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Auteur Charles Tesson |
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Titre : Akira Kurosawa Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée Mention d'édition : Éd. particulière pour "Le Monde" Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : DL 2008 Collection : Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X num. 22 Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-504-3 Note générale : Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Akira Kurosawa [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Akira Kurosawa (1910-1998), Personne honorée . - Éd. particulière pour "Le Monde" . - Paris : Cahiers du Cinéma, DL 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm. - (Collection Grands cinéastes, ISSN 1960-355X; 22) .
ISBN : 978-2-86642-504-3
Akira Kurosawa est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né à Tokyo le 23 mars 1910 et mort à Tokyo le 6 septembre 1998. Avec Yasujirō Ozu et Kenji Mizoguchi, il est considéré comme le cinéaste japonais le plus célèbre et le plus influent de l'histoire. En 57 ans de carrière cinématographique, il réalisa pas moins de 30 films.
Akira Kurosawa débuta en 1936 en tant qu'assistant-réalisateur et scénariste. En 1943, au cours de la Seconde Guerre mondiale, il réalise son premier film, La Légende du grand judo (Sugata Sanshiro). Son huitième long-métrage L'Ange ivre (Yoidore tenshi) sort en 1948 et est acclamé par la critique, affirmant la réputation de Kurosawa. Ce film marque les débuts de l'acteur Toshirō Mifune, qui tournera au total 16 films avec Kurosawa.
Avec Rashōmon, dont la première eu lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçu en 1951 le Lion d'Or de la Mostra de Venise, récompense suivie par une diffusion en Europe et en Amérique du Nord. Le succès de ce film auprès du public et de la presse ouvrit alors les portes de l'Occident au cinéma japonais et permit de forger la réputation internationale de nombreux artistes japonais. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalisa environ un film par an, dont Vivre (Ikiru, 1952), Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) et Yojimbo (Yōjimbō, 1961). Par la suite, sa carrière est moins prolifique, mais ses derniers travaux - dont Kagemusha, l'ombre du guerrier (Kagemusha, 1980) et Ran (Ran, 1985) - lui permettent de remporter de nouvelles récompenses, notamment la Palme d'or pour Kagemusha, l'ombre du guerrier.
En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur « pour ses accomplissements qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier ». En 1999, il est nommé à titre posthume "Asiatique du siècle" dans la catégorie "Arts, Littérature, et Culture" par le magazine AsianWeek et CNN, présenté comme "l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les 100 dernières années".
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Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma japonais cinéma asiatique La Légende du grand judo Chien enragé Rashōmon L'Idiot Les Sept Samouraïs Le Château de l'araignée La Forteresse cachée Yojimbo Sanjuro Entre le ciel et l'enfer Barberousse Dersou Ouzala Kagemusha Ran Rhapsodie en août Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Au début des années 50, Rashômon révèle aux occidentaux l'importance du cinéma japonais. Le film remporte coup sur coup le Lion d'or de Venise, et un Oscar à Hollywood. Son auteur Akira Kurosawa, fondamentalement attaché à la culture de son pays, est tout aussi féru de culture classique occidentale. Il fait toute sa carrière au sein du système des puissants studios japonais comme scénariste et surtout comme réalisateur, alternant les genres : cinéma d'action (de La légende du grand judo à Sanjuro), grandes fresques historiques flamboyantes (Kagemusha Ran), films noirs (Chien enragé), drames contemporains intimistes (Vivre), ou adaptation d'auteurs occidentaux (Shakespeare, Gorki, Dostoïevski). Cinéaste comblé par le succès public et la reconnaissance critique internationale, Kurosawa a aujourd'hui encore une influence considérable, et Clint Eastwood, confie volontiers que Yojimbo est pour lui une source d'inspiration. Son cinéma scrute l'écart entre la culture féodale traditionnelle, fondée sur la négation de l'individu, et l'apprentissage de la démocratie dans un monde corrompu par le pouvoir et l'excès de l'affirmation de soi. Les contradictions du japon moderne sont la richesses de cette œuvre. Concilier l'esprit du Japon des samouraïs et l'humanisme est la vertu majeure de son cinéma dont la portée est vraiment essentielle. Exemplaires (1)
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Titre : Les grands réalisateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur Editeur : [Paris] : Larousse Année de publication : 2006 Collection : Comprendre et reconnaître Importance : 240 p. Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias
Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs
Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Les grands réalisateurs [texte imprimé] / Jean A. Gili, Auteur ; Daniel Sauvaget, Auteur ; Charles Tesson, Auteur ; Christian Viviani, Auteur . - [Paris] : Larousse, 2006 . - 240 p.. - (Comprendre et reconnaître) .
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Education par les médiasMots-clés : aldrich allen almodovar altman amelio angelopoulos antonioni assays becker bellocchio bergman bertolucci boorman borzage bresson brooks browning bunuel burton capra cassavetes cavalier chabrol chahin chaplin cimino cissé clair cocteau coen comencini coppola cronenberg cukor curtiz delvaux de mille demy de palma depardon de santis de sica desplechin doillon donen dovjenko dreyer duras dutt duvivier eastwood edwards eisenstein eustache fassbinder fellini ferreri feuillade flaherty ford forman franju frears fuller gance garrel ghatak gilliam godard grémillon griffith guitry hawks herzog hitchcock hou hsiao-hsien hu huston im kwon-taek imamura iosseliani jancso jarmush kaurismaki kazan keaton kiarostami kieslowski kitano kluge kubrick kurosawa kusturica lang lean leigh leone lewis loach losey lubitsch lucas lumet lynch mccarey malick malle mamoulian mankiewicz mann marker méliès melville mikhalkov minnelli mizoguchi monicelli monteiro moretti murnau naruse oliveira olmi ophuls oshima ozu pabst pagnol paradjanov pasolini peckinpah penn petri pialat polanski pollack powell preminger ray reisz renoir resnais ripstein risi rivette rocha rohmer rosi rossilini rouch ruiz saura sautet schloendorff scola scorsese sembene siomak sirk sjostrom soderbergh sokourov spielberg strenberg stiller stroheim tanner tarantino tarkovski tati tavernier taviani téchiné tourneur trier truffaut tsai ming-liang tsui hark ulmer van sant varda vertov vidor vigo visconti wajda walsh welles wellman wenders wilder kar-wai wyler zhang yimou cinéma français cinéma américain cinéma russe cinéma polonais cinéma chinois cinéma hongkongais cinéma portugais Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé :
Depuis la Sortie des usines Lumière en 1895, l'histoire de l'art cinématographique s'écrit au fil des innovations techniques ou formelles de cinéastes d'exception : les truquages de Georges Méliès, l'invention de Hollywood par Cecil B. De Mille, les recherches formelles des expressionnistes allemands (Murnau, Pabst), le triomphe du western avec Ford ou celui du film noir avec Hawks, le néoréalisme de Rossellini, la Nouvelle Vague inaugurée par Godard et Truffaut, le "Nouvel Hollywood" contestataire représenté par Coppola ou Scorsese, l'esthétique particulièrement raffinée des cinéastes japonais, le triomphe des films à effets spéciaux de Lucas ou de Spielberg, etc.
De Tim Burton à Charlie Chaplin, de Stanley Kubrick à Fritz Lang, de Federico Fellini à Yasujiro Ozu, de Jean Renoir à Tsaï Ming-liang, de Woody Allen à Orson Welles, ce dictionnaire propose donc à tous les cinéphiles une sélection des 200 réalisateurs qui ont fait l'histoire du cinéma. Il rend hommage aux cinéastes qui "filment comme ils respirent" pour reprendre l'expression de François Truffaut à propos de Jean-Luc Godard.
Pour chacun, l'ensemble de l'oeuvre est analysée, ainsi que le style et la thématique. Une filmographie est proposée en fin de notice. Enfin, des portraits et des scènes de tournage montrent les cinéastes à l'oeuvre et illustrent ainsi cette mythologie du septième art dont les grands réalisateurs sont, autant que les stars, les représentants.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303948 18 H.1.0443 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303948URL
Titre : Luis Buñuel Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur ; Luis Bunuel (1900-1983), Personne honorée Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 1995 Collection : Auteurs Importance : 320 p Présentation : Quelques reproductions de photogrammes en noir et blan Note générale : Luis Buñuel, né le 22 février 1900 à Calanda (Aragon, Espagne), mort le 29 juillet 1983 à Mexico (Mexique), est un réalisateur et scénariste d'origine espagnole, naturalisé mexicain.
Il est le père du réalisateur Juan Luis Buñuel et de Rafael Buñuel, grand-père du journaliste Diego Buñuel.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma espagnol Cinéma mexicain Cinéma français Un chien andalou L'Âge d'or Los Olvidados Viridiana Belle de Jour Le Charme discret de la bourgeoisie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : J'ai toujours été du côté de ceux qui cherchent la vérité, mais je les quitte lorsqu'ils croient l'avoir trouvée. C'est ainsi que Buñuel, homme de toutes les aventures, intellectuelles, artistiques et politiques, a accompagné pas à pas le siècle en faisant des films. S'il est facile de voir dans son œuvre le moment où elle colle à son temps (le surréalisme), adhère aux grands courants de pensée (l'engagement communiste) et à des formes préétablies (le cinéma commercial mexicain), il est plus difficile de sentir ce moment où Luis Buñuel, tel Nazarin se méfiant du mensonge des Institutions et de l'hypocrisie de son époque, s'extrait du moule esthétique et politique de l'air du temps dans lequel il s'est glissé afin de poursuivre sa route en solitaire, ni vu, ni connu. Plus que nul autre cinéaste, Luis Buñuel a peint inlassablement l'homme sous toutes ses coutures. Cet animal social pas toujours sociable, Buñuel, fin architecte de l'homme, l'a filmé en plan et en coupe, afin d'éprouver le degré de résistance des divers matériaux qui le composent. Tout le monde peut se reconnaître dans un de ses films, y déceler un travers familier, en avoir peur ou avoir le courage et l'honnêteté d'en rire. Soit cinéma a permis à chacun, avec une facilité hors du commun, de réaliser tout ce qu'il peut en attendre : lui montrer ce dont l'homme est capable, le réfléchir, en acte, en pensée. Il a accompli cette chose en apparence bien ordinaire, en construisant une œuvre unique, qui n'a plus son pareil aujourd'hui. Beau paradoxe, comme il les aimait, qui ne demande qu'à être éclairci. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Luis Buñuel [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur ; Luis Bunuel (1900-1983), Personne honorée . - Paris : Cahiers du Cinéma, 1995 . - 320 p : Quelques reproductions de photogrammes en noir et blan. - (Auteurs) .
Luis Buñuel, né le 22 février 1900 à Calanda (Aragon, Espagne), mort le 29 juillet 1983 à Mexico (Mexique), est un réalisateur et scénariste d'origine espagnole, naturalisé mexicain.
Il est le père du réalisateur Juan Luis Buñuel et de Rafael Buñuel, grand-père du journaliste Diego Buñuel.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : Cinéma espagnol Cinéma mexicain Cinéma français Un chien andalou L'Âge d'or Los Olvidados Viridiana Belle de Jour Le Charme discret de la bourgeoisie Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : J'ai toujours été du côté de ceux qui cherchent la vérité, mais je les quitte lorsqu'ils croient l'avoir trouvée. C'est ainsi que Buñuel, homme de toutes les aventures, intellectuelles, artistiques et politiques, a accompagné pas à pas le siècle en faisant des films. S'il est facile de voir dans son œuvre le moment où elle colle à son temps (le surréalisme), adhère aux grands courants de pensée (l'engagement communiste) et à des formes préétablies (le cinéma commercial mexicain), il est plus difficile de sentir ce moment où Luis Buñuel, tel Nazarin se méfiant du mensonge des Institutions et de l'hypocrisie de son époque, s'extrait du moule esthétique et politique de l'air du temps dans lequel il s'est glissé afin de poursuivre sa route en solitaire, ni vu, ni connu. Plus que nul autre cinéaste, Luis Buñuel a peint inlassablement l'homme sous toutes ses coutures. Cet animal social pas toujours sociable, Buñuel, fin architecte de l'homme, l'a filmé en plan et en coupe, afin d'éprouver le degré de résistance des divers matériaux qui le composent. Tout le monde peut se reconnaître dans un de ses films, y déceler un travers familier, en avoir peur ou avoir le courage et l'honnêteté d'en rire. Soit cinéma a permis à chacun, avec une facilité hors du commun, de réaliser tout ce qu'il peut en attendre : lui montrer ce dont l'homme est capable, le réfléchir, en acte, en pensée. Il a accompli cette chose en apparence bien ordinaire, en construisant une œuvre unique, qui n'a plus son pareil aujourd'hui. Beau paradoxe, comme il les aimait, qui ne demande qu'à être éclairci. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301691 18 H.1.02967 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
301691URL Théâtre et cinéma / Charles Tesson
Titre : Théâtre et cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Tesson, Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2007 Autre Editeur : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (96 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-459-6 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Langues:Français:Littérature :ThéatreMots-clés : Adaptation de pièces de théâtre adaptation cinématographique théâtre et cinéma Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : Le dialogue entre le théâtre et le cinéma débute avec l’invention du cinéma lui-même et connaît un spectaculaire développement avec le cinéma parlant. Le cinéma a trouvé dans le théâtre un répertoire de situations et un modèle de dramaturgie, un art du jeu d’acteur, du décor et de la mise en scène. L’exemple de La Règle du jeu de Jean Renoir permet de développer concrètement cette problématique. En passant des scènes de la représentation théâtrale, où chacun des personnages joue sa partition, aux scènes d’extérieur où le jeu de rôles les confronte à des déterminations sociales bien plus tangibles, la mise en scène du cinéaste expose les enjeux esthétiques spécifiques au cinéma : son attrait pour la réalité capté par la caméra au tournage, et tous les pièges de ses faux-semblants, attachés à tout art de la représentation.
Ce débat est sans doute une passion bien française. Dans le cinéma français, le rôle du théâtre est redoublé par le goût de la parole, de la conversation filmée, et l’apport de dramaturges comme Pagnol ou Guitry, Cocteau…. On peut dire aussi que la relation theâtre-cinéma a cristallisé les enjeux critiques et théoriques pour définir et imposer le cinéma en tant qu’art.
Charles Tesson livre ici une synthèse historique des rapports entre le théâtre et le cinéma qui déborde largement le cadre de l’adaptation de pièces de théâtre au cinéma pour analyser toute la richesse de la confrontation entre deux arts de la représentation et de la mise en scène.Théâtre et cinéma [texte imprimé] / Charles Tesson, Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP), 2007 . - 1 vol. (96 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm.. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-459-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique:Adaptations cinématographiques
Education par les médias:Langues:Français:Littérature :ThéatreMots-clés : Adaptation de pièces de théâtre adaptation cinématographique théâtre et cinéma Index. décimale : 21.2 Adaptations cinématographiques Résumé : Le dialogue entre le théâtre et le cinéma débute avec l’invention du cinéma lui-même et connaît un spectaculaire développement avec le cinéma parlant. Le cinéma a trouvé dans le théâtre un répertoire de situations et un modèle de dramaturgie, un art du jeu d’acteur, du décor et de la mise en scène. L’exemple de La Règle du jeu de Jean Renoir permet de développer concrètement cette problématique. En passant des scènes de la représentation théâtrale, où chacun des personnages joue sa partition, aux scènes d’extérieur où le jeu de rôles les confronte à des déterminations sociales bien plus tangibles, la mise en scène du cinéaste expose les enjeux esthétiques spécifiques au cinéma : son attrait pour la réalité capté par la caméra au tournage, et tous les pièges de ses faux-semblants, attachés à tout art de la représentation.
Ce débat est sans doute une passion bien française. Dans le cinéma français, le rôle du théâtre est redoublé par le goût de la parole, de la conversation filmée, et l’apport de dramaturges comme Pagnol ou Guitry, Cocteau…. On peut dire aussi que la relation theâtre-cinéma a cristallisé les enjeux critiques et théoriques pour définir et imposer le cinéma en tant qu’art.
Charles Tesson livre ici une synthèse historique des rapports entre le théâtre et le cinéma qui déborde largement le cadre de l’adaptation de pièces de théâtre au cinéma pour analyser toute la richesse de la confrontation entre deux arts de la représentation et de la mise en scène.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303508 21.2 H.1.02978 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible