Accompagne
| Titre : |
Le Temps des Gitans. Les bonus |
| Type de document : |
document projeté ou vidéo |
| Auteurs : |
Collectif, Metteur en scène, réalisateur |
| Editeur : |
Sony Pictures |
| Année de publication : |
1988 |
| Importance : |
1 dvd |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Société:Culture et communautés
|
| Index. décimale : |
92.2 Documentaire |
| Note de contenu : |
Premier d’entre-eux, Autour du temps des gitans. Ce documentaire (15 min) soigné fait presque figure d’introduction au portrait du cinéaste puisqu’il retrace brièvement sa filmographie tout en brossant les thèmes principaux du Temps des gitans.
Dans le rêve gitan (21 min), Emir Kusturica revient en personne sur son œuvre en évoquant ses rapports étroits avec la communauté tzigane ainsi qu’avec des acteurs aujourd’hui disparus (Davor Dujmovic et Ljubica Adzovic). Filmé à Küstendorf, son fief surréaliste batit dans les montagnes serbes depuis 2003 auquel le DVD consacre également un documentaire (Kustuland, 5 min), l’entretien avec le généreux cinéaste vaut tout autant le détour.
Passionné de musique tzigane, vous pourrez écouter l’intéressante analyse de l’ethnologue Dimitri Galitzine, La musique comme art de vivre (20 min), qui évoque le caractère passionné d’une communauté vivant plus la musique qu’elle ne l’écoute.
Si vous êtes par contre fasciné par l’onirisme inhérent à l’œuvre du cinéaste, jettez un coup d’oeil à L’errance et le rêve (14 min), une analyse de Jean-Max Méjean, auteur de l’ouvrage Emir Kusturica édité chez Gremese, sur l’errance et les envolées oniriques du héros du film.
Dernier supplément à découvrir : Kusturica tourne Le temps des gitans (6 min). Situé chronologiquement avant son expérience américaine, le cinéaste fait ici part de ses futurs projets et des sollicitations du cinéma hollywoodien (Le temps des gitans étant, rappelons-le, financé par la Columbia).
Plus anecdotiques, Témoignage d’amitié (15 min) dévoile une autre facette de la personnalité d’Emir Kusturica à travers les propos de son ami Serge Regourd (enseignant en droit et défenseur du cinéaste dans la presse, pendant la polémique entourant Underground).
Une fin alternative (3 min) est enfin disponible si vous souhaitez découvrir ou se rend l’oncle de Perhan durant les dernières secondes du film. |
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Le Temps des Gitans. Les bonus [document projeté ou vidéo] / Collectif, Metteur en scène, réalisateur . - Sony Pictures, 1988 . - 1 dvd. Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Documentaire
Education par les médias:Société:Culture et communautés
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| Index. décimale : |
92.2 Documentaire |
| Note de contenu : |
Premier d’entre-eux, Autour du temps des gitans. Ce documentaire (15 min) soigné fait presque figure d’introduction au portrait du cinéaste puisqu’il retrace brièvement sa filmographie tout en brossant les thèmes principaux du Temps des gitans.
Dans le rêve gitan (21 min), Emir Kusturica revient en personne sur son œuvre en évoquant ses rapports étroits avec la communauté tzigane ainsi qu’avec des acteurs aujourd’hui disparus (Davor Dujmovic et Ljubica Adzovic). Filmé à Küstendorf, son fief surréaliste batit dans les montagnes serbes depuis 2003 auquel le DVD consacre également un documentaire (Kustuland, 5 min), l’entretien avec le généreux cinéaste vaut tout autant le détour.
Passionné de musique tzigane, vous pourrez écouter l’intéressante analyse de l’ethnologue Dimitri Galitzine, La musique comme art de vivre (20 min), qui évoque le caractère passionné d’une communauté vivant plus la musique qu’elle ne l’écoute.
Si vous êtes par contre fasciné par l’onirisme inhérent à l’œuvre du cinéaste, jettez un coup d’oeil à L’errance et le rêve (14 min), une analyse de Jean-Max Méjean, auteur de l’ouvrage Emir Kusturica édité chez Gremese, sur l’errance et les envolées oniriques du héros du film.
Dernier supplément à découvrir : Kusturica tourne Le temps des gitans (6 min). Situé chronologiquement avant son expérience américaine, le cinéaste fait ici part de ses futurs projets et des sollicitations du cinéma hollywoodien (Le temps des gitans étant, rappelons-le, financé par la Columbia).
Plus anecdotiques, Témoignage d’amitié (15 min) dévoile une autre facette de la personnalité d’Emir Kusturica à travers les propos de son ami Serge Regourd (enseignant en droit et défenseur du cinéaste dans la presse, pendant la polémique entourant Underground).
Une fin alternative (3 min) est enfin disponible si vous souhaitez découvrir ou se rend l’oncle de Perhan durant les dernières secondes du film. |
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Le Temps des Gitans. Les bonus