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Auteur Antoine de Baecque (1962-....) |
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Le cinéma est mort, vive le cinéma! / Antoine de Baecque
Titre : Le cinéma est mort, vive le cinéma! : L'histoire-caméra II Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2021 Importance : 368p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-274359-7 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : cinéma Shoah Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le cinéma est mort, vive le cinéma fait suite à L'histoire-caméra. Le premier livre s'attachait au rapport que le cinéma entretient avec l'histoire. Celui-ci s'intéresse au rapport que le cinéma entretient avec la mort.
Deux fils se croisent sur ce thème général. Le premier est la mort proclamée du cinéma à chacun des bouleversements techniques du 7e Art : le passage au parlant, l'apparition de la vidéo, puis celle du numérique.
Le second est la mort intrinsèque du cinéma portée par son principe même de faire vivre les morts. C'est aussi la simultanéité du développement du cinéma avec les guerres mondiales et la violence de masse : comment filmer l'horreur? Doit-on la montrer? Jusqu'où aller? Où s'arrêter?Le cinéma est mort, vive le cinéma! : L'histoire-caméra II [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur . - Paris : Gallimard, 2021 . - 368p.
ISBN : 978-2-07-274359-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Mots-clés : cinéma Shoah Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé : Le cinéma est mort, vive le cinéma fait suite à L'histoire-caméra. Le premier livre s'attachait au rapport que le cinéma entretient avec l'histoire. Celui-ci s'intéresse au rapport que le cinéma entretient avec la mort.
Deux fils se croisent sur ce thème général. Le premier est la mort proclamée du cinéma à chacun des bouleversements techniques du 7e Art : le passage au parlant, l'apparition de la vidéo, puis celle du numérique.
Le second est la mort intrinsèque du cinéma portée par son principe même de faire vivre les morts. C'est aussi la simultanéité du développement du cinéma avec les guerres mondiales et la violence de masse : comment filmer l'horreur? Doit-on la montrer? Jusqu'où aller? Où s'arrêter?Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 201510 17 H.1.5261 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible
Titre : François Truffaut Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Serge Toubiana (1949-....), Auteur ; François Truffaut, Personne honorée Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1996 Collection : "NRF" biographies Importance : 659 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-073629-4 Note générale : François Truffaut, né le 6 février 1932 à Paris et mort à 52 ans le 21 octobre 1984 à Neuilly-sur-Seine d’une tumeur du cerveau, est un réalisateur et scénariste de cinéma français. Il a également été acteur et critique de cinéma. Il fait partie du groupe de cinéastes issus des Cahiers du cinéma, qui ont constitué la Nouvelle Vague. Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma.
Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma français nouvelle vague les cahiers du cinéma Les Quatre Cents Coups Jules et Jim Baisers volés Le Dernier Métro Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles, et des multiples témoignages de ses amis.
Une naissance au secret, le 6 février 1932, une enfance quasi clandestine au foyer de parents hostiles, la vie de François Truffaut est d'emblée romanesque.
Dans Paris occupé, c'est le temps des quatre cents coups, des amis pour la vie. Lecteur fébrile, spectateur ébloui, il voit et revoit des centaines de filins. À seize ans, il fonde un ciné-club et s'endette. C'est la rupture avec les parents, le centre de redressement, la prison militaire. Mais la personnalité fiévreuse de François Truffaut intrigue et séduit Genet, Cocteau et surtout André Bazin, qui l'accueille, lui permet d'écrire, dans les Cahiers du cinéma.
Très vite, le jeune autodidacte devient le critique vedette des années cinquante. Il rencontre les maîtres qu'il admire, Renoir, Ophuls, Rossellini, Hitchcock. "Le film de demain sera tourné par un aventurier", écrit-il dans Arts. Les quatre cents coups de l'enfance deviennent du cinéma et s'imposent comme un film-manifeste, François Truffaut est le fer de lance de la Nouvelle Vague, crée sa propre maison de production, les Films du Carrosse.
Il est le metteur eu scène et l'ami des plus grandes stars, Jeanne Moreau, Françoise Dorléac, Catherine Deneuve, Isabelle Adjani, Fanny Ardant. "Les films sont plus harmonieux que la vie", dira-t-il, mais c'est la vie, la sienne, l'homme sous ses multiples facettes, qui se laisse deviner à travers les personnages de ses vingt et un films : Antoine Doinel, l'adolescent des Quatre Cents Coups, le jeune homme de Baisers volés, le nouveau marié de Domicile conjugal, Ferrand, le metteur en scène amoureux des actrices de La Nuit américaine, Bertrand Morane, le séducteur de L'homme qui aimait Les femmes, julien Davenne, l'homme qui voue sa vie ait culte des morts, l'ami inconsolé de La Chambre verte.
François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir des multiples témoignages de ses amis et de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire François Truffaut [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Serge Toubiana (1949-....), Auteur ; François Truffaut, Personne honorée . - [Paris] : Gallimard, 1996 . - 659 p. : couv. ill. ; 24 cm. - ("NRF" biographies) .
ISBN : 978-2-07-073629-4
François Truffaut, né le 6 février 1932 à Paris et mort à 52 ans le 21 octobre 1984 à Neuilly-sur-Seine d’une tumeur du cerveau, est un réalisateur et scénariste de cinéma français. Il a également été acteur et critique de cinéma. Il fait partie du groupe de cinéastes issus des Cahiers du cinéma, qui ont constitué la Nouvelle Vague. Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma.
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma
Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateursMots-clés : Cinéma français nouvelle vague les cahiers du cinéma Les Quatre Cents Coups Jules et Jim Baisers volés Le Dernier Métro Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles, et des multiples témoignages de ses amis.
Une naissance au secret, le 6 février 1932, une enfance quasi clandestine au foyer de parents hostiles, la vie de François Truffaut est d'emblée romanesque.
Dans Paris occupé, c'est le temps des quatre cents coups, des amis pour la vie. Lecteur fébrile, spectateur ébloui, il voit et revoit des centaines de filins. À seize ans, il fonde un ciné-club et s'endette. C'est la rupture avec les parents, le centre de redressement, la prison militaire. Mais la personnalité fiévreuse de François Truffaut intrigue et séduit Genet, Cocteau et surtout André Bazin, qui l'accueille, lui permet d'écrire, dans les Cahiers du cinéma.
Très vite, le jeune autodidacte devient le critique vedette des années cinquante. Il rencontre les maîtres qu'il admire, Renoir, Ophuls, Rossellini, Hitchcock. "Le film de demain sera tourné par un aventurier", écrit-il dans Arts. Les quatre cents coups de l'enfance deviennent du cinéma et s'imposent comme un film-manifeste, François Truffaut est le fer de lance de la Nouvelle Vague, crée sa propre maison de production, les Films du Carrosse.
Il est le metteur eu scène et l'ami des plus grandes stars, Jeanne Moreau, Françoise Dorléac, Catherine Deneuve, Isabelle Adjani, Fanny Ardant. "Les films sont plus harmonieux que la vie", dira-t-il, mais c'est la vie, la sienne, l'homme sous ses multiples facettes, qui se laisse deviner à travers les personnages de ses vingt et un films : Antoine Doinel, l'adolescent des Quatre Cents Coups, le jeune homme de Baisers volés, le nouveau marié de Domicile conjugal, Ferrand, le metteur en scène amoureux des actrices de La Nuit américaine, Bertrand Morane, le séducteur de L'homme qui aimait Les femmes, julien Davenne, l'homme qui voue sa vie ait culte des morts, l'ami inconsolé de La Chambre verte.
François Truffaut avait l'intention de raconter sa vie. C'est la raison de cette biographie, établie à partir des multiples témoignages de ses amis et de ses étonnantes archives personnelles, pour la première fois accessibles.Pays : France Niveau : secondaire supérieur, enseignement supérieur et universitaire Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 303878 18 H.1.04410 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
303878URL
Titre : Godard : biographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée Editeur : Paris : B. Grasset Année de publication : impr. 2010 Importance : 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. Format : 24 cm Note générale : Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Godard : biographie [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur ; Jean-Luc Godard (1930-....), Personne honorée . - Paris : B. Grasset, impr. 2010 . - 1 vol. (935 p.-[32] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 24 cm.
Jean-Luc Godard est un cinéaste franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est tout à la fois réalisateur, scénariste, dialoguiste, acteur, monteur, producteur et écrivain, critique et théoricien du cinéma.
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol ou encore Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la Gazette du cinéma, les Cahiers du cinéma et Arts. Parallèlement à sa carrière de critique, il tourne dès les années 1950 des courts métrages en 16 mm. Il tourne ainsi Opération béton (1954), un documentaire sur la construction du barrage de la Grande-Dixence en Suisse, Charlotte et Véronique, un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, Une histoire d'eau (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut et enfin Charlotte et son jules (1958).
En 1959, il passe au long métrage avec la réalisation d'À bout de souffle. Le film rencontre un grand succès et devient un des films emblématiques de la Nouvelle Vague. Au cours des années 1960, il multiplie les projets et réalise plusieurs films par an. En 1960, il tourne ainsi Le Petit Soldat, un film sur la guerre d'Algérie et Une femme est une femme, un film hommage à la comédie musicale. Il réalise ensuite Vivre sa vie (1962), un film sur une jeune femme qui se prostitue, Les Carabiniers (1963), un nouveau film sur la guerre et Le Mépris (1963) un film sur l'univers du cinéma. Il poursuit en 1964 avec Bande à part et Une femme mariée. En 1965, il réalise Alphaville, son film de science-fiction puis Pierrot le fou, un road-movie considéré par certains comme son chef d'œuvre. Il réalise ensuite Masculin, féminin, un film sur la jeunesse, Made in USA, 2 ou 3 choses que je sais d'elle, dans lequel il traite à nouveau du thème de la prostitution, La Chinoise (1967) et Week end (1967).
Godard est alors devenu un cinéaste incontournable et une star dans le monde culturel français. À partir de 1968, il se marginalise et se radicalise politiquement. Il tente avec Jean-Pierre Gorin de faire un cinéma politique et signe ses films sous le pseudonyme collectif de Groupe Dziga Vertov. Durant cette période ses films sont peu diffusés. À partir de 1974, il expérimente la vidéo avec sa compagne Anne-Marie Miéville, travaille pour la télévision et s'éloigne du cinéma.
Il revient au cinéma au tournant des années 1980 avec Sauve qui peut (la vie). Il retrouve alors la place centrale qu'il avait occupée au cours des années 1960.
À partir de la fin des années 1980, il se consacre à une série de films-essais intitulée Histoire(s) du cinéma qu'il achève en 1998 et qui tente de faire une histoire cinématographique du cinéma. Dans les années 2000, il poursuit son travail au cinéma avec Éloge de l'amour (2001), Notre musique (2004) et Film Socialisme (2010). Il monte aussi un projet d'exposition au centre Georges Pompidou à Paris. Le projet extrêmement ambitieux est finalement abandonné et donne lieu à une exposition intitulée Voyage(s) en utopie. À la recherche d'un théorème perdu. JLG 1945-2005 qui montre les maquettes de l'exposition prévue.
Il a obtenu l'ours d'or au festival de Berlin en 1965 pour Alphaville, deux césars d'honneur en 1987 et 1998, un lion d'or pour l'ensemble de sa carrière en 1982 et un lion d'or pour Prénom Carmen en 1983 au festival de Venise et un oscar d'honneur en 2010 pour l'ensemble de sa carrière.
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Monographies : réalisateurs Mots-clés : À bout de souffle Le Mépris Pierrot le fou Sauve qui peut (la vie) Histoire(s) du cinéma cinéma français cahiers du cinéma nouvelle vague Index. décimale : 18 Monographies : réalisateurs Résumé : Jean-Luc Godard, le cinéaste culte d’A bout de souffle et de Pierrot le fou, le chef de bande de la Nouvelle Vague, l’agitateur politique des années gauchistes, le publicitaire de lui-même, le provocateur misanthrope, l’archiviste, et enfin l’ermite de Rolle qui sera âgé de 80 ans en 2010, bref tous ces visages souvent contradictoires réunis en un seul : la première biographie en France de l’impossible M. Godard, dont Serge Daney disait qu’il y a « toujours chez lui une matière biographique, coriace et finalement mal perceptible. » On l’aime/on ne l’aime pas : qu’importe, JLG a tissé l’histoire culturelle du vingtième siècle et ses images (Belmondo le visage bleu dans Pierrot le fou, les fesses de Brigitte Bardot dans Le mépris, Johnny Halliday, Anne Wiazemsky dans La Chinoise, mais aussi un quatuor de Beethoven ou un nuage sur le lac Léman) ont marqué notre époque. Du hussard droitier, rejeton de la haute société protestante qui marche sur les mains pour épater Bardot au contestataire cinéphile qui écrit à Malraux « ministre de la Kultur » une lettre sur « la censure, gestapo de l’esprit », du réalisateur tyrannique humiliant ses acteurs à l’amoureux peintre des femmes dans Prénom Carmen, du moraliste politisé en treillis de combat au King Lear sépulcral cigare en bouche, de l’historien des images « relié au passé » au kinoclaste « shooté au show-business », défilent ici quatre-vingt années de vie, de cinéma, de travail et de passions brûlantes. « Son génie est plus fort que sa volonté d’auto-destruction » disait Daniel Cohn-Bendit. C’est aussi la résurrection d’une époque française : la cinéphilie, d’une fraternité (avec Truffaut), d’une rivalité sous l’œil des caméras. Pays : France Niveau : secondaire supérieur et + Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 301917 18 H.1.04220 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon DVD Disponible Documents numériques
301917URL
Titre : L'histoire-caméra Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-076368-9 Note générale :
Antoine de Baecque est historien et critique de cinéma. Son travail historique porte sur le siècle des Lumières et la Révolution, dont il a étudié la culture politique (Le Corps de l'histoire, 1993; La Gloire et l'Effroi, 1996; Les Éclats du rire, 2000). Sur le cinéma, il a notamment publié François Truffaut (1996), La Nouvelle Vague (1998), La Cinéphilie (2003).Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Sacha Guitry Peter Watkins démoderne Tim Burton histoire et cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'histoire a toujours fasciné le cinéma. En témoigne, depuis les origines, l'attirance des metteurs en scène pour les reconstitutions historiques. Très vite, également, elle s'est invitée dans les images, transformant les films en archives visuelles du XXe siècle. Ces deux mouvements - l'histoire reconstituée et l'histoire surgissant à l'écran - manifestent la rencontre du cinéma et de l'histoire : le cinéma donne une forme à l'histoire, laquelle, en retour, y inscrit son empreinte comme sur une plaque sensible. Le septième art aurait-il une dimension historique intrinsèque ? La réponse d'Antoine de Baecque est sans équivoque : " La forme cinématographique est de part en part historique, et le cinéaste, doté de son outil, l'histoire-caméra, un historien privilégié. " Le cinéma moderne d'après la Seconde Guerre mondiale incarne l'irruption de cet " âge de l'histoire " dans la vision des films. Il fournit à lui seul toute la matière de ce livre : les œuvres des années 1950, confrontées en regards caméra au traumatisme de la mort de masse ; celles de la Nouvelle Vague, quand le style se fait trace du mal-être de la jeunesse sur fond de guerre d'Algérie ; les films " démodernes " du cinéma russe d'après le communisme ; le cinéma hollywoodien contemporain, où se reflètent les fictions maîtresses du 11-Septembre. S'y ajoutent les mises en forme de Sacha Guitry, filmant l'histoire de France en son château, de Jean-Luc Godard, qui fait resurgir l'histoire dans la mémoire muséale du siècle, et de Peter Watkins, qui la traque comme un reporter de guerre.
L'histoire-caméra [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur . - Paris : Gallimard, 2008 . - 1 vol.
ISBN : 978-2-07-076368-9
Antoine de Baecque est historien et critique de cinéma. Son travail historique porte sur le siècle des Lumières et la Révolution, dont il a étudié la culture politique (Le Corps de l'histoire, 1993; La Gloire et l'Effroi, 1996; Les Éclats du rire, 2000). Sur le cinéma, il a notamment publié François Truffaut (1996), La Nouvelle Vague (1998), La Cinéphilie (2003).
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Sacha Guitry Peter Watkins démoderne Tim Burton histoire et cinéma Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
L'histoire a toujours fasciné le cinéma. En témoigne, depuis les origines, l'attirance des metteurs en scène pour les reconstitutions historiques. Très vite, également, elle s'est invitée dans les images, transformant les films en archives visuelles du XXe siècle. Ces deux mouvements - l'histoire reconstituée et l'histoire surgissant à l'écran - manifestent la rencontre du cinéma et de l'histoire : le cinéma donne une forme à l'histoire, laquelle, en retour, y inscrit son empreinte comme sur une plaque sensible. Le septième art aurait-il une dimension historique intrinsèque ? La réponse d'Antoine de Baecque est sans équivoque : " La forme cinématographique est de part en part historique, et le cinéaste, doté de son outil, l'histoire-caméra, un historien privilégié. " Le cinéma moderne d'après la Seconde Guerre mondiale incarne l'irruption de cet " âge de l'histoire " dans la vision des films. Il fournit à lui seul toute la matière de ce livre : les œuvres des années 1950, confrontées en regards caméra au traumatisme de la mort de masse ; celles de la Nouvelle Vague, quand le style se fait trace du mal-être de la jeunesse sur fond de guerre d'Algérie ; les films " démodernes " du cinéma russe d'après le communisme ; le cinéma hollywoodien contemporain, où se reflètent les fictions maîtresses du 11-Septembre. S'y ajoutent les mises en forme de Sacha Guitry, filmant l'histoire de France en son château, de Jean-Luc Godard, qui fait resurgir l'histoire dans la mémoire muséale du siècle, et de Peter Watkins, qui la traque comme un reporter de guerre.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300347 17 H.1.03858 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
300347URL
Titre : Histoire et cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine de Baecque (1962-....), Auteur Editeur : Paris : Cahiers du Cinéma Année de publication : 2008 Collection : Les petits cahiers Importance : 1 vol. (95 p.) Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86642-476-3 Langues : Français (fre) Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Cinéma et histoire Films historiques Histoire critique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Dès ses origines le cinéma a été fasciné par l'Histoire : en témoignent les centaines de reconstitutions historiques, de la Passion du Christ à la Révolution française. La Rome antique, quant à elle, a donné naissance à un genre, le péplum, et la conquête de l'Ouest à un autre, le western. La révolution soviétique s'est propagée à travers des films mythiques comme Le Cuirassé Potemkine. Dans sa nature même, le cinéma est une forme d'enregistrement de la réalité qui possède une authenticité documentaire. Il donne forme à l'histoire du XXe siècle comme le roman a été la forme du XIXe. Ambitions de reconstitutions ou miroirs d'archives, l'histoire d'un art et l'histoire d'un siècle ont donc à faire ensemble, leur rencontre est des plus stimulantes. Le sens de l'Histoire passe par la mise en scène et le montage, et il y a bien plus d'Histoire dans une fiction cinématographique que dans une bande d'actualités filmées. Ces deux modèles de représentation que sont le cinéma et l'Histoire ont aussi en commun la capacité exemplaire de rendre le monde visible et lisible. Les hommes peuvent y puiser pour se figurer leur histoire et se constituer une vision du monde.Histoire et cinéma [texte imprimé] / Antoine de Baecque (1962-....), Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma, 2008 . - 1 vol. (95 p.) : ill. ; 19 cm. - (Les petits cahiers) .
ISBN : 978-2-86642-476-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Education aux médias:Cinéma:Cinéma et enseignement
Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographiqueMots-clés : Cinéma et histoire Films historiques Histoire critique Index. décimale : 17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Résumé :
Dès ses origines le cinéma a été fasciné par l'Histoire : en témoignent les centaines de reconstitutions historiques, de la Passion du Christ à la Révolution française. La Rome antique, quant à elle, a donné naissance à un genre, le péplum, et la conquête de l'Ouest à un autre, le western. La révolution soviétique s'est propagée à travers des films mythiques comme Le Cuirassé Potemkine. Dans sa nature même, le cinéma est une forme d'enregistrement de la réalité qui possède une authenticité documentaire. Il donne forme à l'histoire du XXe siècle comme le roman a été la forme du XIXe. Ambitions de reconstitutions ou miroirs d'archives, l'histoire d'un art et l'histoire d'un siècle ont donc à faire ensemble, leur rencontre est des plus stimulantes. Le sens de l'Histoire passe par la mise en scène et le montage, et il y a bien plus d'Histoire dans une fiction cinématographique que dans une bande d'actualités filmées. Ces deux modèles de représentation que sont le cinéma et l'Histoire ont aussi en commun la capacité exemplaire de rendre le monde visible et lisible. Les hommes peuvent y puiser pour se figurer leur histoire et se constituer une vision du monde.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300353 17 H.1.03864 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Exclu du prêt 300857 17 H.1.03864 Livre Médiathèque CAV Liège Rayon Livres Disponible Documents numériques
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