Titre de série : |
Cinémaction, 121 |
Titre : |
Le corps filmé |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Andrea Grunert, Directeur de publication |
Editeur : |
Colombelles [France] : Corlet Publications |
Année de publication : |
2006 |
Importance : |
1 vol. (218 p.) |
Présentation : |
ill., couv. ill. en coul. |
Format : |
24 cm. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84706-126-0 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
|
Mots-clés : |
cinéma esthétique gestuelle au cinéma |
Index. décimale : |
21 Langage cinématographique |
Résumé : |
Le corps de l'acteur est une présence indéniable, une matière première, brute, si l'on veut, du récit, voire du discours filmique. Hors écran comme sur l'écran, le corps porte des traces qui désignent l'individu ou font de lui un objet en transformation : ce sont les traces de l'âge, des maladies, du sexe, de l'appartenance ethnique. Les marques de la vieillesse sont inscrites sur la peau mais ce sont aussi les blessures, les cicatrices ou les tatouages qui peuvent la marquer. Le spectacle cinématographique se sert de ces marques ou les crée artificiellement à des fins dramatiques et discursives.
De même, la texture du corps telle que le cinéma la présente est indéniablement riche : le corps est chair ou silhouette, émotion ou idée. Déguisé ou nu, le corps au cinéma est une clef pour la création de l'illusion et de l'identification. Mais il contribue aussi aux tentatives de dévoilement des mécanismes de la mise en scène. |
Cinémaction, 121. Le corps filmé [texte imprimé] / Andrea Grunert, Directeur de publication . - Colombelles [France] : Corlet Publications, 2006 . - 1 vol. (218 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-84706-126-0 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Education aux médias:Cinéma:Langage cinématographique
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Mots-clés : |
cinéma esthétique gestuelle au cinéma |
Index. décimale : |
21 Langage cinématographique |
Résumé : |
Le corps de l'acteur est une présence indéniable, une matière première, brute, si l'on veut, du récit, voire du discours filmique. Hors écran comme sur l'écran, le corps porte des traces qui désignent l'individu ou font de lui un objet en transformation : ce sont les traces de l'âge, des maladies, du sexe, de l'appartenance ethnique. Les marques de la vieillesse sont inscrites sur la peau mais ce sont aussi les blessures, les cicatrices ou les tatouages qui peuvent la marquer. Le spectacle cinématographique se sert de ces marques ou les crée artificiellement à des fins dramatiques et discursives.
De même, la texture du corps telle que le cinéma la présente est indéniablement riche : le corps est chair ou silhouette, émotion ou idée. Déguisé ou nu, le corps au cinéma est une clef pour la création de l'illusion et de l'identification. Mais il contribue aussi aux tentatives de dévoilement des mécanismes de la mise en scène. |
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