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La kermesse héroïque du cinéma belge |
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La kermesse héroïque du cinéma belge, 1. Des documentaires et des farces 1896-1965 / Frédéric Sojcher
Titre de série : La kermesse héroïque du cinéma belge, 1 Titre : Des documentaires et des farces 1896-1965 Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Sojcher, Auteur Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : Champs visuels Importance : 192 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7384-7656-2 Note générale : Bibliogr. et index à la fin de chaque vol. Filmogr. à la fin du vol. 3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : D'un côté, les films de Storck, Dekeukeleire, Cauvin, de Heusch. Ils constituent la fameuse école belge du cinéma documentaire. On y trouve déjà une approche du cinéma du réel (Misère au Borinage), une démarche ethnologique (Fête chez les Hamba) ou une interrogation sur le film d'art (Thèmes d'inspiration). De l'autre côté, les farces et les films folkloriques de Schoukens (Bosseinans et Coppenolle). De Meyst (Les gangsters de l'Exposition), Vanderheyden (Filasse). Plébiscités par le public, mais souvent boudés par la critique, ces films patoisants renvoient à une certaine vision pagnolesque d'un cinéma qui ne se prend pas au sérieux. Des cinéastes français, Alfred Machin et Julien Duvivier, réalisent aussi des films folkloriques en Belgique : Saïda a enlevé Manneken-Pis et Le mariage de Mademoiselle Beulemans. En dehors des documentaires et des farces populaires, il existe d'autres expériences filmiques, mais elles sont, avant 1965, isolées et presque toujours sans lendemain (Déjà s'envole la fleur maigre, de Paul Meyer). Certains cinéastes posent aussi des questions identitaires. Henri Storck, dans son unique long métrage de fiction, Le banquet des fraudeurs (scénario Charles Spaak), défend la construction européenne et la suppression des frontières douanières... La kermesse héroïque du cinéma belge, 1. Des documentaires et des farces 1896-1965 [texte imprimé] / Frédéric Sojcher, Auteur . - Paris [France] : L'Harmattan, 1999 . - 192 p. ; 22 cm. - (Champs visuels) .
ISBN : 978-2-7384-7656-2
Bibliogr. et index à la fin de chaque vol. Filmogr. à la fin du vol. 3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : D'un côté, les films de Storck, Dekeukeleire, Cauvin, de Heusch. Ils constituent la fameuse école belge du cinéma documentaire. On y trouve déjà une approche du cinéma du réel (Misère au Borinage), une démarche ethnologique (Fête chez les Hamba) ou une interrogation sur le film d'art (Thèmes d'inspiration). De l'autre côté, les farces et les films folkloriques de Schoukens (Bosseinans et Coppenolle). De Meyst (Les gangsters de l'Exposition), Vanderheyden (Filasse). Plébiscités par le public, mais souvent boudés par la critique, ces films patoisants renvoient à une certaine vision pagnolesque d'un cinéma qui ne se prend pas au sérieux. Des cinéastes français, Alfred Machin et Julien Duvivier, réalisent aussi des films folkloriques en Belgique : Saïda a enlevé Manneken-Pis et Le mariage de Mademoiselle Beulemans. En dehors des documentaires et des farces populaires, il existe d'autres expériences filmiques, mais elles sont, avant 1965, isolées et presque toujours sans lendemain (Déjà s'envole la fleur maigre, de Paul Meyer). Certains cinéastes posent aussi des questions identitaires. Henri Storck, dans son unique long métrage de fiction, Le banquet des fraudeurs (scénario Charles Spaak), défend la construction européenne et la suppression des frontières douanières... Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304531 17 H.1.04724/1 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304531.jpgImage Jpeg La kermesse héroïque du cinéma belge, 2. Le miroir déformant des identités culturelles 1965-1988 / Frédéric Sojcher
Titre de série : La kermesse héroïque du cinéma belge, 2 Titre : Le miroir déformant des identités culturelles 1965-1988 Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Sojcher, Auteur Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : Champs visuels Importance : 192 p. Format : 22 cm Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : Au milieu des années 60 et au début des années 70, André Delvaux et Chantal Akerman réalisent leur premier Iong métrage. Les années 70 et 80 voient apparaître une nouvelle génération de cinéastes qui bénéficient des avances sur recettes mises en place en Flandre et dans la partie francophone du pays. Cette communautarisation des aides favorise l'émergence de deux cinématographies : du côté francophone, un cinéma qui s'inscrit dans la lignée de la Nouvelle Vague, et s'approche parfois d'un certain auteurisme; du côté flamand, des films souvent adaptés aux oeuvres du terroir se déclinant au passé et se rapprochant du heimatfilm. Peut-on encore réaliser en Belgique des longs métrages sans aides publiques ? Qu'en est-il des films contestataires, surréalistes ou irrévérencieux (Lethem, Godin, Rousseau) ? Y a-t-il un cinéma du possible et un cinéma de l'impossible ? Au-delà des courants linguistiques, on retrouve chez bon nombre de cinéastes des mêmes préoccupations : interrogation sur le monde, recherche identitaire. Le réalisme magique, cher à André Delvaux, se retrouve aussi chez Jean-Jacques Andrien, Raoul Servais, ou Harry Kümel. Les co-productions avec la France et les Pays-Bas posent la question du choix des acteurs et du retentissement des films belges à l'étranger. Le cinéma belge : laboratoire d'un cinéma européen ? La kermesse héroïque du cinéma belge, 2. Le miroir déformant des identités culturelles 1965-1988 [texte imprimé] / Frédéric Sojcher, Auteur . - Paris [France] : L'Harmattan, 1999 . - 192 p. ; 22 cm. - (Champs visuels) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : Au milieu des années 60 et au début des années 70, André Delvaux et Chantal Akerman réalisent leur premier Iong métrage. Les années 70 et 80 voient apparaître une nouvelle génération de cinéastes qui bénéficient des avances sur recettes mises en place en Flandre et dans la partie francophone du pays. Cette communautarisation des aides favorise l'émergence de deux cinématographies : du côté francophone, un cinéma qui s'inscrit dans la lignée de la Nouvelle Vague, et s'approche parfois d'un certain auteurisme; du côté flamand, des films souvent adaptés aux oeuvres du terroir se déclinant au passé et se rapprochant du heimatfilm. Peut-on encore réaliser en Belgique des longs métrages sans aides publiques ? Qu'en est-il des films contestataires, surréalistes ou irrévérencieux (Lethem, Godin, Rousseau) ? Y a-t-il un cinéma du possible et un cinéma de l'impossible ? Au-delà des courants linguistiques, on retrouve chez bon nombre de cinéastes des mêmes préoccupations : interrogation sur le monde, recherche identitaire. Le réalisme magique, cher à André Delvaux, se retrouve aussi chez Jean-Jacques Andrien, Raoul Servais, ou Harry Kümel. Les co-productions avec la France et les Pays-Bas posent la question du choix des acteurs et du retentissement des films belges à l'étranger. Le cinéma belge : laboratoire d'un cinéma européen ? Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304532 17 H.1.04724/2 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304532.jpgImage Jpeg
Titre de série : La kermesse héroïque du cinéma belge, 3 Titre : Le carrousel européen 1988-1996 Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Sojcher, Auteur Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 1999 Collection : Champs visuels Importance : 192 p. Format : 22 cm Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : Les programmes audiovisuels, MEDIA et EURIMAGES, introduits à la fin des années 80 et destinés à favoriser l'émergence d'un cinéma européen, ont-ils eu une incidence sur le cinéma belge ? Peut-on encore réaliser un long métrage en Belgique, sans bénéficier de coproductions européennes ? Que penser de films comme C'est arrivé près de chez vous ou de l'oeuvre iconoclaste de Jan Bucquoy ? Comment certains cinéastes et producteurs flamands cherchent-ils absolument à s'américaniser ? Comment d'autres réalisateurs, comme Jaco Van Dormael ou Alain Berliner, se rattachent-ils au réalisme magique ? Pourquoi Chantal Akerman dit-elle de la Belgique qu'elle est la " poubelle de l'Europe " ? Pourquoi le cinéaste Stijn Coninx obtient-il les plus grands succès commerciaux en Flandre ? La promesse des Frères Dardenne est-il un espoir pour le cinéma belge... et pour le cinéma européen ? La kermesse héroïque du cinéma belge, 3. Le carrousel européen 1988-1996 [texte imprimé] / Frédéric Sojcher, Auteur . - Paris [France] : L'Harmattan, 1999 . - 192 p. ; 22 cm. - (Champs visuels) .
Langues : Français (fre)
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Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belgeIndex. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Note de contenu : Les programmes audiovisuels, MEDIA et EURIMAGES, introduits à la fin des années 80 et destinés à favoriser l'émergence d'un cinéma européen, ont-ils eu une incidence sur le cinéma belge ? Peut-on encore réaliser un long métrage en Belgique, sans bénéficier de coproductions européennes ? Que penser de films comme C'est arrivé près de chez vous ou de l'oeuvre iconoclaste de Jan Bucquoy ? Comment certains cinéastes et producteurs flamands cherchent-ils absolument à s'américaniser ? Comment d'autres réalisateurs, comme Jaco Van Dormael ou Alain Berliner, se rattachent-ils au réalisme magique ? Pourquoi Chantal Akerman dit-elle de la Belgique qu'elle est la " poubelle de l'Europe " ? Pourquoi le cinéaste Stijn Coninx obtient-il les plus grands succès commerciaux en Flandre ? La promesse des Frères Dardenne est-il un espoir pour le cinéma belge... et pour le cinéma européen ? Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 304533 17 H.1.04724/3 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
304533.jpgImage Jpeg