Illustrations : Pauline Rivière
Enquête
Tempête dans le Kanal
Par Cédric Vallet
Portrait
Jean-Michel Javaux. Toujours
du bon côté
Par Grégoire Comhaire.
Photographies : Kevin Faingnaert
Entretien
Lʼenvers des prisons
Par Quentin Noirfalisse et Chloé Andries. Photos : Colin Delfosse
Récit
Les larmes du Rif
Par Camille Crucifix. Photographies : Pauline BeugniesGenre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305228 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible Documents numériques
305228.pngPortable Network Graphics 13 - Hiver 2018-2019 (Bulletin de Médor. Trimestriel belge d'enquête et de récits)
[n° ou bulletin]
Titre : 13 - Hiver 2018-2019 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 128 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire [n° ou bulletin] 13 - Hiver 2018-2019 [texte imprimé] . - 2018 . - 128 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Revues:Médor
Education par les médias:Techniques:Industries
Education par les médias:Techniques:TransportsMots-clés : brabant flamand naturalisme alcool rtbf audi voiture bulgarie pensionnés ONG yvoir travail marc uyttendaele brasseurs trappistes abbaye de rochefort luc barbé Résumé : Pour nourrir vos longues soirées au coin du feu et à la lueur de la bougie en espérant échapper au black-out, Médor vous propose de faire la lumière sur le pouvoir d’entreprises multinationales basées en Belgique, la mise en concurrence qu’elles créent entre les pays et les conséquences en termes d’investissements (ou de désinvestissements) publics que cela provoque. De l’énergie aux jeux de hasard en passant par la mobilité, l’approvisionnement en eau, les loisirs ou l’emploi durable, l’intérêt de la collectivité ne parvient pas à remonter la pile des priorités. Et lorsqu’on parle d’alcool, la santé publique parvient-elle à s’imposer face à la puissance des lobbys ? Découvrez dans ce Médor #13 le dernier chapitre de notre enquête ouverte sur l’alcool : "Politique et lobbys alcooliers : comme un hic".
Nous allons parler dates, lieux, densités, pourcentages,... Pour vous offrir une vision plus nette (même si toujours issue d’une certaine subjectivité, soyons honnêtes) des enjeux qui se cachent derrières ces données, l’ensemble de ce numéro est illustré par des datavisualisations, des lignes du temps et des cartographies. De quoi nous rappeler que géographiquement notre pays ne s’arrête pas aux frontières linguistiques. Ce qui se passe en Flandre nous concerne aussi, que ce soit sur des questions liées au nucléaire, au naturisme, à la pension ou même à la sécurité informatiques des écoles.Genre : Revue Pays : Belgique Niveau : Enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 305270 Rayon Revues Périodique Médiathèque CAV Liège Rayon revues Disponible