| Titre : |
Dites à mes amis que je suis mort |
| Type de document : |
document projeté ou vidéo |
| Auteurs : |
Nino Kirtadzé, Metteur en scène, réalisateur |
| Editeur : |
Doriane Films |
| Année de publication : |
2003 |
| Importance : |
90 min |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Géorgien (geo) |
| Catégories : |
Education par les médias
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Education par les médias:Société:Culture et communautés
|
| Mots-clés : |
deuil mort cimetière |
| Index. décimale : |
92.2 Documentaire |
| Résumé : |
Nous sommes dans l’Ouest de la Géorgie, où les vivants ne se séparent point de leurs morts. Ils parlent aux morts. Ils leur demandent conseil. Ils les protègent et espèrent être protégé par eux. Ici la mort n’est pas un tabou. On meurt dans la famille, entouré des êtres chers. Chacun sait qu’après sa mort, les vivants continueront à s’occuper de lui, se soucieront à savoir "si leur mort se porte bien, s'il ne manque de rien, s'il est en bonne santé." Tsotné, revêtu de son plus beau costume est enfin prêt "à recevoir". Ses proches sont là, pour le soigner et préparer la cérémonie, pour que Tsotné ait "la réception qu’il mérite. "À partir de 8 heures du soir, la cérémonie des condoléances commence... Tout s’entremêle et se confond dans cet univers surréaliste : la drôlerie avec la peine la plus profonde, la joie de vivre avec le mystère de la mort. L’un est intimement lié à l’autre. Tout communique, comme si la séparation n’existait point ; comme si tout était lié, comme si la vie célébrait sa victoire sur la mort. |
| Genre : |
Documentaire |
| Pays : |
Géorgie |
| Niveau : |
secondaire supérieur et + |
Dites à mes amis que je suis mort [document projeté ou vidéo] / Nino Kirtadzé, Metteur en scène, réalisateur . - Doriane Films, 2003 . - 90 min. Langues : Français ( fre) Langues originales : Géorgien ( geo)
| Catégories : |
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| Mots-clés : |
deuil mort cimetière |
| Index. décimale : |
92.2 Documentaire |
| Résumé : |
Nous sommes dans l’Ouest de la Géorgie, où les vivants ne se séparent point de leurs morts. Ils parlent aux morts. Ils leur demandent conseil. Ils les protègent et espèrent être protégé par eux. Ici la mort n’est pas un tabou. On meurt dans la famille, entouré des êtres chers. Chacun sait qu’après sa mort, les vivants continueront à s’occuper de lui, se soucieront à savoir "si leur mort se porte bien, s'il ne manque de rien, s'il est en bonne santé." Tsotné, revêtu de son plus beau costume est enfin prêt "à recevoir". Ses proches sont là, pour le soigner et préparer la cérémonie, pour que Tsotné ait "la réception qu’il mérite. "À partir de 8 heures du soir, la cérémonie des condoléances commence... Tout s’entremêle et se confond dans cet univers surréaliste : la drôlerie avec la peine la plus profonde, la joie de vivre avec le mystère de la mort. L’un est intimement lié à l’autre. Tout communique, comme si la séparation n’existait point ; comme si tout était lié, comme si la vie célébrait sa victoire sur la mort. |
| Genre : |
Documentaire |
| Pays : |
Géorgie |
| Niveau : |
secondaire supérieur et + |
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