Titre de série : |
La kermesse héroïque du cinéma belge, 2 |
Titre : |
Le miroir déformant des identités culturelles 1965-1988 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Frédéric Sojcher, Auteur |
Editeur : |
Paris [France] : L'Harmattan |
Année de publication : |
1999 |
Collection : |
Champs visuels |
Importance : |
192 p. |
Format : |
22 cm |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Education aux médias Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
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Index. décimale : |
17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques |
Note de contenu : |
Au milieu des années 60 et au début des années 70, André Delvaux et Chantal Akerman réalisent leur premier Iong métrage. Les années 70 et 80 voient apparaître une nouvelle génération de cinéastes qui bénéficient des avances sur recettes mises en place en Flandre et dans la partie francophone du pays. Cette communautarisation des aides favorise l'émergence de deux cinématographies : du côté francophone, un cinéma qui s'inscrit dans la lignée de la Nouvelle Vague, et s'approche parfois d'un certain auteurisme; du côté flamand, des films souvent adaptés aux oeuvres du terroir se déclinant au passé et se rapprochant du heimatfilm. Peut-on encore réaliser en Belgique des longs métrages sans aides publiques ? Qu'en est-il des films contestataires, surréalistes ou irrévérencieux (Lethem, Godin, Rousseau) ? Y a-t-il un cinéma du possible et un cinéma de l'impossible ? Au-delà des courants linguistiques, on retrouve chez bon nombre de cinéastes des mêmes préoccupations : interrogation sur le monde, recherche identitaire. Le réalisme magique, cher à André Delvaux, se retrouve aussi chez Jean-Jacques Andrien, Raoul Servais, ou Harry Kümel. Les co-productions avec la France et les Pays-Bas posent la question du choix des acteurs et du retentissement des films belges à l'étranger. Le cinéma belge : laboratoire d'un cinéma européen ? |
La kermesse héroïque du cinéma belge, 2. Le miroir déformant des identités culturelles 1965-1988 [texte imprimé] / Frédéric Sojcher, Auteur . - Paris [France] : L'Harmattan, 1999 . - 192 p. ; 22 cm. - ( Champs visuels) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Education aux médias Education aux médias:Cinéma:Histoire du cinéma et aspects socio-économiques Education par les médias:Arts et médias:Cinéma:Cinéma belge
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Index. décimale : |
17 Histoire du cinéma et aspects socio-économiques |
Note de contenu : |
Au milieu des années 60 et au début des années 70, André Delvaux et Chantal Akerman réalisent leur premier Iong métrage. Les années 70 et 80 voient apparaître une nouvelle génération de cinéastes qui bénéficient des avances sur recettes mises en place en Flandre et dans la partie francophone du pays. Cette communautarisation des aides favorise l'émergence de deux cinématographies : du côté francophone, un cinéma qui s'inscrit dans la lignée de la Nouvelle Vague, et s'approche parfois d'un certain auteurisme; du côté flamand, des films souvent adaptés aux oeuvres du terroir se déclinant au passé et se rapprochant du heimatfilm. Peut-on encore réaliser en Belgique des longs métrages sans aides publiques ? Qu'en est-il des films contestataires, surréalistes ou irrévérencieux (Lethem, Godin, Rousseau) ? Y a-t-il un cinéma du possible et un cinéma de l'impossible ? Au-delà des courants linguistiques, on retrouve chez bon nombre de cinéastes des mêmes préoccupations : interrogation sur le monde, recherche identitaire. Le réalisme magique, cher à André Delvaux, se retrouve aussi chez Jean-Jacques Andrien, Raoul Servais, ou Harry Kümel. Les co-productions avec la France et les Pays-Bas posent la question du choix des acteurs et du retentissement des films belges à l'étranger. Le cinéma belge : laboratoire d'un cinéma européen ? |
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