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					| Titre : | Le procès : Dossier pédagogique |  
					| Type de document : | texte imprimé |  
					| Auteurs : | Jean-Philippe Trias, Auteur |  
					| Editeur : | Paris : Cahiers du Cinéma |  
					| Année de publication : | 2005 |  
					| Autre Editeur : | Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) |  
					| Collection : | Les petits cahiers |  
					| Note générale : | Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
 
 Prix Méliès en 1962.
 
 
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					| Langues : | Français (fre) |  
					| Catégories : | Education aux médias:Cinéma:Monographies : films 
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					| Mots-clés : | Le Procès  The Trial  Il Processo  Der Prozess  Orson Welles  Franz Kafka  Pierre Cholot  Jean Ledrut  Albinoni de Remo Giazotto  Edmond Richard  Adolphe Charlet  Robert Fraisse  Marc Maurette  Paul Seban  Sophie Becker  Roger Corbeau  Jean Mandaroux  Guy Villette  Julien Coutellier  Hélène Thibault  Louis Dor  Marie-Josée Kling  Yvonne Martin  Frederick Muller  Yves Laplanche  Alexander Salkind  Michael Salkind  Robert Florat  Mercury Productions  Paris Europa Productions  FICIT  Hisa Films GmbH  UFA  Universum Film Aktien Gesellschaft  COMACICO  Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale  Anthony Perkins  Pierre Vaneck  Jean Topart  Romy Schneider  Jeanne Moreau  Elsa Martinelli  Madeleine Robinson  Suzanne Flon  Akim Tamiroff  Arnoldo Foa  Fernand Ledoux  Jess Hahn  Maurice Teynac  Michael Lonsdale  Cinéma français  Cinéma allemand  Cinéma italien |  
					| Index. décimale : | 19 Monographies : films |  
					| Résumé : | « Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
 
 Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
 
 
 
 
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					| Note de contenu : | On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
 
 Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
 
 * Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
 * Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
 * Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
 * Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
 
 
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Le procès : Dossier pédagogique [texte imprimé] / Jean-Philippe Trias , Auteur . - Paris : Cahiers du Cinéma  : Réseau Canopé editions (anciennement SCEREN-CNDP-CRDP) , 2005. - (Les petits cahiers ) . 
Le Procès est une coproduction européenne réalisée par Orson Welles et sortie en 1962. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman éponyme de Franz Kafka.
 
Prix Méliès en 1962.
Langues  : Français (fre ) 
					| Catégories : | Education aux médias:Cinéma:Monographies : films 
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					| Mots-clés : | Le Procès  The Trial  Il Processo  Der Prozess  Orson Welles  Franz Kafka  Pierre Cholot  Jean Ledrut  Albinoni de Remo Giazotto  Edmond Richard  Adolphe Charlet  Robert Fraisse  Marc Maurette  Paul Seban  Sophie Becker  Roger Corbeau  Jean Mandaroux  Guy Villette  Julien Coutellier  Hélène Thibault  Louis Dor  Marie-Josée Kling  Yvonne Martin  Frederick Muller  Yves Laplanche  Alexander Salkind  Michael Salkind  Robert Florat  Mercury Productions  Paris Europa Productions  FICIT  Hisa Films GmbH  UFA  Universum Film Aktien Gesellschaft  COMACICO  Compagnie Marocaine Cinématographique et Commerciale  Anthony Perkins  Pierre Vaneck  Jean Topart  Romy Schneider  Jeanne Moreau  Elsa Martinelli  Madeleine Robinson  Suzanne Flon  Akim Tamiroff  Arnoldo Foa  Fernand Ledoux  Jess Hahn  Maurice Teynac  Michael Lonsdale  Cinéma français  Cinéma allemand  Cinéma italien |  
					| Index. décimale : | 19 Monographies : films |  
					| Résumé : | « Cette histoire est contée dans un roman : Le Procès par Franz Kafka » (Orson Welles à la fin du film).
 
 Un matin, K est réveillé dans son lit par l’entrée impromptue d’inspecteurs dans son appartement. Il est rapidement submergé de questions et de remarques incongrues. Il finit par comprendre qu’il est inculpé, mais ne sait pas de quoi il est accusé. Sa vie bascule dès lors dans les méandres d’une instance judiciaire dont il ne comprend pas les règles. Laissé libre de ses mouvements, il court désespérément à la recherche de réponses, essaye de percer le mur infranchissable qui le sépare de la Loi.
 
 
 
 
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					| Note de contenu : | On a beaucoup parlé à la sortie du Procès de l'infidélité supposée de Welles vis-à-vis de Kafka. Cet ouvrage entend réunir les pièces du dossier pour montrer que le procès du Procès n'est qu'un faux procès, et que le film est un véritable cas d'école pour comprendre ce qu'est l'adaptation d'un roman au cinéma, le cheminement nécessaire d'un créateur à l'autre, d'un art dans un autre. Alors que tout semble opposer au premier abord Welles et Kafka, des parentés singulières relient en réalité leurs œuvres : inachèvement, théâtralité, rapport de l'individu à la Loi et à la Vérité, impossible quête du sens... A l'encontre du point de vue généralement adopté par les historiens du cinéma selon lequel Le Procès, film de commande, serait un produit commercial mal identifié, l'auteur considère ce film comme l'un des plus libres et aboutis de Welles. Du roman de Kafka, Welles est resté fidèle non seulement à la lettre, mais aussi à l'esprit qu'il raccroche à ses propres préoccupations éthiques et politiques sur le monde contemporain. Le style de l'écrivain a cependant été métamorphosé par la vision du cinéaste. Cette transformation révèle l'ambition du film : donner une interprétation du roman qui explicite le contenu onirique et la portée politique toujours actuelle de Kafka. Avec Le Procès, Welles a bien fait un film de Welles et non du " Kafka illustré ".
 
 Dans cette adaptation du roman écrit par Franz Kafka, et paru en 1926 (à titre posthume), Orson Welles décrit par des plans tous plus oppressants, l'enfermement du jeune Joseph K. lors de son accusation non fondée. Une critique d'un régime totalitaire inconnu.
 
 * Les scènes d'intérieur furent essentiellement tournées à Paris dans la gare d'Orsay durant sa désaffectation, avant qu'elle ne devienne un musée (plus quelques scènes extérieures près de la cathédrale Notre-Dame de Paris).
 * Les autres scènes d'extérieur ont été tournées à Zagreb.
 * Le passage de l'apologue de La Porte de la loi utilise le procédé de l'écran d'épingles, mis au point par Alexandre Alexeïeff.
 * Le réalisateur (Orson Welles) interprète lui-même le rôle de l'avocat.
 
 
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