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Titre : |
Verbrande brug |
Titre original : |
Pont brûlé |
Type de document : |
document projeté ou vidéo |
Auteurs : |
Guido Henderickx, Metteur en scène, réalisateur |
Editeur : |
Bruxelles [Belgique] : Cinémathèque Royale de Belgique |
Année de publication : |
1974 |
Importance : |
1 DVD + 1 livret |
Présentation : |
83 + 32 +75 min |
Langues : |
Néerlandais (dut) Français (fre) Langues originales : Néerlandais (dut) |
Catégories : |
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Education par les médias:Langues:Néerlandais
|
Mots-clés : |
sous-titres en néerlandais |
Index. décimale : |
92.7 Cinéma belge |
Résumé : |
Lorsqu'il réalise Pont Brûlé, en 1975, Guido Henderickx baigne davantage dans la culture du cinéma américain indépendant qui a pris ses distances avec Hollywood qu'avec le cinéma flamand traditionnel. C'est l'époque de The Chase d'Arthur Ripley, Five Easy Pieces de Bob Rafelson ou du superbe The Last pictures show de Peter Bogdanovitch. Si le film démarre par un hommage à Fat City de John Huston on pourrait soutenir que la thématique du film de Guido Henderickx n'en est pas très éloignée : celle des perdants de la vie broyés par un système social implacable.
Mais Pont brûlé est aussi un drame passionnel entre Charel (Jan Decleir), Monique (la pulpeuse Doris Darden), Louis (Yves Beneyton découvert dans La Dentellière) et Lola (Malka Ribowska) qui se déroule lors de la Kermesse de Pont Brûlé et se déroule en 24 heures. Si le dernier plan semble gommer le drame qui s'est noué la nuit précédente entre les quatre personnages, Guido Henderickx nous montre que ce retour à la " normalité " du petit déjeuner commun entre Charel et Monika est aussi désespérant que leur nuit d'ivresse et de bagarres. Henderickx dont la sobriété de la mise en scène se met au diapason d'acteurs qu'il a su merveilleusement bien diriger a évité les pièges du psychologisme et du déterminisme social. Le film tient la route, trente ans après sa réalisation. Signalons, au passage, le petit clin d'œil à A Bout de souffle lorsque Jan Decleir pisse dans le lavabo. |
Genre : |
Drame |
Pays : |
Belgique |
Niveau : |
Secondaire et + |
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Verbrande brug = Pont brûlé [document projeté ou vidéo] / Guido Henderickx, Metteur en scène, réalisateur . - Bruxelles [Belgique] : Cinémathèque Royale de Belgique, 1974 . - 1 DVD + 1 livret : 83 + 32 +75 min. Langues : Néerlandais ( dut) Français ( fre) Langues originales : Néerlandais ( dut)
Catégories : |
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Fiction Education par les médias:Langues:Néerlandais
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Mots-clés : |
sous-titres en néerlandais |
Index. décimale : |
92.7 Cinéma belge |
Résumé : |
Lorsqu'il réalise Pont Brûlé, en 1975, Guido Henderickx baigne davantage dans la culture du cinéma américain indépendant qui a pris ses distances avec Hollywood qu'avec le cinéma flamand traditionnel. C'est l'époque de The Chase d'Arthur Ripley, Five Easy Pieces de Bob Rafelson ou du superbe The Last pictures show de Peter Bogdanovitch. Si le film démarre par un hommage à Fat City de John Huston on pourrait soutenir que la thématique du film de Guido Henderickx n'en est pas très éloignée : celle des perdants de la vie broyés par un système social implacable.
Mais Pont brûlé est aussi un drame passionnel entre Charel (Jan Decleir), Monique (la pulpeuse Doris Darden), Louis (Yves Beneyton découvert dans La Dentellière) et Lola (Malka Ribowska) qui se déroule lors de la Kermesse de Pont Brûlé et se déroule en 24 heures. Si le dernier plan semble gommer le drame qui s'est noué la nuit précédente entre les quatre personnages, Guido Henderickx nous montre que ce retour à la " normalité " du petit déjeuner commun entre Charel et Monika est aussi désespérant que leur nuit d'ivresse et de bagarres. Henderickx dont la sobriété de la mise en scène se met au diapason d'acteurs qu'il a su merveilleusement bien diriger a évité les pièges du psychologisme et du déterminisme social. Le film tient la route, trente ans après sa réalisation. Signalons, au passage, le petit clin d'œil à A Bout de souffle lorsque Jan Decleir pisse dans le lavabo. |
Genre : |
Drame |
Pays : |
Belgique |
Niveau : |
Secondaire et + |
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