Titre : |
Esthétique et psychologie du cinéma : 1. Les structures |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean Mitry, Auteur |
Editeur : |
Paris : Editions Universitaires |
Année de publication : |
1966 |
Collection : |
Encyclopédie universitaire |
Importance : |
1 vol. (426 p.) |
Format : |
25 cm. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
|
Mots-clés : |
cinéma et psychologie sémiotique et cinéma cinéma esthétique |
Index. décimale : |
21 Langage cinématographique |
Résumé : |
Mettre en scène, c'est organiser un espace et en ordonner le mouvement dans la durée. C'est construire un "univers" au moyen d'éléments concrets choisis dans la réalité objective, mais agencés selon des rapports convenables et dirigés vers une fin préméditée. Or, fût-elle image de la réalité vraie, l'image scénique, parce qu'elle est "image", nous donne toujours une vérité transposée - médiatisée. L'objet y est toujours sujet d'une quelconque représentation. Nous "visons" un réel concret à travers une image qui est une "forme" et une forme structurée selon certaines lois. Par ailleurs, introduite dans un contexte qui réagit sur elle, l'image devient symbole. Signifiant autre chose que ce qu'elle montre elle fait office de "signe". Le film devient langage. |
Esthétique et psychologie du cinéma : 1. Les structures [texte imprimé] / Jean Mitry, Auteur . - Paris : Editions Universitaires, 1966 . - 1 vol. (426 p.) ; 25 cm.. - ( Encyclopédie universitaire) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
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Mots-clés : |
cinéma et psychologie sémiotique et cinéma cinéma esthétique |
Index. décimale : |
21 Langage cinématographique |
Résumé : |
Mettre en scène, c'est organiser un espace et en ordonner le mouvement dans la durée. C'est construire un "univers" au moyen d'éléments concrets choisis dans la réalité objective, mais agencés selon des rapports convenables et dirigés vers une fin préméditée. Or, fût-elle image de la réalité vraie, l'image scénique, parce qu'elle est "image", nous donne toujours une vérité transposée - médiatisée. L'objet y est toujours sujet d'une quelconque représentation. Nous "visons" un réel concret à travers une image qui est une "forme" et une forme structurée selon certaines lois. Par ailleurs, introduite dans un contexte qui réagit sur elle, l'image devient symbole. Signifiant autre chose que ce qu'elle montre elle fait office de "signe". Le film devient langage. |
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